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47 études confirment l’inefficacité des masques pour la Covid et 32 autres confirment leurs effets négatifs sur la santé.

Par LifeSiteNews

Le fait que de jeunes enfants soient obligés de porter des masques est particulièrement préoccupant.

LifeSiteNews (23 juillet 2021) – Avant que les masques ne soient rendus obligatoires en tant que prétendus moyens de prévention de l’infection et de la transmission de la Covid, ces masques étaient rarement portés dans les hôpitaux et autres établissements médicaux. Ils n’étaient utilisés que dans les salles d’opération ou pour rendre visite à des patients gravement malades afin d’empêcher l’infection par des crachats ou des gouttelettes dans des plaies ouvertes ou pour protéger partiellement les visiteurs de la contraction et de la transmission d’agents pathogènes plus dangereux que la Covid. De nombreux médecins et infirmières ont déclaré à LifeSite que pendant des décennies, si ce n’est plus, le personnel portant des masques médicaux était un spectacle peu commun dans les établissements de soins de santé autres que ceux mentionnés.

Aucune étude n’était nécessaire pour justifier cette pratique, car il était généralement entendu que les virus étaient bien trop petits pour être arrêtés par la plupart des masques portés, à l’exception des masques sophistiqués conçus pour cette tâche et qui étaient trop coûteux et compliqués pour que le grand public puisse les porter correctement et les changer ou les nettoyer régulièrement. Il était également entendu que le port prolongé d’un masque était malsain pour les personnes qui le portaient, pour des raisons de bon sens et des raisons scientifiques élémentaires.

Il y a eu un déluge international de mensonges sur le port du masque dans le but de justifier la situation bizarre et inquiétante que nous connaissons aujourd’hui, où presque tout le monde porte des masques dans de nombreuses régions, à l’intérieur comme à l’extérieur des établissements de santé, dans les écoles avec des enfants de tous âges, pendant les manifestations sportives, dans les églises, dans les épiceries et tous les établissements commerciaux, en conduisant et en marchant, et longtemps après que le pic d’infection est retombé.

Il s’est également poursuivi longtemps après que l’on a découvert que la Covid était loin d’être aussi dangereuse que l’on nous l’avait fait croire, que de nombreuses politiques de lutte contre la Covid avaient causé de graves dommages de toutes sortes, y compris de nombreux décès, et longtemps après que des protocoles de prévention et de traitement ont été découverts et utilisés avec beaucoup de succès, et que les meilleurs d’entre eux ont été souvent supprimés de manière criminelle par les autorités gouvernementales et sanitaires.

La peur inutile et grandement exagérée au cours des premiers mois de cette pandémie, qui n’aurait jamais été qualifiée de pandémie avant que l’OMS ne modifie unilatéralement la définition d’une pandémie pour y inclure des agents pathogènes beaucoup moins dangereux, continue de perdurer jusqu’à ce jour, grâce à des manipulations, contrairement aux expériences passées avec des épidémies de virus similaires. De nombreux mensonges ont été proférés à l’intention du public par l’OMS, les dirigeants des gouvernements nationaux et régionaux, les bureaucrates de la santé, les médias et bien d’autres institutions – tous ayant certainement pour but d’entretenir la peur jusqu’à ce que la grande majorité du public ait reçu les vaccins Covid, mal testés, inutiles et dangereux, pour lesquels nous n’avons aucune preuve de leur sécurité à long terme.

Le président Joe Biden n’a cessé de présenter de nombreux mensonges scandaleux pour justifier sa politique extrême en matière de Covid et de vaccins. Paul Elias Alexander, docteur en médecine, a écrit un article publié aujourd’hui sur LifeSite qui résume tous les mensonges les plus importants et les plus préjudiciables qui ont généré une peur permanente et incité un grand pourcentage d’Américains et de citoyens d’autres pays à accepter les vaccins Covid afin de pouvoir prétendument retrouver une vie normale. La liste de Paul Alexander comprend les mensonges liés aux obligations de porter des masques.

Une connaissance de Paul Alexander a établi la liste ci-dessous de 47 études confirmant que les masques sont inutiles pour prévenir l’infection et la transmission de la Covid et une deuxième liste plus bas de 32 études confirmant les effets négatifs sur la santé causés par le port fréquent de masques, surtout pour les jeunes enfants. Cette question a suscité une inquiétude croissante au cours des derniers mois, car les effets dangereux sur la santé et les émotions, en particulier chez les enfants, qui n’ont pratiquement aucun risque de contracter la Covid, sont de plus en plus prononcés et profondément préoccupants.

DIVERSES ÉTUDES SUR LES MASQUES FACIAUX PROUVENT LEUR INEFFICACITÉ.

1. Études sur les masques chirurgicaux et les masques en tissu

Expositions communautaires et par contacts étroits associées à la Covid-19 chez les adultes ≥ 18 ans symptomatiques dans 11 établissements de soins ambulatoires – États-Unis, juillet 2020.

