Articles,  Santé publique

Injections géniques anticovid : effets indésirables catastrophiques et trop méconnus

Par le Docteur Nicole Delépine
Effets catastrophiques et encore trop méconnus des injections géniques anticovid-19
 

Il rêvait d’être pilote de chasse, il restera cardiaque dans le meilleur des cas si ce faux vaccin ne l’emporte pas dans les prochains jours. Il rêvait de vacances en Grèce avec sa copine, il ne partira jamais, mort dans les heures qui ont suivi l’injection supposée « libératrice » …

Comment vont réagir tous ces « jeunes » vaccinés qui se croient libres, enfin, après des mois de privation de liberté alternant confinement et restrictions de degré variable, lorsque leur belle liberté va être entachée d’accidents vasculaires d’un ami ou d’un copain, qui se multiplient après quelques mois d’euphorie, et au minimum de nouvelles privations, si les manifestations n’emportent pas ce pass de la honte dans la tempête populaire ?

L’exemple du « modèle » israélien devrait les avertir, mais comme chacun sait, il n’y a plus d’informations, que des mensonges à la télévision et des éléments sur les réseaux sociaux désavoués par les trolls. Alors on va à la plage, on verra bien….

Pourtant un regard sur la base de données officielles devrait au moins semer le doute avant d’aller se faire injecter cet OGM et devrait au moins faire réfléchir autant que pour acheter un shampoing bio …

Si le projet de ce papier était une revue exhaustive des effets secondaires des injections géniques, il devient impossible sur un temps court, car les évènements graves ou sérieux (appelés « blessures » trop souvent dans les textes par suite d’une mauvaise traduction de l’anglais) sont trop nombreux pour permettre un rapport rapide pourtant nécessaire, voire indispensable pour les « candidats » au vaccin sur injonction gouvernementale et médiatique. Nous citerons donc ici quelques articles significatifs pour donner une idée de l’ampleur du sujet.

LE NOMBRE D’EFFETS INDESIRABLES DECLARES EN LIEN AVEC LES VACCINS ANTI-COVID A DÉJÀ LARGEMENT DEPASSE, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDESIRABLES RAPPORTES, DEPUIS LA CREATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUES [1].

L’étude d’Enzololo [2] de début août [2021] rapporte les éléments importants des bases de pharmacovigilance disponibles et les synthétise.

« La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants. »

La page d’accueil précise que pour chaque événement indésirable enregistré, le médicament est « soupçonné », mais que cela ne signifie pas automatiquement qu’il soit la cause de l’événement ». De façon générale, on estime que seulement 1 % à 10 % des événements indésirables réels sont rapportés.

Vaccins anti-Covid :  depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, alors que 3,3 milliards de doses avaient été administrées à 2 milliards de personnes, pour toutes les tranches d’âges pour lesquelles les vaccins anti-Covid ont été autorisés :

le nombre d’effets indésirables déclarés en lien avec vaccins anti-Covid a déjà largement dépassé, en quelques mois, le total des effets indésirables rapportés, depuis la création de la base de pharmacovigilance de l’OMS en 1968, pour les 15 vaccins les plus distribués.

Selon l’OMS :

Les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins de 1,7 million en 50 ans (soupçonnés aussi).

Comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Et précisons que tous ces vaccins répertoriés ont également été distribués à des millions de personnes dans le monde chaque année et que le nombre global de vaccins anti-Covid injectés n’est pas supérieur aux vaccins classiques administrés et n’explique donc pas ce pic énorme d’effets secondaires graves.

Selon la VAERS :

La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin ; et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées.  C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.

Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin Covid. Les données VAERS publiées début août par les CDC ont montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la Covid, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021 [3].

Si l’on exclut les « déclarations étrangères » déposées dans VAERS, 443 201 événements indésirables, dont 5 739 décès et 35 881 accidents graves, ont été signalés aux États-Unis.

