Documentaire saisissant avec Jesse Ventura dévoilant un plan de gouvernance mondiale basé sur le contrôle et la réduction de la population
Par Vigilance Pandémie
Dans le documentaire incroyable suivant doublé en français de 39 mn 19 s, Jesse Ventura, ancien gouverneur de l’état du Minnesota de 1991 à 1995, mène une enquête impartiale sur le groupe Bilderberg dont les membres se réunissent une fois par an, à huis clos, dans un hôtel de luxe et décident de quelle façon diriger le monde. Jesse Ventura a réussi à infiltrer le groupe Bilderberg et nous livre des faits déroutants sur son objectif secret partagé avec d’autres sociétés secrètes. D’entretien en entretien, il est conduit, de fil en aiguille, à la reconstitution d’un tableau effroyable sur la gouvernance du monde et le mouvement mondialiste : un dessein de contrôle de la population à travers une dépopulation planifiée au plus haut niveau, sous couvert de crise sanitaire, sous l’égide de l’OMS.
Si ce documentaire date d’il y a plus de dix ans, il prend aujourd’hui un relief saisissant à l’heure où la France et à sa suite l’Europe, les Etats-Unis et bientôt d’autres nations du monde s’apprêtent à entrer dans l’ère de la vaccination forcée généralisée au moyen de l’instauration d’un pass sanitaire.
Jacques Attali, qui fut conseiller d’État, maître de conférences à l’École polytechnique, professeur d’économie à l’université Paris-Dauphine et à l’École des ponts et chaussées, et conseiller spécial de François Mitterrand de 1981 à 1991, et surtout qui joua un rôle majeur dans l’ascension fulgurante d’Emmanuel Macron depuis son rôle de rapporteur adjoint de la Commission Attali pour la « libéralisation de la croissance » jusqu’à sa fonction de Président de la République, l’ayant, selon ses mots, « inventé » avait déjà tenu, dès 1981 – il y a 40 ans ! -, des propos étonnants et choquants annonciateurs des événements actuels, prélude à un totalitarisme numérique total d’inspiration socialiste :
« Je ne crois pas à l’orwellisme, parce que c’est une forme de totalitarisme technique avec un « Big Brother » visible et centralisé. Je crois plutôt à un totalitarisme implicite avec un « Big Brother » invisible et décentralisé. Ces machines pour surveiller notre santé, que nous pourrions avoir pour notre bien, nous asservissant pour notre bien. En quelque sorte nous subirons un conditionnement doux et permanent.
Mais dès qu’on dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société.
D’où je crois que dans la logique même de la société industrielle, l’objectif ne va plus être d’allonger l’espérance de vie, mais de faire en sorte qu’à l’intérieur même d’une durée de vie déterminée, l’homme vive le mieux possible mais de telle sorte que les dépenses de santé seront les plus réduites possible en terme de coûts pour la collectivité.
Alors apparaît un nouveau critère d’espérance de vie : celui de la valeur d’un système de santé, fonction non pas de l’allongement de l’espérance de vie, mais du nombre d’années sans maladie et particulièrement sans hospitalisation.
En effet, du point de vue de la société, il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement.
C’est parfaitement clair si l’on se rappelle que les deux tiers des dépenses de santé sont concentrées sur les derniers mois de vie.
De même, cynisme mis à part, les dépenses de santé n’atteindraient pas le tiers du niveau actuel (175 milliards de francs en 1979) si les individus mouraient tous brutalement dans des accidents de voiture.
Ainsi, force est de reconnaître que la logique ne réside plus dans l’augmentation de l’espérance de vie, mais dans celle de la durée de vie sans maladie. (…)
L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures.
Dans une logique socialiste, pour commencer, le problème se pose comme suit : la logique socialiste c’est la liberté et la liberté fondamentale c’est le suicide ; en conséquence, le droit au suicide direct ou indirect est donc une valeur absolue dans ce type de société. Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante.
Je pense donc que l’euthanasie, qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future. »
Extraits de la conversation entre Jacques Attali et Michel Salomon, dans L’Avenir de la vie. Propos recueillis par Michel Salomon ; préface d’Edgar Morin. Paris : Seghers, 1981, pp. 273-2751. C’est nous qui soulignons en gras.
Et plus proche de nous, en 2009, il y a douze ans, ce même Jacques Attali précisait encore davantage sa pensée qui ne manquera pas de nous troubler.
Une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé.
L’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur : elle met alors d’abord en place des mécanismes de défense ; parfois intolérables (des boucs émissaires et des totalitarismes) ; parfois futiles (de la distraction) ; parfois efficaces (des thérapeutiques, écartant si nécessaire tous les principes moraux antérieurs). Puis, une fois la crise passée, elle transforme ces mécanismes pour les rendre compatibles avec la liberté individuelle et les inscrire dans une politique de santé démocratique.
La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes.
Si elle n’est pas plus grave que les deux précédentes frayeurs de ces quinze dernières années liées à un risque de pandémie (la crise de la vache folle en Grande-Bretagne et celle de la grippe aviaire en Chine), elle aura d’abord des conséquences économiques significatives (chute de l’activité des transports aériens, baisse du tourisme et du prix du pétrole) ; elle coûtera environ 2 millions de dollars par personne contaminée et fera baisser les marchés boursiers d’environ 15 % ; son impact sera très bref (lors de l’épisode de la grippe aviaire, le taux de croissance chinois n’a baissé que pendant le deuxième trimestre de 2003, pour exploser à la hausse au troisième) ; elle aura aussi des conséquences en matière d’organisation (toujours en 2003, des mesures policières très rigoureuses ont été prises dans toute l’Asie ; l’Organisation mondiale de la santé a mis en place des procédures d’alerte à l’échelle planétaire ; et certains pays, en particulier la France et le Japon, ont constitué des réserves considérables de médicaments et de masques).