Le Centre américain de contrôle des maladies [CDC]a réalisé une étude qui a montré que 85 % des personnes ayant contracté la Covid-19 au cours du mois de juillet 2020 portaient un masque. Seuls 3,9 % des participants à l’étude n’ont jamais porté de masque.
Original : https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/69/wr/pdfs/mm6936a5-H.pdf
Erratum. Correction : https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/69/wr/mm6938a7.htm?s_cid=mm6938a7_w https://www.theblaze.com/op-ed/horowitz-cdc-study-covid-masks

2. Protection faciale pour les travailleurs de la santé pendant les pandémies : une revue de cadrage

Cette étude a utilisé 5462 articles évalués par des pairs et 41 dossiers de littérature grise.

« Conclusion : La pandémie de Covid-19 a entraîné des pénuries critiques d’EPI [Equipements de Protection Individuelle] de classe médicale. Les autres formes de protection faciale offrent une protection inférieure. Des preuves plus solides sont nécessaires sur les différents types de protection faciale de classe médicale. Au fur et à mesure que la recherche sur la pandémie de Covid-19 avance, les enquêteurs devraient continuer à examiner l’impact sur les alternatives de la protection faciale de classe médicale ».

Alors comment votre votre masque en tissu et votre masque chirurgical fonctionnent-ils à nouveau si MÊME les alternatives de classe médicale échouent ?
Article de l’étude : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32371574/

3. Interventions physiques pour interrompre ou réduire la propagation des virus respiratoires

« Il existe des preuves de certitude modérée de ce que le port d’un masque fait probablement peu ou pas de différence dans l’incidence de la grippe confirmée en laboratoire par rapport au fait de ne pas porter de masque. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33215698/

4. Masques chirurgicaux jetables pour la prévention de l’infection des plaies chirurgicales en chirurgie propre

« Nous avons inclus trois essais, impliquant un total de 2106 participants. Il n’y avait pas de différence statistiquement significative dans les taux d’infection entre le groupe masqué et le groupe non masqué dans aucun des essais. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27115326/

5. Masques chirurgicaux jetables : une revue systématique

Deux essais contrôlés randomisés ont été incorporés, faisant intervenir un total de 1453 patients. Dans un petit essai, l’on a constaté que les masques étaient associés à moins d’infections, tandis que dans un essai de grande taille, il n’y avait aucune différence dans les taux d’infection entre le groupe masqué et le groupe non masqué.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16295987/

6. Évaluation de l’efficacité des masques en tissu dans la réduction de l’exposition aux matières particulaires

« Nos résultats suggèrent que les masques en tissu ne sont que marginalement bénéfiques pour protéger les individus des particules < 2,5 μm. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27531371/

7. Fuite du joint facial des demi-masques et des masques chirurgicaux.

« L’efficacité de filtration des matériaux filtrants était bonne, supérieure à 95 %, pour les particules d’un diamètre supérieur à 5 microns, mais une grande variation existait pour les particules plus petites.

Le coronavirus a un diamètre de 0,125 micron. Par conséquent, ces masques ne vous protégeraient pas contre le virus. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/4014006/

8. Comparaison de l’efficacité de filtration des textiles non-tissés médicaux au regard de trois aérosols microbiens différents

« Les efficacités de filtration contre les particules du virus de la grippe étaient les plus faibles. »

« Nous concluons que le test d’efficacité de filtrage utilisant l’aérosol bactériophage phi-X174 peut surestimer la performance de protection des textiles non tissés à structure filtrante par rapport à celle contre des pathogènes réels tels que le virus de la grippe. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29910210/

9. Pénétration des aérosols à travers les masques chirurgicaux

« Bien que les matières des masques chirurgicaux puissent être adéquats pour éliminer les bactéries exhalées ou expulsées par les professionnels de santé, ils peuvent ne pas être suffisants pour éliminer les aérosols de taille submicrométrique contenant des agents pathogènes. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/1524265/

10. Élimination des particules dans l’air par des masques faciaux fabriqués à partir d’emballages de stérilisation : efficacité et possibilité de réutilisation

« Nous avons constaté que les masques faciaux à 60 GSM [grams per square meter, soit grammes par mètre carré] avaient une efficacité de capture des particules de 94 % pour des particules totales de taille supérieure à 0,3 microns. »

Quelle est la taille du virus Covid-19, déjà ? 0,125 microns.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33052962/

11. Une nouvelle méthode pour tester l’efficacité de filtration des matériaux de masques sous une pression semblable à celle d’un éternuement

Cette étude indique que des « alternatives » comme la soie et la gaze pourraient être de bonnes options en cas de pandémie. Elle est réalisée sur des particules d’amidon.

