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Aux États-Unis, l’Association des médecins et chirurgiens américains démantèle la campagne visant à rendre les vaccins COVID obligatoires pour tous.

Vigilance Pandémie : La déclaration de l’Association des médecins et chirurgiens américains dont il est question dans l’article ci-dessous est remarquable et démontre non seulement un réel esprit scientifique caractérisé par l’honnêteté intellectuelle, l’objectivité, le souci de vérité, l’examen des faits et le souci de transparence par l’information du public, mais également un attachement à des principes éthiques élevés. Cet état d’esprit ne saurait former un contraste plus marqué avec l’attitude idéologique, fermée, intolérante, arrogante et méprisante des experts officiels nourris au petit lait de la propagande covidienne forte de ses accointances avec des objectifs politiques aux relents de totalitarisme.

Par Patrick Delaney

« L’engagement éthique de protéger les autres n’exige pas que les travailleurs renoncent à leur intégrité corporelle et à leur autodétermination. »

29 juillet 2021 (LifeSiteNews) – En réponse à une « déclaration commune » rédigée par diverses organisations médicales soutenant les prescriptions données aux employeurs d’imposer les injections expérimentales de thérapie génique COVID-19 à ARNm à environ 17 millions de travailleurs de la santé non vaccinés, l’Association des médecins et chirurgiens américains (AAPS) a publié une réponse ferme défendant les droits de tous les individus, y compris les travailleurs de la santé, de refuser toutes ces interventions médicales.

L’AAPS, qui a été fondée en 1943 avec pour mission de préserver « les normes éthiques les plus élevées du serment d’Hippocrate », a déclaré dans un communiqué « que tous les êtres humains ont droit à la liberté, auquel ils ne renoncent pas lorsqu’ils servent les malades ou les handicapés. L’engagement éthique de protéger les autres n’exige pas des travailleurs qu’ils renoncent à leur intégrité corporelle et à leur autodétermination ».

Affirmant que de tels médicaments expérimentaux ne peuvent pas être imposés sous la contrainte selon les lois fédérales, l’association professionnelle non partisane a déploré l’augmentation des hospitalisations et des décès survenus récemment malgré le fait qu’« environ la moitié de la population » a reçu les injections, ce qui est curieusement le résultat opposé « auquel l’on pourrait s’attendre dans une campagne de vaccination efficace ».

« Les signalisations de décès post-injection ou d’invalidités à long terme au système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) atteignent des niveaux sans précédent », ont-ils reconnu.

Et contre le mantra médiatique « sûr et efficace », l’AAPS a précisé que « les interventions médicales sont rarement totalement sûres ou efficaces, et les risques et les avantages diffèrent selon les patients et les circonstances ». En outre, l’autorisation d’utilisation d’urgence émise par la Food and Drug Administration (FDA) pour ces produits chimiques « ne leur confère pas la sécurité ni l’efficacité », car « les études ne devraient pas être terminées avant la fin de 2022 » et même « les produits approuvés par la FDA ont fréquemment été retirés dans le passé. »

En outre, l’AAPS, dont la devise « omnia pro aegroto » signifie « tout pour le patient », a défendu le droit des individus à une exemption religieuse qui n’était pas reconnue par la déclaration commune. « De nombreux travailleurs s’opposent à l’administration de ces produits en raison de leurs croyances religieuses », ont-ils déclaré, et « les exemptions médicales ne sont pratiquement jamais reconnues pour les vaccins COVID, parce qu’il est indéniable qu’ils causent des dommages à tout le monde ».

« Les effets à long terme de ces nouveaux produits génétiquement modifiés ne peuvent pas être connus à ce stade », ont-ils observé. « Ils pourraient inclure des troubles auto-immuns, des maladies renforcées par des anticorps, l’infertilité, le cancer ou des anomalies congénitales. »

Ce point est apparemment et explicitement affirmé par le fabricant du vaccin expérimental contre la COVID, Pfizer. Dans le commentaire de Tucker Carlson abordant les obligations mercredi, l’animateur de Fox News a partagé un extrait d’un contrat d’achat de Pfizer avec le gouvernement albanais qui stipule :

« [l]’acheteur reconnaît … que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas actuellement connus. »

Contrat d’achat de Pfizer avec le gouvernement albanais.