Aux États-Unis, 344,9 millions de doses de vaccin contre la Covid avaient été administrées en date du 30 juillet [2021] :

  • 139 millions de doses du vaccin de Moderna
  • 193 millions de doses de Pfizer
  • 13 millions de doses du vaccin Johnson & Johnson (J&J) contre la Covid.

Sur les 5739 décès signalés aux États-Unis sur cette base au 30 juillet [2021], 13 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 19 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 34 % chez des personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

Ces chiffres sont bien inférieurs aux chiffres évalués par d’autres sources qui montent à 45 000 décès qui seraient directement liés aux pseudovaccins anti-Covid [4]. Mais rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique en phase 3 en AMM conditionnelle et qu’avant la « crise Covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès, etc.) Les milliers de morts indéniables dans le monde entier auraient dû faire stopper en urgence cette expérimentation, si elle relevait vraiment de la médecine.

EN CE QUI CONCERNE LES ENFANTS DE 12 à 17 ans

Les données américaines de cette semaine pour les jeunes de 12 à 17 ans montrent :

  • 15 741 événements indésirables au total, dont 947 jugés graves et 18 décès signalés. Deux des neuf décès étaient des suicides.

« Les décès les plus récents signalés comprennent un garçon de 15 ans (VAERS ID. 1498080) qui avait déjà eu la Covid, a reçu un diagnostic de cardiomyopathie en mai 2021 et est décédé quatre jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin de Pfizer le 18 juin, lorsqu’il s’est effondré sur le terrain de soccer et est entré en tachycardie ventriculaire ; et une jeune fille de 13 ans (VAERS ID. 1505250) décédée après avoir souffert d’une maladie cardiaque après avoir reçu sa première dose de Pfizer. »

  • Parmi les autres décès, mentionnons deux garçons de 13 ans (VAERS ID. 1406840 et 1431289) décédés deux jours après avoir reçu le vaccin de Pfizer, un garçon de 13 ans décédé après avoir reçu Moderna (VAERS ID. 1463061), trois jeunes de 15 ans (VAERS ID. 1187918, 1382906 et 1242573), cinq jeunes de 16 ans (VAERS ID. 1420630, 1466009, 1225942, 1475434 et 1386841) et trois jeunes de 17 ans (VAERS ID. 1199455, 1388042 et 1420762).
  • 2 323 cas d’anaphylaxie ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, dont 99 % ont été attribués au vaccin de Pfizer.
  • 406 cas de myocardite et de péricardite (inflammation cardiaque) avec 402 cas attribués au vaccin de Pfizer.
  • 77 rapports de troubles de la coagulation du sang, avec tous les cas attribués à Pfizer.

RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DE LA COVID : AUCUN MORT D’ENFANT OU DE JEUNE SANS COMORBIDITE.

Où est le bénéfice par rapport à ce risque indéniable de l’injection ?

Selon les CDC les chiffres sont comparables [5].

Une étude publiée par les Centers for Disease Control and Prevention [CDC] a montré que 9 246 événements indésirables ont été signalés chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans, dont 863 événements graves, 14 décès et 397 rapports de myocardite.

Les CDC ont reconnu que près de 400 enfants âgés de 12 à 17 ans avaient souffert d’inflammation cardiaque après avoir reçu le vaccin Pfizer/BioNTech.

L’étude des CDC a également inclus 14 rapports de décès après la vaccination chez les adolescents. Parmi les personnes décédées, quatre étaient âgées de 12 à 15 ans, et 10 étaient des jeunes de 16 à 17 ans.

Les décès examinés par les CDC comprenaient deux rapports d’embolie pulmonaire, deux suicides, deux hémorragies intracrâniennes, un rapport d’insuffisance cardiaque et un trouble sanguin rare [6].

Le mois dernier, The Defender a fait état d’un garçon de 13 ans qui, selon une autopsie préliminaire, est mort d’une myocardite trois jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin Pfizer.