Elle ne précise pas non plus leur taille, mais elles peuvent toujours traverser le matériau et mes recherches montrent que les particules d’amidon sont « grosses », bien plus grosses que la plupart des virus.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32503823/

12. Protection du personnel contre les particules virales en suspension dans l’air : efficacité in vivo des masques laser

« Le masque laser a offert une protection significativement moindre que le masque respiratoire FFP2 (P=0,02), et seulement marginalement plus importante que les masques chirurgicaux. L’utilisation continue des masques laser pour la protection respiratoire est discutable. La fixation des masques sur le visage n’a apporté qu’une faible amélioration de la protection. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16920222/

13. Méthode quantitative pour l’évaluation comparative de l’efficacité d’élimination des particules des masques en tissu comme alternative aux masques chirurgicaux standard comme EPI

« Portés tels qu’ils ont été conçus, les masques chirurgicaux commerciaux et les masques en tissu avaient une efficacité très variable (53 – 75 % et 28 – 91 % d’efficacité d’élimination des particules, respectivement). »

Marques différentes, résultats différents et ce n’est que lorsqu’ils ont appliqué des « couches de nylon » que l' »efficacité » s’est améliorée. Les fibres synthétiques ne respirent pas, ce qui affecte inévitablement votre respiration.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32838296/

14. L’efficacité des masques chirurgicaux standard : une étude utilisant des « particules traceuses ».

« Comme les microsphères n’ont pas été identifiées à l’extérieur de ces masques, elles ont dû s’échapper par les bords du masque et se retrouver dans la plaie.

Les cellules d’albumine humaine, alias tissu de fœtus avorté, sont beaucoup plus grosses que le virus et se sont quand même échappées du masque.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/7379387/

15. Tester l’efficacité des masques faits maison : protégeraient-ils en cas de pandémie de grippe ?

« Nos résultats suggèrent qu’un masque fait maison ne devrait être envisagé qu’en dernier recours pour prévenir la transmission de gouttelettes par des personnes infectées. »

Alors pourquoi le gouvernement vous a-t-il suggéré de fabriquer le vôtre alors qu’il n’est pas efficace ?

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24229526/

16. Utilisation de demi-masques respiratoires pour le H1N1

« L’augmentation du niveau de filtration d’un masque respiratoire à particules n’augmente pas la capacité du masque à réduire l’exposition de l’utilisateur aux contaminants. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19927872/

17. Pourquoi les masques ne fonctionnent pas contre la Covid-19

La page suivante fait référence à une quantité d’études scientifiques prouvant que les masques ne fonctionnent pas contre le coronavirus ou la grippe.

https://www.citizensforfreespeech.org/why_masks_don_t_work_against_covid_19

18. Les masques ne fonctionnent pas : une revue scientifique d’intérêt pour les politiques sociales de lutte contre la Covid-19

L’article ci-dessous est rempli d’études prouvant que la protection des masques est négligeable contre le coronavirus, la grippe, etc.

Article : https://www.rcreader.com/commentary/masks-dont-work-covid-a-review-of-science-relevant-to-covide- 19-social-policy

19. Masques faciaux pour prévenir la transmission du virus de la grippe : une revue systématique

Il existe quelques preuves à l’appui du port de masques ou de masques respiratoires pendant la maladie pour protéger les autres, et l’accent mis par la santé publique sur le port de masques pendant la maladie peut contribuer à réduire la transmission du virus de la grippe. L’on dispose de moins de données pour soutenir l’utilisation de masques ou de masques respiratoires pour éviter d’être infecté. D’autres études en milieu contrôlé et des études sur les infections naturelles dans les établissements de santé et en communauté sont nécessaires pour mieux définir l’efficacité des masques et des masques respiratoires dans la prévention de la transmission du virus de la grippe.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20092668/

20. « Travailler avec un masque facial ; manipulons-nous une épée du diable ? » – Une hypothèse physiologique

Aucune preuve ne suggère que le port d’un masque pendant le travail offre un quelconque avantage par rapport au transfert de gouttelettes du virus.

« Travailler avec un masque facial peut réduire l’oxygène disponible et augmenter le piégeage de l’air empêchant un échange substantiel de dioxyde de carbone. L’hypoxie hypercapnique peut potentiellement augmenter l’environnement acide, la surcharge cardiaque, le métabolisme anaérobique et la surcharge rénale, ce qui peut considérablement aggraver la pathologie sous-jacente des maladies chroniques établies. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32590322/

21. Utilisation de masques faciaux par le personnel travaillant en salles d’opération non soumis à un lavage chirurgical préopératoire [1] : un essai contrôlé randomisé

Les taux d’infection du site chirurgical n’ont pas augmenté lorsque le personnel non soumis à un lavage chirurgical préopératoire ne portait pas de masques faciaux.

Article de recherche de 2010 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20575920/

22. Les masques chirurgicaux dans les salles d’opération modernes : un rituel coûteux et inutile ?

Le port de masques faciaux par le personnel n’ayant pas effectué de lavage chirurgical travaillant dans une salle d’opération avec ventilation forcée semble inutile.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/1680906/

23. Masques : enquête en salle et revue de la littérature

Le port de masques multicouches en salle d’opération à chaque visite n’a eu aucun effet sur les fréquences de portage nasopharyngé.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/2873176/

24. Caractéristiques de pénétration et de fuite d’aérosols des masques utilisés dans le secteur des soins de santé

La protection assurée par les masques chirurgicaux peut être insuffisante dans des environnements contenant des aérosols de taille submicrométrique potentiellement dangereux.

