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Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et Hannah Rose, avocate spécialisée dans les droits de l’homme déposent une plainte pénale historique adressée à la Cour pénale internationale contre des personnalités de premier plan dans le domaine de la santé publique, les accusant de génocide.

Par Lance D Johnson

Vigilance Pandémie : En France, Maître Virigine de Araujo Recchia a déposé pour le compte des collectifs Bon Sens et AIMSIB une plainte pénale contre MM. les ministres Castex, Véran et Blanquer devant la Cour de justice de la République. D’autres plaintes pénales ont été déposées dans divers pays. Malgré l’opacité des gouvernements et agences et institutions médicales et juridiques criminels et des médias collaborationnistes, nous avons confiance que tôt ou tard ce vaste système de mensonges et de criminalité sera révélé et démantelé et que les très nombreux coupables seront traduits en justice et condamnés à la peine capitale. La plainte ci-dessous émanant de l’ancien vice-président de Pfizer est un pas de plus dans cette direction, même si le processus peut être long.

Certaines des figures les plus dominantes de la santé publique pendant le scandale de la Covid-19 sont NOMMÉES dans un acte d’accusation historique envoyé à la Cour pénale internationale (CPI). Ces représentants du gouvernement, de l’industrie pharmaceutique et de la santé publique ont régné de manière non démocratique sur le peuple et ont imposé des politiques néfastes d’asservissement sous couvert de « lutte contre la Covid-19 ».

Leurs politiques d’asservissement, dont ils ne rendent pas compte, ont privé les gens des droits humains fondamentaux et de l’égalité des chances. Les défendeurs ont utilisé la fraude médicale, perpétrée par des tests PCR frauduleusement étalonnés, pour propager un récit qui ne fait que renforcer leur propre pouvoir et leur contrôle sur la vie des gens. Leur mépris pour les traitements efficaces, des solutions renforçant le système immunitaire et leur censure des informations sur l’immunité naturelle ont ravagé le principe du consentement éclairé, contribué aux erreurs iatrogènes et provoqué séparations, isolements, fautes médicales et morts injustifiées. Leurs politiques ont imposé des expériences génétiques manifestement dangereuses sur les personnes en recourant à la discrimination, à la ségrégation et en les menaçant de les priver des moyens de subsistance. Ces accusés ont subverti l’état de droit pendant près de deux ans, ruinant d’innombrables vies.

Fauci, Daszak, Gates, Hancock, Schwab sont tous nommés dans un acte d’accusation historique.

Parmi ces fonctionnaires attaqués figurent Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), June Raine, directrice exécutive de l’Agence américaine de règlementation des médicaments et des produits de santé (MHRA, Medicines and Healthcare products Regulatory Agency), le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID, National Institutes of Allergy and Infectious Diseases), Radiv Shah, président de la Fondation Rockefeller, Peter Daszak, président d’EcoHealth Alliance, et Bill et Melinda Gates, qui ont ouvertement financé et encouragé une grande partie de ces crimes contre l’humanité bien documentés.

Parmi les accusés figurent également des responsables britanniques de premier plan, dont Boris Johnson, Premier ministre britannique, Christopher Whitty, conseiller médical en chef du Royaume-Uni, Matthew Hancock, ancien secrétaire d’État britannique à la santé et aux soins sociaux, et Klaus Schwab, président du Forum économique mondial. La plainte pénale cite également les PDG de quatre grandes sociétés pharmaceutiques, qui continuent de commettre des actes de génocide par le biais de « vaccins » expérimentaux à interférence génétique qui endommagent le système cardiovasculaire, les réponses immunitaires innées et la santé reproductive des femmes, parmi des milliers de problèmes médicaux documentés par les systèmes de pharmacovigilance du monde entier. Les accusés sont Albert Bourla, PDG de Pfizer, Stéphane Bancel, PDG d’AstraZeneca, Pascal Soriot, PDG de Moderna et Alex Gorsky, PDG de Johnson and Johnson.