Les autorités sanitaires du Michigan ont signalé le décès de l’enfant de 13 ans aux CDC, qui ont déclaré enquêter. On ne sait pas si le garçon mort est l’une des six personnes qui font toujours l’objet d’une enquête des CDC.

Résultats globaux pour les jeunes de 12 à 17 ans

Selon l’étude des CDC [7], en date du 16 juillet [2021], environ 8,9 millions d’adolescents américains âgés de 12 à 17 ans avaient reçu le vaccin Pfizer-BioNTech. Le VAERS a reçu 9 246 déclarations après la vaccination de Pfizer-BioNTech dans ce groupe d’âge — 90,7 % d’entre elles concernaient des effets secondaires non graves et 9,3 % des déclarations d’effets secondaires graves, y compris la myocardite (4,3 % ou 397 déclarations).

Les CDC ont également examiné les événements indésirables pour le groupe d’âge des 12 à 17 ans signalés au cours de la même période à V-safe, un système de surveillance de la sécurité basé sur un téléphone intelligent contrôlé par les CDC et des partenaires privés.

Selon l’étude, 129 000 adolescents américains âgés de 12 à 17 ans se sont inscrits à V-safe après la vaccination Pfizer BioNTech. Ils ont signalé des réactions locales (63,4 %) et systémiques (48,9 %) avec une fréquence similaire à celle rapportée dans les essais cliniques de préautorisation. Les réactions systémiques étaient plus fréquentes après la dose deux.

L’étude a indiqué qu’un petit nombre de participants V-safe ont déclaré qu’ils avaient été hospitalisés après la vaccination, cependant V-safe n’enregistre pas les raisons des hospitalisations, et il n’est pas possible de déterminer si les hospitalisations étaient liées à la vaccination. Bien qu’elles soient exécutées par les CDC, les données V-safe ne sont pas accessibles au public.

Réactions les plus courantes liées à la myocardite

Bien que l’étude des CDC n’ait lié ouvertement aucun des décès survenus dans le groupe des 12 à 17 ans à une inflammation cardiaque, elle a révélé que les événements indésirables graves les plus fréquemment signalés dans ce groupe d’âge comprenaient des douleurs thoraciques, une augmentation des niveaux de troponine [8], des myocardites, une augmentation de la protéine c réactive et des résultats négatifs du test SARS-CoV-2. Selon les CDC, les résultats étaient compatibles avec un diagnostic de myocardite, inflammation du muscle cardiaque qui peut conduire à l’arythmie cardiaque et la mort.

Selon les chercheurs de l’Organisation nationale pour les maladies rares, la myocardite peut résulter d’infections, mais « le plus souvent, la myocardite est le résultat de la réaction immunitaire du corps aux dommages cardiaques initiaux ». Selon la Mayo Clinic, une myocardite sévère peut endommager de façon permanente votre muscle cardiaque, ce qui peut causer une insuffisance cardiaque définitive.

RISQUES ACCRUS DE MYOCARDITE ET DE PERICARDITE SIGNALES PAR LA FDA SUR LES FICHES D’INFORMATION PFIZER

Le 25 juin [2021], la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a ajouté un avertissement aux fiches d’information des patients et des fournisseurs pour les vaccins Pfizer et Moderna contre la Covid indiquant un risque accru de myocardite et de péricardite après la vaccination. Les mises en garde indiquent que les rapports d’effets secondaires suggèrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier après la deuxième dose et avec apparition des symptômes quelques jours après la vaccination.

La mise à jour de la FDA a fait suite à un examen de l’information et à une discussion par la réunion de l’ACIP [9] le 23 juin [2021], au cours de laquelle le comité a reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez des jeunes de 16 à 24 ans et a déclaré que les vaccins contre la Covid à ARNm devraient porter une déclaration d’avertissement.

Les responsables de la santé ont déclaré que les avantages de recevoir un vaccin contre la Covid l’emportent toujours sur les risques. Les médecins et autres commentateurs publics ont accusé les CDC lors de la réunion d’exagérer le risque de Covid pour les jeunes et de minimiser le risque des vaccins.