« Conclusion : Nous concluons que la protection assurée par les masques chirurgicaux peut être insuffisante dans les environnements contenant des aérosols de taille submicrométrique potentiellement dangereux « 

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/8239046/

25. Masques pour la prévention des infections respiratoires virales chez les professionnels de la santé et le public : examen systématique général de type synthétique des revues (PEER umbrella [2])

Revue de méta-analyse qui affirme qu’il existe des preuves limitées suggérant que l’utilisation de masques peut réduire le risque de propagation des infections respiratoires virales.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32675098/

26. Modélisation de la transmission des coronavirus, du virus de la rougeole, du virus de la grippe, des bacilles de Mycobacterium tuberculosis et des bactéries Legionella pneumophila dans les cliniques dentaires

Il semble que la probabilité de transmission soit fortement déterminée par la qualité de l’air intérieur, suivie par l’efficience des patients et en dernier par la protection respiratoire via l’utilisation d’un masque.

Cela pourrait donc expliquer les « secondes vagues » et n’a rien à voir avec le fait de se serrer la main ou de ne pas porter de masque.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32614681/

27. Mesures non pharmacologiques pour la grippe pandémique dans les milieux non médicaux – Mesures de protection personnelles et environnementales

L’utilisation de masques faciaux, que ce soit par des personnes infectées ou non, n’a pas d’effet significatif sur la transmission de la grippe.

LES MASQUES NE VOUS PROTÈGENT DONC PAS DE MOI, NI VICE VERSA.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32027586/

28. Efficacité des mesures de protection individuelle pour réduire la transmission de la grippe pandémique : revue systématique et méta-analyse

Les méta-analyses suggèrent que l’hygiène régulière des mains a apporté un effet protecteur significatif par rapport aux masques faciaux dont la protection est insignifiante.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/28487207/

29. Efficacité des masques respiratoires N95 par rapport aux masques chirurgicaux contre la grippe : revue systématique et méta-analyse

L’utilisation de masques respiratoires N95 par rapport aux masques chirurgicaux n’est pas associée à un risque plus faible de grippe confirmée en laboratoire.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32167245/

30. Utilisation des masques faciaux par les adolescents et transmission par contact dans les cas de nouveaux coronavirus

Les surfaces des masques faciaux peuvent devenir des sources de contamination. Les gens les rangent dans leurs poches, leurs sacs, les posent sur les tables, les réutilisent, etc. C’est pourquoi cette étude est pertinente.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32582579/

31. Visualisation de l’efficacité des masques faciaux à obstruer les jets respiratoires

Les masques faciaux pliés de manière lâche et les couvre-visages de type « bandana » offrent une capacité très faible d’arrêt des plus petites gouttelettes aérosolisées.

Cela s’applique à toute personne qui plie ou glisse un masque dans sa poche ou son sac. Cela s’applique également aux masques en tissu et aux masques en tissu faits maison.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32624649/

32. Utilisation de masques chirurgicaux pour réduire l’incidence du rhume chez les professionnels de la santé au Japon : essai contrôlé randomisé

« Sur les 8 symptômes enregistrés quotidiennement, les sujets du groupe portant un masque étaient significativement plus susceptibles de souffrir de maux de tête pendant la période d’étude. »

Il n’a pas été démontré que l’utilisation de masques faciaux chez les professionnels de la santé apporte un bénéfice en termes de symptômes du rhume ou en relation avec le fait de contracter ou non un rhume.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19216002/

33. Essai randomisé en grappe de masques en tissu comparés aux masques médicaux chez les professionnels de la santé

La pénétration des masques en tissu par des particules de grippe était de près de 97 % et celle des masques médicaux de 44 %. Les masques en tissu sont donc essentiellement inutiles et les masques de « classe médicale » n’offrent pas de protection adéquate.

« Une analyse de l’utilisation des masques a montré que les cas de syndrome grippal (RR=6,64, IC à 95 % 1,45 à 28,65) et de virus confirmés en laboratoire (RR=1,72, IC à 95 % 1,01 à 2,94) étaient significativement plus élevés dans le groupe des masques en tissu que dans le groupe des masques médicaux. La pénétration des masques en tissu par les particules était de près de 97 % et celle des masques médicaux de 44 %. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25903751/

34. Protection respiratoire simple – évaluation de la performance de filtration des particules de taille 20-1000 nm des masques en tissu et des matériaux en tissu courants

Les masques en tissu ou en d’autres textiles testés dans l’étude présentaient des niveaux de pénétration instantanée de 40 à 90 % contre les aérosols de NaCl polydispersés.

