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Protocole de traitement postvaccinal

Pour les nombreuses personnes vaccinées qui se demandent maintenant si elles ont une bombe à retardement à l’intérieur d’elles, étant donné les histoires d’arrêts cardiaques inattendus et soudains qui semblent s’accumuler quotidiennement, l’organisation FLCCC propose des interventions potentiellement protectrices qui sont de bon sens, sûres et pragmatiques pour réduire le risque cardiaque après la vaccination COVID-19. Le Dr Pierre Kory, médecin-chef de la FLCCC, et le Dr Paul Marik, directeur scientifique, ont récemment mis à jour le protocole I-RECOVER – Syndrome postvaccin pour répondre à ces préoccupations.

« Si vous allez bien après cinq mois ou un an, sans symptômes, sans problèmes, je tiens vraiment à vous rassurer que je pense que vous allez bien. »

Dr Pierre Kory.

Si vous avez été vacciné ou reçu une injection de rappel au cours des cinq derniers mois et que vous êtes maintenant inquiet en raison des preuves et des données émergentes montrant une surmortalité et des décès subits, les médecins de la FLCCC ont fait quelques suggestions basées sur leur compréhension des processus qui peuvent conduire à des événements cardiaques soudains. Cette liste des interventions et protocoles potentiellement protecteurs de la FLCCC est la suivante :

  • Aspirine à faible dose quotidienne (81 mg)
  • Nattokinase (100-200 mg deux fois par jour) chez les personnes à faible risque de saignement
  • Acides gras oméga-3 (2 à 4 g par jour)
  • Supplément de combinaison de resvératrol ou de flavonoïdes
  • Modification du régime alimentaire (régime pauvre en glucides et riche en graisses, faible en huiles végétales oméga-6, évitant les aliments transformés)
  • Et surtout, les activités physiques vigoureuses (surtout chez les jeunes) doivent être évitées pendant au moins 3 semaines après la vaccination ou le rappel.

Important, le document qui suit est conçu pour les services de santé qui s’occupent de patients présentant des symptômes suite à une injection de vaccin COVID. Bien qu’une poignée de thérapies puissent être auto-administrées, les médecins de la FLCCC recommandent fortement aux patients de consulter un professionnel de la santé avant de commencer tout nouveau traitement. Le syndrome postvaccinal est une maladie complexe. Le traitement doit être personnalisé en fonction des symptômes et des syndromes pathologiques présentés par chaque patient. Tous les patients ne répondent pas de la même manière à la même intervention.

Source : https://flccc.substack.com/p/reducing-cardiac-risk-after-covid?utm_campaign=post


PROTOCOLE DE TRAITEMENT POSTVACCINAL I-RECOVER DE LA FLCCC

Une approche des soins cardiovasculaires et cancérologiques postvaccinaux

Il existe très peu de données sur les caractéristiques cliniques, les mécanismes pathogéniques et les résultats pathologiques des patients qui ont eu des complications tardives liées au vaccin COVID-19. En outre, il n’existe pas d’indications publiées sur la manière d’éviter ces complications. Ces conseils s’appuient donc sur notre évaluation des mécanismes pathogéniques probables sous-jacents à ces complications tardives (maladie liée à la protéine spike) et sur les données d’autopsie limitées disponibles.

Événements cardiovasculaires et cancers postvaccinaux

La plupart des effets indésirables graves survenant après la vaccination se produisent dans les deux semaines suivant immédiatement l’administration d’une dose de vaccin. Cependant, des données évolutives suggèrent que certains patients qui n’ont pas expérimenté d’effets indésirables dus au vaccin semblent présenter des événements cardiaques aigus retardés (conduisant souvent à une mort subite). Ce phénomène semble culminer entre 4 et 6 mois après l’administration du vaccin, mais peut se prolonger pendant au moins un an. On a également constaté l’émergence de « turbo » cancers et de rechutes dans les mois qui suivent la vaccination. Nous avons élaboré ce document pour tenter de limiter ces complications et de rassurer les personnes vaccinées. Les complications cardiaques et cancéreuses sont essentiellement liées à la persistance de la protéine spike. Par conséquent, toute intervention visant à réduire la persistance et la « charge » de la protéine spike sera probablement bénéfique.

Approche thérapeutique potentielle

(Consulter le protocole complet pour plus de détails, de mises en garde et d’informations sur la posologie.)

La première approche pour prévenir les complications tardives de la vaccination consiste à améliorer la capacité de l’organisme à éliminer la protéine spike. Le meilleur moyen d’y parvenir est de pratiquer le jeûne intermittent ou périodique sur une durée limitée et d’utiliser un supplément comme le resvératrol, qui active l’autophagie et favorise l’élimination de la protéine spike. En outre, la nattokinase, une enzyme d’origine naturelle, décompose la protéine spike extracellulaire et est un puissant agent fibrinolytique, qui décompose les caillots sanguins. En outre, le traitement de l’hyperinsulinémie limite probablement l’inflammation endothéliale et la carcinogenèse. Nous avons ajouté à cette approche thérapeutique de base d’autres interventions susceptibles d’apporter des avantages supplémentaires. Il s’agit notamment d’agents antiplaquettaires et fibrinolytiques, qui sont essentiels à la prévention des événements cardiovasculaires après la vaccination.

Une approche théorique suggérée pour limiter les complications à long terme de la protéine spike est le jeûne intermittent ou une alimentation réduite périodiquement sur une durée limitée combinée à un régime pauvre en glucides et riche en graisses (régime cétogène), pauvre en huiles végétales oméga-6.

  • Nattokinase : 100-200 mg deux fois par jour
  • Resvératrol : 500 mg par jour
  • Aspirine (AAS) : 81 mg par jour (en cas de faible risque de saignement)
  • Magnésium : 100-400 mg par jour
  • Acides gras oméga-3 : 2-4 g par jour
  • Co-enzyme Q (CoQ) : 200-400 mg/jour
  • Mélatonine : 3-10 mg le soir (à libération lente/à libération prolongée)
  • Broméline : 500 mg deux fois par jour +/- N-acétyl-cystéine (NAC) ; 600 mg deux fois par jour
  • Berbérine : 500-600 mg deux fois par jour.

AVIS DE NON-RESPONSABILITÉ

Ce document est principalement destiné à aider les professionnels de la santé à apporter des soins médicaux appropriés aux patients ayant reçu un vaccin COVID-19. Les patients doivent toujours consulter un professionnel de la santé de confiance avant d’entreprendre un nouveau traitement.

Ne négligez jamais l’avis d’un professionnel de la santé sur la base de ce que vous avez lu sur notre site web et dans nos communiqués. Le présent document n’est pas destiné à se substituer à un avis médical professionnel, ni à un diagnostic, ni à un traitement concernant un patient. Le traitement d’un patient individuel est déterminé par de nombreux facteurs et vous devez donc vous fier au jugement de votre médecin ou d’un professionnel de la santé qualifié. Demandez toujours leur avis pour toute question relative à votre état de santé.

Veuillez prendre connaissance de notre clause de non-responsabilité complète à l’adresse suivante.

Source : https://covid19criticalcare.com/treatment-protocols/i-recover/

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