Pfizer et son partenaire vaccinal BioNTech ont soumis une demande en mai [2021] à la FDA demandant l’approbation complète de la FDA de son vaccin contre la Covid. Pfizer a été le premier fabricant de vaccins contre la Covid aux États-Unis à demander une approbation complète.

ACCIDENTS PREOCCUPANTS CHEZ LES JEUNES VACCINES : LES SUICIDES ET TROUBLES DU COMPORTEMENT

Les données récentes du VAERS concernant les jeunes vaccinés contre la Covid montrent aussi des troubles de la série psychiatrique :  suicide, tentatives de suicide, idées suicidaires, changements d’état mental dangereusement altérés/psychoses chez les jeunes sans AUCUN antécédent de maladie mentale.

On peut lire quelques descriptions sur Twitter : un jeune de 17 ans de l’Ohio décédé par suicide 4 jours après avoir reçu son injection. Un autre du même âge du Michigan, mort par suicide avec une arme à feu 8 jours après le vaccin. Un garçon de 17 ans dans l’Iowa a fait deux tentatives de suicide commençant 10 jours après l’injection fatidique. « Il a dit que c’était comme si un interrupteur était éteint dans sa tête. Sa dépression et son anxiété ont empiré. Il n’a pas mangé pendant une semaine… » Il était toujours écœuré. Il suit une thérapie.  Sa mère a dit qu’il n’était plus le même depuis qu’il s’est fait vacciner.

Une fille de 15 ans en Géorgie en bonne santé et sans aucun antécédent de maladie mentale a décompensé 14 jours après la deuxième dose. On « l’a trouvée désorientée, pieds nus, errant dans le quartier au milieu de la nuit ». Les dépistages de drogue et le bilan médical sont tous négatifs.

Et il y a d’autres témoignages décrits par @AMcA32449832 [10] sur Twitter.

FERTILITE ET PSEUDOVACCIN

Depuis plusieurs mois des généticiens attirent l’attention sur les risques importants de ces injections sur la fertilité, étant donné l’attraction de la fameuse protéine spike, que nous fabriquons à la suite du « vaccin », pour les ovaires et les testicules.

Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Michael Yeadon demande aux femmes de les rejeter [11].

« Les Dr Wolfgang Wodarg et Michael Yeadon expliquent que le nouveau vaccin contient une substance similaire à celle produite par le corps de la femme lorsqu’elle attend un enfant (syncitine 1), substance qui, chez la mère, sert à produire le placenta qui nourrit le bébé.

Il est donc possible que les anticorps de la femme vaccinée (anticorps programmés pour détruire le virus) confondent la syncytine 1 contenue dans le morceau de virus avec la syncytine 1 produite par le corps de la femme en vue de la grossesse, empêchant par conséquent la formation du placenta.

Les vaccins anti-Covid à ARNm agiraient donc comme un abortif permanent puisque l’absence de placenta ferait mourir de faim l’embryon humain, mais ne l’empêcherait pas d’être conçu.

Par conséquent, vaccination de masse peut vouloir dire « stérilisation de masse » [12]… 

Possible complication d’autant plus insupportable que les femmes sans antécédent particulier en âge de procréer ne risquent rien de la Covid. Il serait indispensable qu’elles soient en tous cas correctement informées de ce risque.

LES VACCINS ANTICOVID, LA PROTEINE SPIKE ET SES COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRES : AVC, INFARCTUS, perte de cohérence de mémoire chez personnes âgées, troubles du comportement chez les plus jeunes, etc.

« La protéine Spike est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps si elle entre en circulation.

L’ARNm pénètre dans votre circulation sanguine et s’accumule dans divers organes, principalement la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, chez les femmes, les ovaires. La protéine spicule (Spike) se rend également dans votre cœur, votre cerveau et vos poumons, où des saignements et/ou des caillots sanguins peuvent survenir, et est expulsée dans le lait maternel. »

Dr Byram Bridle.