« Les résultats obtenus dans l’étude montrent que les matériaux en tissu courants peuvent fournir une protection marginale contre les nanoparticules, y compris celles de la gamme de taille des particules contenant des virus dans l’haleine expirée. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20584862/

35. Performances respiratoires des masques respiratoires N95 et des masques chirurgicaux : évaluation sur des sujets humains avec un aérosol de NaCl représentant la gamme de taille des particules bactériennes et virales

« L’étude indique que les masques respiratoires filtrants N95 peuvent ne pas atteindre le niveau de protection attendu contre les bactéries et les virus. Une valve d’expiration sur le masque N95 n’affecte pas la protection respiratoire. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18326870/

36. Les masques respiratoires N95 offrent-ils un niveau de protection de 95 % contre les virus en suspension dans l’air, et dans quelle mesure les masques chirurgicaux sont-ils adéquats ?

Les masques respiratoires filtrants N95 peuvent ne pas assurer le niveau de protection attendu contre les petits virus.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16490606/

37. Les masques chirurgicaux arrêtent-ils le coronavirus ?

Article faisant état de l’étude : https://slate.com/news-and-politics/2020/01/coronavirus-surgical-masks-china.html

38. Efficacité des mesures de protection individuelle pour réduire la transmission de la grippe pandémique : revue systématique et méta-analyse

Cette étude indique qu’un masque respiratoire N95, selon la marque, peut avoir un diamètre de 0,1 à 0,3 micron. Cependant, la plupart des gens ne peuvent pas acheter un N95 avec un capacité de filtration inférieure à 0,3 micron car ils sont chers et peu disponibles sur le marché public.

« L’on a constaté que les masques respiratoires N95 fabriqués par différentes entreprises avaient des efficacités de filtration différentes pour la taille de particule la plus pénétrante (0,1 à 0,3 micron). »

« Au-dessus de la taille de particule la plus pénétrante, l’efficacité de filtration augmente avec la taille ; elle atteint environ 99,5 % ou plus à environ 0,75 micron ».

« Les méta-analyses suggèrent que l’hygiène régulière des mains a apporté un effet protecteur significatif (OR=0,62 ; IC 95 % 0,52-0,73 ; I2=0 %), et que l’utilisation d’un masque facial a eu un effet protecteur non significatif (OR=0,53 ; IC 95 % 0,16-1,71 ; I2=48 %) contre l’infection par la grippe pandémique de 2009. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/28487207/

39. Efficacité des masques respiratoires N95 par rapport aux masques chirurgicaux contre la grippe : revue systématique et méta-analyse

« L’utilisation de masques respiratoires N95 par rapport aux masques chirurgicaux n’est pas associée à un risque plus faible de grippe confirmée en laboratoire. Cela suggère que les masques respiratoires N95 ne devraient pas être recommandés pour le grand public ni le personnel médical qui n’est pas exposé à des risques élevés et qui n’est pas en contact étroit avec des patients grippés ou des patients suspects. »

Les masques N95 ont montré un effet positif pour les BACTERIES, mais pas pour les virus.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32167245/

40. Utilisation du masque facial par les adolescents et transmission par contact dans le cas d’un nouveau coronavirus

Cette étude a utilisé un colorant pour montrer si les masques étaient contaminés.

« Par conséquent, la surface des masques devient une source de contamination. Dans l’expérience de contact, l’on a demandé à dix adultes de mettre et de retirer un masque chirurgical tout en effectuant une tâche de traitement de texte. Les zones de contamination étendues ont été enregistrées et identifiées par analyse d’image. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32582579/

41. Efficacité de l’ajout d’une recommandation de port de masque à d’autres mesures de santé publique pour prévenir l’infection par le CoV-2 du SRAS chez les porteurs de masques au Danemark : essai contrôlé randomisé

« La recommandation de porter des masques chirurgicaux en complément d’autres mesures de santé publique n’a pas réduit de plus de 50 % le taux d’infection par le SRAS-CoV-2 chez les porteurs de masques dans une communauté présentant des taux d’infection modestes, un certain degré de distanciation sociale et une utilisation générale peu courante des masques. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205991/

42. Performances respiratoires offertes par les masques respiratoires N95 et les masques chirurgicaux : évaluation sur des sujets humains avec un aérosol de NaCl représentant toute une gamme de tailles de particules bactériennes et virales

« L’étude indique que les masques respiratoires filtrants N95 peuvent ne pas atteindre le niveau de protection attendu contre les bactéries et les virus. Une valve d’expiration sur le masque respiratoire N95 n’affecte pas la protection respiratoire. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18326870/

43. Performance des masques respiratoires N95 : efficacité de filtration des particules microbiennes et inertes en suspension dans l’air

Le coronavirus a une taille de 0,125 micron. Comme vous pouvez le lire dans cette étude, il est indiqué que la plupart des masques N95 ne peuvent filtrer que des particules de 0,75 micron. C’est trop gros pour piéger ce virus. C’est un fait.

Et même avec une efficacité de 95 % (selon la marque, la filtration peut être inférieure), si le virus peut être piégé… il manque toujours 5 % et peut-être plus pour un N95 de 0,1 micron.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/9487666/

LES CORONAVIRUS ONT UNE TAILLE DE 0,125 MICRON. DONC LE MEILLEUR MASQUE N95 DU MARCHÉ N’AURAIT AUCUN EFFET PROTECTEUR.