La plainte pénale est déposée par le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, et Hannah Rose, avocate spécialisée dans les droits de l’homme. Ils sont rejoints par l’astrophysicien Piers Corbyn, l’infirmière Louise Shotbolt, l’agent de police à la retraite John O’Loony et le militant des droits de l’homme Johnny McStay. L’acte d’accusation accuse les défendeurs « de nombreuses violations du code de Nuremberg », de « crimes d’agression » et de « crimes de guerre ». Parce que le système judiciaire anglais refuse de se saisir de cette affaire historique, les plaignants demandent à la CPI, avec « la plus grande urgence », de « mettre un terme au déploiement des vaccins Covid » et des « passeports de vaccination illégaux » ainsi qu’à « tous les autres types de guerre illégale » qui sont « menés contre la population du Royaume-Uni » et contre les populations du monde entier.

L’acte d’accusation historique fait état de divers crimes contre l’humanité et de violations du code de Nuremberg.

Les responsables de la santé publique ont forcé les personnes à utiliser des tests PCR qui ne sont « absolument pas fiables » comme norme de diagnostic, en induisant les gens en erreur et en occultant les données. Ces tests ont été frauduleusement étalonnés et utilisés pour gonfler artificiellement le nombre de cas de Covid-19 et de décès afin de perpétuer la tyrannie médicale et la privation des droits individuels.

Des traitements efficaces tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine ont été supprimés, entraînant une défaillance immunitaire et des maladies graves. Cette situation a entraîné le recours à des médicaments qui provoquent une insuffisance rénale, puis à des ventilateurs, qui provoquent des dommages oxydatifs et une tempête de cytokines, endommageant les poumons et exposant les patients à un risque accru de pneumonie potentiellement mortelle et de décès.

De plus, le gouvernement britannique n’a pas enquêté sur la vague massive de blessures et de décès consécutifs à la vaccination par la Covid-19. Rien qu’au Royaume-Uni, au moins 395 049 réactions indésirables aux « vaccins » Covid ont été signalées. Cette technologie expérimentale d’interférence génétique a été conçue sur la base de recherches criminelles sur le gain de fonction qui a permis d’exploiter les protéines Spike des coronavirus afin que des expérimentations génétiques puissent être déployées par le biais d’une « vaccination » utilisant la protéine Spike modifiée. Ces expérimentations ont conduit à une augmentation avérée des troubles oculaires, des inflammations cardiaques, des arrêts cardiaques et des avortements spontanés. Une étude récente publiée dans le New England Medical Journal a montré que 8 femmes sur 10 ont fait une fausse couche après avoir pris un « vaccin » Covid avant le troisième trimestre.

En outre, les politiques de confinement mises en œuvre par les défendeurs n’ont pas modifié de manière prouvée le cours de l’infection au sein de la population et ont causé « la destruction de richesses et d’entreprises, ainsi qu’une forte augmentation des appels sur les lignes gratuites d’aide aux enfants rendus plus vulnérables en raison de politiques de santé publique destructrices. L’acceptation par les défendeurs des passeports vaccinaux a introduit un apartheid médical qui viole l’intimité médicale et l’autonomie corporelle des individus par la discrimination, la ségrégation et d’autres actes de malveillance. Leurs politiques ont imposé des dommages psychologiques aux enfants et ont gravement privé de liberté physique les personnes, ce en « violation des règles fondamentales du droit international ». Ces violations comprennent des interdictions de voyager et de se réunir, ainsi que la mise en quarantaine et l’auto-isolement forcés sans procédure légale régulière.

Le premier principe du code de Nuremberg est le consentement libre et éclairé de la personne à recevoir un traitement et à participer à une expérimentation. La personne est censée exercer sa liberté de choix sans intervention, que ce soit par la force, la tromperie, la fraude, la menace, la sollicitation ou tout autre type de contrainte ou de coercition. Ce principe directeur de l’éthique médicale et les autres principes du code de Nuremberg ont tous été violés lors du scandale de la Covid-19. Après avoir violé ces principes pendant près de deux ans sans aucun remords, les auteurs doivent maintenant être mis à genoux.

Lisez l’acte d’accusation complet en ligne (46 pages) en anglais.

Sources :

Source : Top public health figures accused of GENOCIDE in historic complaint sent to the International Criminal Court (newstarget.com)

Article original en anglais publié le 25 décembre 2021.

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