Une fois dans votre circulation sanguine, la protéine spicule se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Comme expliqué par le Dr Bridle, lorsque cela se produit, plusieurs choses peuvent se produire :

1. Les plaquettes peuvent s’agglutiner. Les plaquettes, ou thrombocytes, sont des cellules spécialisées de votre sang qui arrêtent le saignement. Lorsqu’il y a des dommages aux vaisseaux sanguins, ils s’agglutinent pour former un caillot sanguin. C’est pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à la fois au [SRAS-CoV-2 de] la Covid-19 et aux vaccins.

2. Cela peut provoquer des saignements anormaux (en particulier des troubles des règles chez des vaccinées ou proches de vaccinées qui auront récupéré de la protéine Spike).

3. Dans votre cœur, cela peut causer des problèmes cardiaques.

4. Dans votre cerveau, cela peut causer des dommages neurologiques.

Il est important de noter que les personnes qui ont été vaccinées contre la Covid-19 ne devraient pas donner de sang, vu comment le vaccin et la protéine Spike sont tous deux transférés. Chez les patients fragiles recevant le sang, les dommages pourraient être mortels [13],[14]. »

Malheureusement, actuellement les centres de transfusion français n’abordent pas ce lourd sujet.

Nous ne pouvons détailler ici tous les accidents liés à ces perturbations de la coagulation et aux thrombus qui en découlent et qui, selon certains, seraient visibles sur 60 % des IRM cérébrales de personnes vaccinées.  Elles sont donc à risque et il est conseillé aux vaccinés d’obtenir de leur médecin une surveillance de dimères tous les 15 jours et si ceux-ci sont élevés d’obtenir une IRM cérébrale et un examen cardiaque. Prévenir ces accidents vasculaires serait à discuter avec votre docteur, éventuellement via de petites doses d’aspirine au cas par cas en fonction de vos autres traitements, etc. et pas à l’aveugle.

Notes


[1] https://www.businessbourse.com/2021/08/03/dr-eric-menat-je-nai-jamais-vu-une-augmentation-aussi-importante-des-effets-secondaires-officiels-plus-de-100-fois-quavec-tous-les-autres-vaccins-reunis/

[2] : https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/covid-19-les-vaccinsvu-travers-la-pharmacovigilance

Enzo Lolo, Covid-19 – Les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS, 12 juillet 2021 – Mediapart fr. Enquête dans les données de pharmacovigilance mondiale de l’OMS.

Notons que Médiapart a censuré le document ! Selon l’auteur Enzo Lolo le 5 août : « Ça devient presque anecdotique dans le paysage, mais Mediapart vient de supprimer mon billet d’il y a quelques jours « Les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS » (que je vous mets en PJ). Le plus humiliant est qu’ils se justifient par ce truc d’une dégoulinante nullité mâtinée de malhonnêteté intellectuelle : https://factandfurious.com/fact-checking/non-les-effets-indesirables-des-vaccins-covid19-ne-sont-pas-dix-fois-superieurs-aux-autres-vaccins.

[3] Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.

Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’accidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de délibération. Les rapports soumis au VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’un lien de causalité puisse être confirmé.

[4] https://leohohmann.com/2021/06/21/behind-the-vaccine-veil-doctor-cites-whistleblowers-inside-cdc-who-claim-injections-have-already-killed-50000-americans/

[5] Dans l’ensemble, l’étude des CDC a examiné les effets secondaires chez les jeunes de 12 à 17 ans signalés au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS) entre le 14 décembre 2020 et le 16 juillet 2021. Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.

[6] L’auteure correspondante des CDC, Anne M. Hause, Ph.D., a déclaré :

« Les impressions concernant la cause du décès n’indiquaient pas une tendance suggérant une relation de cause à effet avec la vaccination ; toutefois, la cause du décès de certains défunts est en attente de la réception de renseignements supplémentaires. »

Tous les décès ont été examinés par les médecins des CDC et six décès sont en attente d’une analyse plus approfondie. Aucun des rapports de décès n’a été déterminé comme avoir été causé par une inflammation cardiaque.