44. Un nouveau coronavirus provenant de patients atteints de pneumonie en Chine, 2019

Etude chinoise qui prouve qu’une particule de coronavirus en suspension dans l’air (0,125 micron) peut passer directement à travers un masque N95.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31978945/

45. Une particule de coronavirus en suspension dans l’air (< 0,125 micron) passe directement à travers un masque N95.

Article de recherche : https://www.greenmedinfo.com/article/airborne-coronavirus-particle

TAILLE DES CORONAVIRUS : la taille peut varier mais tous les coronavirus sont plus petits que 0,3 micron.

« Les coronavirus humains mesurent entre 0,1 et 0,2 micron, ce qui est une à deux fois inférieur au seuil de coupure. »

Ce « seuil de coupure » fait référence à la taille minimale d’une particule qu’un masque N95 peut piéger. La plupart d’entre nous n’utilisent pas de masque N95 MÉDICAL ou ordinaire.

EFFETS SECONDAIRES DU MASQUE FACIAL ET IMPLICATIONS POUR LA SANTÉ

1. Rapport préliminaire sur la désoxygénation induite par un masque chirurgical lors d’une intervention chirurgicale majeure

Les effets secondaires des masques chirurgicaux comprennent une baisse du taux d’oxygène.

Cette étude a prouvé que les chirurgiens qui portaient un masque chirurgical pendant une heure et plus présentaient des réductions significatives de la saturation en oxygène du sang.

Ce constat est d’autant plus pertinent que la plupart d’entre nous sont obligés de porter un masque au travail pendant toute la durée de leur tâche, lors de longs trajets en transports en commun, dans des lieux publics pour faire des courses, etc. et que cela nécessite un effort qui n’est pas pris en compte.

« Au vu de nos résultats, le pouls des chirurgiens augmente et la SpO2 [3] diminue après la première heure. »

La diminution de l’oxygène et l’augmentation du dioxyde de carbone dans la circulation sanguine stimulent une réponse compensatoire dans les centres respiratoires du cerveau. Ces changements dans les gaz sanguins entraînent une augmentation de la fréquence et de la profondeur des respirations. Cela présente un autre risque – si votre masque piège un virus, vous respirez davantage, ce qui augmente la charge virale et l’exposition.

Articles de recherche :

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1130147308702355?via%3Dihub

2. Impact des caractéristiques structurelles sur la résistance respiratoire dynamique des masques faciaux utilisés à but sanitaire

Les effets secondaires des masques faciaux comprennent la gêne respiratoire.

Demandez aux gens s’ils ont des problèmes pour respirer dans ces masques, que ce soit anecdotique ou non, car tout le monde est différent.

« Les résultats ont montré que chaque indice d’évaluation était significativement différent (P < 0,05) entre les différents masques de test. »

Articles de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31280156/

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18500410/

3. Conséquences respiratoires de l’utilisation de masques de type N95 chez les professionnelles de la santé enceintes – étude clinique contrôlée

Les avantages de l’utilisation du masque N95 pour prévenir les maladies infectieuses émergentes graves doivent être mis en balance avec les conséquences respiratoires potentielles associées à une utilisation prolongée du masque N95.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26579222

« Il est connu que le masque N95, s’il est porté pendant des heures, peut réduire l’oxygénation du sang jusqu’à 20 %, ce qui peut entraîner une perte de conscience, comme cela est arrivé à l’infortuné qui conduisait seul dans sa voiture avec un masque N95, ce qui a provoqué son évanouissement, un accident de voiture et des blessures. Je suis sûr que nous avons en tête plusieurs cas de personnes âgées ou de toute autre personne ayant une faible fonction pulmonaire qui s’évanouissent et se cognent la tête. Ceci, bien sûr, peut conduire à la mort « 

« CONCLUSIONS : Il a été démontré que la respiration à travers des masques N95 entrave l’échange gazeux et impose une charge de travail supplémentaire au système métabolique des professionnelles de la santé enceintes, ce qui doit être pris en compte dans les directives d’utilisation des appareils respiratoires ».

Pourtant, nous obligeons les femmes enceintes à les utiliser… ? Que cela pourrait-il faire au fœtus ?

4. Maux de tête et masque facial N95 chez les prestataires de soins de santé

Les effets secondaires des masques faciaux incluent les maux de tête.

Ces maux de tête peuvent vous obliger à utiliser des médicaments supplémentaires ou inutiles, comme des analgésiques, qui ont leurs propres effets secondaires. La théorie expliquant pourquoi les masques peuvent déclencher des maux de tête s’appuie sur la RESTRICTION DE L’OXYGÈNE.

Quels sont les effets à long terme sur la santé des professionnels de la santé qui souffrent de maux de tête dus à une respiration entravée ?