Si l’épidémie est un peu plus grave, ce qui est possible, puisqu’elle est transmissible par l’homme, elle aura des conséquences véritablement planétaires : économiques (les modèles laissent à penser que cela pourrait entraîner une perte de 3 trillions de dollars, soit une baisse de 5 % du PIB mondial) et politiques (en raison des risques de contagion, les pays du Nord auront intérêt à ce que ceux du Sud ne soient pas malades, et ils devront faire en sorte que les plus pauvres aient accès aux médicaments aujourd’hui stockés pour les seuls plus riches) ; une pandémie majeure fera alors surgir, mieux qu’aucun discours humanitaire ou écologique, la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé.
Et, même si, comme il faut évidemment l’espérer, cette crise n’est pas très grave, il ne faudra pas oublier, comme pour la crise économique, d’en tirer les leçons, afin qu’avant la prochaine – inévitable – on mette en place des mécanismes de prévention et de contrôle, ainsi que des processus logistiques de distribution équitable des médicaments et de vaccins. On devra, pour cela, mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial. C’est d’ailleurs par l’hôpital qu’a commencé en France, au XVIIe siècle, la mise en place d’un véritable Etat.
En attendant, on pourrait au moins espérer la mise en œuvre d’une véritable politique européenne sur le sujet. Mais, là encore, comme sur tant d’autres sujets, Bruxelles est muet. »
Jacques Attali, « Avancer par peur. Une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé. » Dans L’Express, 6 mai 20052.
Ce qui paraissait effroyable pour le commun des mortels et était, à juste titre, qualifié de totalitarisme par Jacques Attali en 1981, devenait de l’ordre du réalisable en 2009 et aujourd’hui, en 2021, de l’ordre du non seulement souhaitable aux yeux d’une bonne partie de l’opinion publique subjuguée par la dissémination des idées marxistes et transhumanistes par doses homéopathiques continues depuis quatre décennies par effet de capillarité à travers le formatage de la pensée réalisé par les médias de masse (ce qu’Attali appelait, en 1981, un « conditionnement doux et permanent » ), mais également de l’indispensable au prétexte de lutter contre le virus Covid-19 comme le clament faussement les gouvernements. Par ces larges citations, nous comprenons mieux l’agenda politique qui s’est mis en place de manière accélérée depuis l’accession d’Emmanuel Macron au pouvoir : proposition de loi visant à légaliser l’euthanasie3 (appelée hypocritement « le droit à mourir dans la dignité »), rapport renversant du Sénat déposé le 3 juin 2021, intitulé « Crises sanitaires et outils numériques : répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés4 » qui s’inspire de la Chine communiste et propose le traçage numérique de la population française, le passeport sanitaire et le pass sanitaire (aujourd’hui validé par le Conseil constitutionnel) ainsi qu’une plateforme numérique de santé unique qui interconnectera demain tous les services et s’appuiera très certainement sur des nanotechnologies insérées dans des vaccins et implantées dans le corps, sur la main ou sur le front, comme l’annonçait Klaus Schwab, le fondateur du Forum économique mondial (FEM) il y a plus de cinq ans, le 10 janvier 2016, dans un entretien accordé à Dairus Rochebin sur la chaîne de télévision suisse Radio Télévision Suisse (RTS)5, 6.
Le totalitarisme macronien est bel et bien en marche !
A propos de Jesse Ventura
Jesse Ventura, né le 15 juillet 1951 à Minneapolis, est un acteur, ancien catcheur professionnel et homme politique américain. Il a été le 38e gouverneur de l’État du Minnesota. Ancien membre des Underwater Demolition Teams, unités d’élite de l’US Navy dévolues à la démolition d’obstacles sous-marins et de préparation de débarquement, il fait ensuite une longue carrière dans le catch au sein de la WWE et à la WCW. Sa carrière de catcheur s’arrête en 1985. Il joue alors dans quelques films comme Predator ou Running Man (deux films d’actions dont Arnold Schwarzenegger est l’acteur principal.) Il commence sa carrière politique comme maire de Brooklyn. Park dans le Minnesota de 1991 à 1995. Il est gouverneur de l’état du Minnesota du 8 janvier 1999 au 6 janvier 2003, et ne sollicite pas de second mandat. Il devient professeur invité à la John F. Kennedy School of Government de l’université d’Harvard en 2004. Il a depuis animé de nombreux shows télévisés. Il est ainsi, le 23 novembre 2009, le présentateur d’un soir de WWE Raw, émission de catch de la World Wrestling Entertainment. Il a écrit plusieurs livres politiques. Ventura reste politiquement actif et actuellement anime un show sur Ora TV et RT (ex Russia Today) appelée Off the Grid. (Source : Wikipedia.)
Notes
1 Ces citations proviennent de L’Avenir de la vie. Propos recueillis par Michel Salomon ; préface d’Edgar Morin. Paris : Seghers, 1981, pp. 268-274. L’intégralité de l’entretien peut être récupérée sous forme d’images numérisées : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 et 8.
2 https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/avancer-par-peur_758721.html.
3 http://www.senat.fr/rap/l20-402/l20-4020.html.
4 Rapport d’information n° 673 (2020-2021) de Mmes Véronique GUILLOTIN, Christine LAVARDE et M. René-Paul SAVARY, fait au nom de la délégation sénatoriale à la prospective, déposé le 3 juin 2021 : « Crises sanitaires et outils numériques : répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés », directement téléchargeable au format PDF ici (3,2 Mo.)