[7] CDC Study on 12- to 17-Year-Olds Who Got Pfizer Vaccine : 397 Reports of Heart Inflammation, 14 Deaths. Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org).

[8] Enzyme que l’on dose en cas de suspicion d’infarctus pour confirmer le diagnostic.

[9] Advisory Committee on Immunization Practices.

Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) est un comité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis qui fournit des conseils sur le contrôle efficace des maladies évitables par la vaccination dans la population civile des États-Unis.

[10] Le 1er août 2021 : Tweet : « 18 ans garçon de Virginie-Occidentale – en bonne santé, psychose développée 4 jours après la vaccination, nécessitant une hospitalisation de 27 jours. »

[11]  7 août 2021 : Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter | Aube Digitale.

[12] 10 bonnes raisons de refuser le vaccin contre la Covid – Résumé. (wordpress.com).

[13] Chercheur : « Nous avons fait une grosse erreur » sur le vaccin Covid-19 + La charge de la preuve incombe à Big Pharma… », 27 juillet 2021 par Mirastnews in Europe et le Dr Joseph Mercola.

[14] Le médecin émérite Sucharit Bhakdi explique clairement les phénomènes de coagulation post-vaccinaux.
Vidéos doublées en français :
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Message-urgent-DR-Sucharit-Bhakdi-et-le-changement-de-narratif-(covid19)-(post%C3%A9-par-Dr-Perronne)-(1):7?src=embed.

[15] https://vigilance-pandemie.info/2021/08/09/israel-vaccines-hospitalises/  à lire en totalité si vous voulez comprendre ce qui nous arrive.

[16] 2 millions de plaintes en 3 semaines, et victoire ! – Boris Karpov (tvs24.ru)

« Il faut savoir que depuis 10 ans, le gouvernement russe a développé des services en ligne parfaitement efficaces. Vous voulez écrire au FSB ? Au procureur ? Au percepteur ? A un ministre ? Ça se fait en ligne ! Réponse garantie sous 10 jours ! Des juristes préparent donc des lettres « standard » de plaintes contre le maire de Moscou, destinées à toutes les administrations. Car bien sûr, les mesures sont totalement illégales et violent tous les codes, et la Constitution !

Un porte-parole de la Prokurature de Moscou déclare qu’ils reçoivent en moyenne 5 000 plaintes par jour, tous les jours. Et les gens écrivent au FSB pour accuser le maire de « trahison », au ministère du travail pour se plaindre de la violation du code du travail, etc., etc. C’est un véritable raz de marée. »

Source : https://docteur.nicoledelepine.fr/injections-geniques-anticovid-effets-indesirables-catastrophiques-et-trop-meconnus/


A propos de l’auteur

Nicole Delépine est née le 19 Juillet 1946 à Paris. Mariée au Docteur Gérard Delépine, elle est mère de 2 enfants.
Nicole Delépine a soutenu son doctorat de médecine devant la Faculté St Antoine de Paris en 1973.
En 1976, elle obtient sa qualification de pédiatre.
En 1988, elle obtient sa qualification d’oncologue.
Ancien Interne et ancien Chef de Clinique des Hôpitaux, elle s’est successivement spécialisée en pédiatrie puis en cancérologie. Médecin des Hôpitaux, Nicole Delépine a dirigé l’Unité Fonctionnelle de Cancérologie de l’Adolescent et de l’Adulte Jeune de l’hôpital Raymond Poincaré de Garches (92) jusqu’à sa fermeture.

Médecin hospitalier à temps plein, Nicole Delépine se bat, depuis 20 ans, pour améliorer les prises en charge des malades atteints de cancer. Elle est l’auteur d’une centaine d’articles originaux sur le sujet et a présenté, ces dernières années, une moyenne de 15 communications annuelles dont les 2/3 dans les congrès internationaux.