Voici plusieurs sources et études qui étayent cette affirmation :
Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16441251/

Headaches Associated With Personal Protective Equipment – A Cross-Sectional Study Among Frontline Healthcare Workers During COVID-19 (Maux de tête associés à des équipements de protection individuelle – Une étude transversale chez les professionnels de la santé en première ligne pendant la COVID-19) :
Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32232837/

Comment éviter les déclenchements de migraine quand vous portez votre masque :
https://www.withcove.com/learn/migraine-triggers-mask

5. Utilisation de masques chirurgicaux pour réduire l’incidence du rhume chez les professionnels de la santé au Japon : un essai contrôlé randomisé

« Sur les 8 symptômes enregistrés quotidiennement, les sujets du groupe portant des masques étaient significativement plus susceptibles de souffrir de maux de tête pendant la période de l’étude. »

« Il n’a pas été démontré que l’utilisation de masques faciaux chez les professionnels de la santé apporte un bénéfice en termes de symptômes du rhume ou de probabilité de contracter un rhume. »

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19216002/

6. La santé, c’est votre responsabilité.

Cette vidéo montre que même la lecture d’un livre avec un masque diminue le niveau d’oxygène dans le sang du cerveau. Quelles sont les implications pour les enfants en développement obligés de porter des masques à l’école, etc. ?

7. Impact physiologique du masque respiratoire filtrant N95 sur le personnel de santé

« CONCLUSIONS : Chez les professionnels de la santé en bonne santé, les masques respiratoires faciaux filtrants (MRFF) n’ont pas imposé de charge physiologique importante pendant 1 heure d’utilisation, à des taux de travail cliniques réalistes, mais les niveaux de dioxyde de carbone et d’oxygène de l’espace mort des MRFF étaient significativement supérieurs et inférieurs, respectivement, aux normes ambiantes sur les lieux de travail, et une hausse de la pCO2 [4] est une possibilité ».

Rappelez-vous que chez les « professionnels de la santé en bonne santé », même leur taux de dioxyde de carbone a augmenté. La plupart des gens ont au moins un problème de santé. Il a été démontré que même les personnes en bonne santé présentaient des niveaux de CO2 élevés, supérieurs aux recommandations en matière de santé.
Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20420727/

8. Les réactions cutanées indésirables des professionnels de la santé utilisant un équipement de protection individuelle pour la Covid-19

Les effets secondaires du masque facial comprennent des réactions cutanées indésirables.

Les réactions cutanées indésirables des professionnels de la santé utilisant un équipement de protection individuelle pour le COVID-19 sont décrites dans cet article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32541493/.

9. Votre masque peut être à l’origine d’une prolifération de candida dans votre bouche.

Les effets secondaires des masques faciaux incluent les infections à levures.

https://www.everydayhealth.com/coronavirus/your-mask-may-be-causing-candida-growth-in-your-mouth/

10. L’effet de « bouche masquée » est un effet secondaire très nauséabond du port de masques.

Les effets secondaires des masques faciaux incluent les problèmes dentaires.

« Nous constatons des inflammations dans les gencives de personnes qui sont en bonne santé depuis toujours, et des caries chez des personnes qui n’en ont jamais eu auparavant »,

explique le Dr Rob Ramondi, dentiste et cofondateur de One ManhattanDental. Environ 50 % de nos patients sont touchés par ce phénomène, et c’est pourquoi nous avons décidé de l’appeler « bouche masquée » (« mask mouth » [5], en anglais).

« Bien que la bouche masquée ne soit pas aussi évidente, si elle n’est pas traitée, les résultats peuvent être tout aussi néfastes. Les maladies des gencives – ou maladies parodontales – finissent par entraîner des accidents vasculaires cérébraux et un risque accru de crise cardiaque »,

explique le Dr Marc Sclafani, autre cofondateur de One Manhattan Dental.
https://nypost.com/2020/08/05/mask-mouth-is-a-seriously-stinky-side-effect-of-wearing-masks/.

11. Tout ce port de masque pourrait vous donner des champignons buccaux – voici comment y remédier.

https://www.wellandgood.com/mouth-sores-from-wearing-masks/

12. Le maskné [6] est une chose réelle – voici comment arrêter les éruptions dues au masque facial.

Les effets secondaires du masque facial incluent l’acné.

https://www.health.com/condition/skin-conditions/maskne-mask-acne-mechanica

13. Une mauvaise utilisation des masques médicaux peut provoquer des infections.

Les effets secondaires des masques faciaux comprennent les moisissures et les infections.

Les masques peuvent provoquer des infections bactériennes et fongiques autour de la bouche, dans la bouche et les poumons, MÊME si vous lavez le masque en tissu. Des colonies de moisissures ont été trouvées dans des masques en l’espace d’un jour seulement.

https://www.aa.com.tr/en/health/improper-use-of-medical-masks-can-cause-infections-/1766676

14. La colonisation de vos sinus par des champignons pourrait vous empêcher de vous rétablir complètement.

Informations sur les champignons et la façon dont ils peuvent affecter votre santé :
https://moldfreeliving.com/2019/01/26/could-mold-colonization-in-your-sinuses/

15. Une enquête sur l’efficacité des masques de protection jetables

Quels sont les dangers des proliférations bactériennes et fongiques sur un masque usagé et chargé ?

