Effets très dangereux des vaccins Covid-19

Par Steve Kirsch

Je suis le directeur exécutif du Fonds de traitement précoce COVID-19.

Au cours des quatre derniers mois, j’ai travaillé avec une équipe de 19 scientifiques et statisticiens de très haut niveau (dont la liste figure à la fin de l’annexe 1), dotés d’une vaste expérience en matière de vaccins ARNm, de virologie, de VAERS et de biostatistique générale.

Ce que nous avons découvert dans la base de données VAERS et confirmé par de multiples analyses de données provenant de pays représentant plus de 35 % de la population mondiale totale est tout à fait étonnant.

La note de base décrivant nos conclusions se trouve dans la pièce jointe 1. Ce document fait référence à l’analyse du nombre de décès et du taux d’effets indésirables effectuée dans la pièce jointe 2, et à une analyse indépendante de nos hypothèses VAERS dans la pièce jointe 3.

Résumé du premier article intitulé « Estimating the number of COVID vaccine deaths in America » :

L’analyse de la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) peut être utilisée pour estimer le nombre de décès excessifs causés par les vaccins anti-COVID. Une analyse simple montre qu’il est probable que plus de 150 000 Américains aient été tués par les vaccins anti-COVID actuels au 28 août 2021.

Conclusion du deuxième intitulé « Adverse Events Reported Following COVID-19 Vaccinations » :

On constate une augmentation spectaculaire du nombre d’événements indésirables graves et de décès signalés au VAERS. Ce rapport a fourni des preuves solides que cette augmentation n’est pas due principalement à une augmentation du nombre de vaccins administrés, ni aux déclarations stimulées. Après avoir pris en compte le nombre de doses de vaccin, le taux de déclaration des décès survenus après l’administration des vaccins anti-COVID-19 est 30 fois plus élevé que le taux de déclaration de tous les vaccins combinés entre 2010 et 2020. En outre, le taux de déclaration des événements graves et des décès par dose de vaccin est nettement plus élevé pour les vaccins anti-COVID-19 que pour les vaccins antigrippaux depuis 2015, atteignant jusqu’à 98 fois le taux de déclaration des décès et 370 fois le taux de déclaration des coagulopathies pour les personnes âgées de 65 ans et plus. Si l’augmentation du taux de déclaration était due aux déclarations stimulées, nous nous attendrions à voir un ratio de déclaration similaire entre les différents types d’événements indésirables et les groupes d’âge. Mais il existe des différences substantielles, et ces différences sont évidentes dans tous les tableaux pour tous les groupes d’âge.
Bien sûr, il est possible, voire probable, qu’une partie de la différence entre les déclarations de COVID-19 et de la vaccination contre la grippe soit due aux déclarations stimulées. Dans leur étude de 2010 sur les déclarations stimulées pour la vaccination contre la grippe H1N1, Velozzi et al. (2010) ont constaté que par dose de vaccin, les déclarations pour la grippe H1N1 étaient environ trois fois plus élevées que pour les autres vaccins contre la grippe. Le taux de déclaration moyen par million de vaccins anti-COVID-19 pour l’ensemble des événements et des déclarations est 20 fois supérieur au taux de déclaration moyen pour la grippe. On pourrait considérer cela comme une limite supérieure de l’augmentation des déclarations due aux déclarations stimulées. Mais même si les déclarations stimulées expliquent une différence de 20 fois, le taux de déclaration des événements graves, des décès par coagulopathie et des infarctus du myocarde reste bien supérieur à ce chiffre, et les conclusions générales restent donc inchangées.
Dans l’ensemble, le taux plus élevé d’événements graves et le taux encore plus élevé de décès, de coagulopathie et d’infarctus du myocarde signalés à la suite de l’administration des vaccins anti-COVID-19, ainsi que la variation entre les groupes d’âge, constituent un signal robuste de dommages disproportionnés et graves causés par les vaccins anti-COVID-19, qui ne peut être attribué aux déclarations stimulées.

Résumé du troisième :

L’analyse de plusieurs chercheurs utilisant différentes sources confirme que les vaccins anti-COVID actuels sont très dangereux et augmentent considérablement la morbidité toutes causes confondues. Les vaccins peuvent déclencher un large éventail de symptômes neurologiques et cardiovasculaires graves, réactiver des virus latents, déclencher des poussées chez les personnes atteintes de cancer, etc. De multiples études montrent que 60 % des patients ont un taux élevé de D-dimères qui persiste pendant 3 mois après la vaccination. Ces vaccins devraient être immédiatement interrompus. S’ils ne peuvent pas être arrêtés, il est impératif d’informer le public américain des risques. Les enfants, les femmes enceintes et les personnes ayant déjà été infectées doivent être instruits d’éviter la vaccination. Toutes les obligations vaccinales devraient cesser immédiatement jusqu’à ce qu’il y ait une preuve scientifique d’un bénéfice de morbidité toutes causes confondues.
Le traitement précoce a toujours été une stratégie supérieure pour traiter la COVID : il est plus sûr, plus efficace et présente un certain nombre d’autres avantages importants.
Pratiquement aucune des personnes diagnostiquées avec la COVID à l’hôpital aujourd’hui n’a été traitée précocement. C’est le message que nous devrions envoyer à l’Amérique.

Source : https://www.regulations.gov/comment/CDC-2021-0089-0024

Steve Kirsch est un philanthrope de la Silicon Valley.

Il est l’inventeur de la souris optique et de l’un des premiers moteurs de recherche sur Internet, Infoseek. Il a créé sept entreprises de haute technologie, dont deux ont une capitalisation boursière de plusieurs milliards de dollars. Il est titulaire d’un diplôme d’ingénieur et d’un Master en électronique et en informatique du MIT.