Les résultats de ses travaux ont été confirmés à l’étranger et inspirent des protocoles thérapeutiques internationaux.

La réputation de Nicole Delépine est internationale et considérable dans le domaine des tumeurs des os et des parties molles.

Professionnellement, Nicole Delépine s’est constamment battue pour la démocratisation de l’hôpital et pour imposer le malade au centre des préoccupations des médecins hospitaliers et de l’administration.

Les prises de position de Nicole Delépine, dérangeantes, lui ont attiré l’inimitié de certains de ses pairs qui ont récemment décidé la fermeture de son service qui était pourtant l’un des plus actifs de l’hôpital.
Ce n’est que grâce à l’action des associations de parents comme A.M.E.T.I.S.T., des interventions répétées des élus de la région parisienne et des reportages de nombreux journalistes que la solution du transfert à l’hôpital Raymond Poincaré de Garches (92) a pu être arrachée à l’administration de l’AP-HP.

DIPLÔMES ET TITRES

Titres universitaires de Nicole Delépine :

Thèse de Doctorat en Médecine
Paris CHU Saint Antoine – 1973
Contribution à l’étude du traitement des hyperthyroïdies juvéniles et infantiles. Etude de 26 observations personnelles. Revue Critique de la littérature.

Ancien Chef de Clinique – Assistant des Hôpitaux de Paris
UER Lariboisière – Saint Louis – 1973-1980.

Chargée d’Enseignement à la Faculté Saint Louis Lariboisière depuis 1981, renouvelé en 1984, renouvelé le 22 janvier 1988 à compter du 1er octobre 1987.

Spécialiste en Pédiatrie
Puériculture (CES en 1973)

Médecin Compétent qualifié en Cancérologie (1987)

Diplôme d’Université : Administration et Economie de la Santé.
Madame le Professeur Chemillier-Gendreau – Université Paris VII, Faculté de Médecine Saint Louis Lariboisière : Mention très bien (23.01.1996).
Mémoire sur les « Implications juridiques éthiques et économiques des Références Médicales Opposables ». Janvier 1996.

Titres hospitaliers de Nicole Delépine :

  • Ancien Interne des Hôpitaux de CHU (1969-1973).
  • Ancien Chef de Clinique – Assistant des Hôpitaux de Paris en fonction de 1973 à 1980 (Service de Pédiatrie A – Hôpital Hérold – Paris – Assistance Publique).
  • Médecin des Hôpitaux : médecin mono-appartenant à l’hôpital Hérold nommé en 1980, réintégré dans le corps des Praticiens Hospitaliers en vertu du décret du 24 février 1984 à ce jour.
  • Inscrite sur la liste d’aptitude de Chef de Service en seconde catégorie en 1983.
  • Praticien Hospitalier à l’hôpital Robert Debré depuis son ouverture le 9 mai 1988 dans le service de Pédiatrie – Oncologie du Professeur J.C. Desbois.
  • Praticien Hospitalier responsable de l’Unité Fonctionnelle d’Oncologie de l’Adolescent et de l’Adulte Jeune de l’Hôpital Avicenne ouverte le 20.01.1999 et rattaché au Service de Cancérologie Générale de l’Hôpital Avicenne.
  • Responsable de l’unité d’oncologie pédiatrique de l’Hôpital Universitaire Raymond Poincaré Garches AP/HP.

Autres titres de Nicole Delépine :

  • Médaille de bronze de l’Académie de Médecine en 1984.
  • Médaille d’Argent de l’Académie de Médecine en 1985 au titre du Service de l’Hygiène et de l’Enfance.
  • Nommée expert-clinicien par le Ministère en 1984.

Nicole Delépine est :
– Membre de la Société Française du Cancer (SFC),
– Ex Membre de la Société Européenne d’Oncologie Médicale (ESMO),
– Ex Membre de la European Association for Cancer Research (EACR),
– Membre de la Société Américaine d’Oncologie Clinique (ASCO),
– Membre du Groupe d’Etude des Tumeurs endocrines (GTE),
– Membre du Groupe de Pharmacologie Clinique Oncologique (GPCO),
– Maître de conférence au Collège de médecine des Hôpitaux de Paris,
– Membre de la Fédération Française des Oncologues Médicaux,
– Membre de la Collégiale des Oncologues des Hôpitaux de Paris.