« Eh bien, est-ce que c’est rassurant ? » s’exclame Carlson.

« Quels sont ces effets ? Et pourquoi ne le savons-nous pas ? Et pourquoi ne pouvons-nous pas demander ? Personne ne fait de pause pour poser des questions en ce moment. Ce n’est pas autorisé (…) Vous êtes un « antivax » si vous posez ces questions ! »

Tucker Carlson.

En ce qui concerne la relation éthique entre les employeurs et les employés, l’AAPS affirme que les premiers « sont obligés de protéger leurs travailleurs contre les dangers prévisibles, même contre des risques aussi faibles que 1 sur 10 000 ou inférieurs », et qu’ils ne sont pas non plus « autorisés à imposer des risques qui pourraient bien être aussi importants ».

« L’avantage pour le public ne justifie pas de sacrifier des travailleurs qui n’acceptent pas volontairement le risque. De plus, le bénéfice pour le public dans ce cas est purement hypothétique », ont-ils écrit. « Les personnes non infectées ne peuvent pas transmettre l’infection simplement parce qu’elles ne sont pas vaccinées. Les personnes vaccinées peuvent toujours infecter d’autres personnes. »

Dans un communiqué de presse accompagnant l’article, le président de l’AAPS, Paul Kempen, M.D., Ph.D., a ajouté : « À la mi-juillet, 30 millions de personnes ont récupéré de la COVID-19 aux États-Unis et ont une immunité naturelle. La vaccination de ces personnes ne confère que des risques avec peu ou pas de bénéfices, et pourtant ces obligations ne les exemptent pas. »

« L’AAPS est favorable à l’insistance sur un consentement pleinement informé et véritablement volontaire pour toutes les interventions médicales », poursuit le communiqué. « Cela comprend la divulgation complète de tous les risques, et un effort diligent pour identifier et suivre les risques. Sinon, les travailleurs sont enrôlés dans une expérience de masse qui ne serait pas approuvée par un conseil d’examen institutionnel pour des raisons éthiques et scientifiques. »

« Au lieu de dépendre uniquement de vaccins expérimentaux, les institutions médicales devraient montrer la voie en matière de contrôle innovant des infections […], de traitement prophylactique et proactif précoce, qui n’est généralement pas proposé aujourd’hui, et de protection du système immunitaire, y compris la vitamine D adéquate », peut-on lire dans la déclaration.

« Nos organisations médicales devraient plaider en faveur d’une discussion libre et ouverte, et s’opposer à la censure des agences gouvernementales, des médias, de Big Tech et des entreprises de santé. »

« Sans liberté, il n’y a pas de sécurité ni pour les travailleurs ni pour nos patients », conclut la déclaration.

Ceux qui souhaitent lire la déclaration en faveur du droit de tous, y compris des travailleurs médicaux, de refuser une intervention médicale dans son intégralité, peuvent cliquer ici.

Source : https://www.lifesitenews.com/news/association-of-american-physicians-and-surgeons-dismantles-push-to-mandate-covid-vaccines-for-all

Article original en anglais publié le 29 juillet 2021.


A propos de l’auteur

Patrick Delaney

Après avoir obtenu deux Masters en théologie sainte à l’université et à la faculté théologique Mount St. Mary, Patrick Delaney a travaillé pour une campagne présidentielle, puis pour l’American Life League : il a écrit et prononcé des discours sur l’enseignement moral catholique, travaillé avec les médias et fait du lobbying aux niveaux national et international. Patrick a également servi le diocèse de Madison, dans le Wisconsin, en tant que directeur de l’évangélisation et de la catéchèse et en tant que professeur de religion et d’histoire dans une école catholique d’enseignement classique à Madison, où il réside. Au fil des ans, il a publié des articles dans divers médias, notamment le National Catholic Register, Latin Mass, New Oxford Review, Celebrate Life, Catholic Exchange, le Catholic Herald et LifeSiteNews. Patrick et son épouse Anna aiment voyager, camper, faire des pèlerinages et passer du temps avec leur famille et leurs amis, en particulier leurs 24 nièces et neveux.

 

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