RESPONSABILITÉS MÉDICALES DE NICOLE DELÉPINE

  • Interne de CHU 1969-1973 en Pédiatrie et Réanimation néonatale.
  • Chef de Clinique dans le Service de Pédiatrie A de l’hôpital Hérold de 1973 à 1980.
  • Consultant d’Oncologie Pédiatrique dans le service du Professeur Mathé à Paul Brousse – Service des Maladies Sanguines et Tumorales – depuis octobre 1983 à ce jour.
  • Consultant d’oncologie pédiatrique dans le service du Professeur Jean-Louis Misset à Paul Brousse – Villejuif depuis 1990.
  • Praticien Hospitalier depuis 1980 et Responsable d’unité d’oncologie pédiatriquedepuis 1999, prise en charge de malades atteints de tumeurs solides, sarcomes osseux(ostéosarcome et sarcome d’Ewing), sarcomes des parties molles (Rhabdomyosarcomesynovialosarcome, sarcome épithéloïde, etc…), tumeurs cérébrales, plus épisodiquement néphroblastomes, neuroblastomes, et autres tumeurs solides de l’enfant plus exceptionnelles.
  • Dans le cadre de ces activités, mise au point de protocoles thérapeutiques, de protocoles de recherche clinique, en particulier basés sur le pharmacocinétique des cytostatiques en particulier du Méthotrexate, de l’Ifosfamide, du VP16, surveillance des traitements adjuvants en particulier utilisation des facteurs de croissance.

RESPONSABILITÉS D’ENSEIGNEMENT DE NICOLE DELÉPINE

  • Chef de Clinique à la Faculté Saint Louis – Lariboisière de 1973 à 1980.
  • Participation depuis 1980 en tant que Praticien Hospitalier puis en tant que Chargée d’Enseignement à la Faculté Saint Louis – Lariboisière en 1981 aux cours de la Faculté concernant l’enseignement de Pédiatrie au DCEM 4.
  • Enseignement des étudiants hospitaliers à l’hôpital Hérold.
  • Enseignement post-universitaire.
  • Enseignements spécialisés de Cancérologie Pédiatrique dans le cadre de notre Faculté ainsi qu’à l’extérieur (Hôpital Paul Brousse – Province).
  • Participation à l’enseignement intégré pour le Certificat de biologie humaine ; option de Cancérologie Générale et expérimentale de l’Université Paris-Sud et pour le Certificat d’Oncologie Générale, expérimentale et clinique de l’O.O.M.E.R. (Organisation Oncologique Méditerranéenne d’Enseignement et de Recherches).
  • Organisation de séminaires d’oncologie pédiatrique de décembre 88 suivi annuellement ou tous les 2 ans de journées internationales de 1989 à 2013.

SERVICES RENDUS PAR NICOLE DELÉPINE

  • Membre du Jury au Concours National de Praticien Hospitalier 1987.
  • Conférence sur invitation sur le traitement actuel des tumeurs malignes de l’os aux Journées du 31 mai 1990 – Centre Hospitalier Universitaire de Constantine – Algérie.
  • Membre du Jury de PH à temps partiel, concours régional des praticiens des hôpitaux – temps partiel – session 90.
  • Participation au Groupe de Travail Technique Régional de Cancérologie.
  • Dépistage et prévention. Année 1995-96. DRASSIF. Paris.
  • Participation à la Conférence Régionale de Santé le 25.06.96.

Fournir une information scientifique objective et éclairée sur la crise sanitaire actuelle, sensibiliser aux enjeux sociétaux et politiques majeurs qui se profilent à l’horizon, alerter le public, rassembler les bonnes volontés et préparer l’avenir.