L’étude suivante a testé toutes sortes de masques jetables et a prouvé qu’ils vous amènent à respirer vos propres déchets.

Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/7440756/.

16. L’élastique des masques chirurgicaux peut-il favoriser la protrusion des oreilles chez les enfants ?

Défiguration chez les enfants. Les masques peuvent-ils favoriser la protrusion des oreilles chez les enfants ?

Cela est dû à des masques trop serrés.

Les masques trop serrés peuvent également provoquer des céphalées de tension [7]. Est-ce sain pour les enfants à long terme ?
Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32556449/

17. Lorsque vous portez un masque facial tous les jours, voici ce qui arrive à vos poumons.

L’utilisation d’un masque peut déclencher des allergies, car le masque recueille des particules qui restent sur vous pendant de longues périodes.
https://www.thelist.com/214073/when-you-wear-a-face-mask-every-day-this-is-what-happens-to-your-lungs/

18. Impact physiologique du port d’un masque N95 pendant l’hémodialyse comme précaution contre le SRAS chez les patients souffrant d’insuffisance rénale terminale

Et pourtant, l’on oblige les personnes malades à les porter. Même les personnes qui n’ont pas de problèmes respiratoires voient leur taux d’oxygène diminuer.
Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15340662/.

19. Autres effets secondaires des masques faciaux et implications pour la santé à prendre en compte

Les politiques publiques imposant l’utilisation des masques à l’ensemble de la population présentent un grand potentiel de nuisance.

Les questions suivantes, qui restent sans réponse, se posent :

  • Les masques peuvent-ils excréter des fibres ou des microplastiques que nous pouvons respirer ?
  • Ces masques excrètent-ils des substances chimiques qui sont nocives lorsqu’elles sont inhalées ?
  • Les masques peuvent-ils excréter des substances chimiques ou des émanations lorsqu’ils sont chauffés, que ce soit par la chaleur corporelle, la lumière du soleil ou d’autres sources de chaleur ?
  • La teinture des vêtements peut provoquer des réactions, alors comment pouvons-nous savoir que le processus de fabrication de ces masques ne présente pas de risque pour nous ? Parce qu’en réalité, nous n’achetons pas nos masques auprès de sociétés ou d’établissements médicaux qui fonctionnent dans des environnements stériles.

20. [Défauts d’asepsie dues aux bonnets chirurgicaux, aux masques faciaux, aux surfaces externes des flacons de perfusion et aux emballages stériles des articles jetables]

« Il est évident que les surfaces des boîtes d’instruments jetables emballées stérilement et des flacons de perfusion ne sont pas stériles. Les masques chirurgicaux jetables et les capuchons chirurgicaux utilisés pour les vêtements stériles sont livrés par les producteurs non stériles, eux aussi. »

ET IL S’AGIT DE MATÉRIEL HOSPITALIER.
Article de recherche : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/6099666/.

21. Vidéo de production de masques

Voici une « usine » qui produit beaucoup de masques. Cela vous semble-t-il un environnement stérile ? C’est ce que la majorité d’entre nous reçoit lorsque nous achetons en ligne ou dans des magasins qui les vendent en gros. Voulez-vous avoir cela sur votre visage ?

22. Allergies et système immunitaire

Les gouttelettes chargées d’agents pathogènes peuvent-elles interagir avec la poussière et les aérosols de l’environnement captés par le masque ? Cela peut-il susciter une plus grande réaction aux virus ? Par exemple, si vous souffrez d’une allergie à la poussière, votre masque la capte, ce qui provoque une inflammation chez le porteur et affaiblit son système immunitaire.

« Cela peut provoquer des sifflements, des démangeaisons, des écoulements nasaux, des yeux larmoyants ou qui démangent, et d’autres symptômes. »

Cela ne faciliterait-il pas la propagation et la potentiel d’infection des virus ?

https://www.hopkinsmedicine.org/health/conditions-and-diseases/allergies-and-the-immune-system

23. Interactions des virus avec les bactéries : partenaires dans la danse infectieuse

Les bactéries et les virus peuvent interagir et augmenter la sensibilité à l’infection :
https://journals.plos.org/plospathogens/article?id=10.1371/journal.ppat.1008234

24. Quand virus et bactéries s’unissent !

https://blogs.scientificamerican.com/lab-rat/when-viruses-and-bacteria-unite/

25. Une enquête empirique et théorique sur les effets psychologiques du port d’un masque

Les modification du comportement font partie des effets secondaires des masques faciaux.

Le port du masque a-t-il des conséquences sociales négatives dans la société ? L’étude suivante suggère que, oui, les masques amènent les gens à adopter des comportements modifiés en fonction de l’utilisation du masque.
https://strathprints.strath.ac.uk/43402/.

26. Le port d’un masque peut affecter le développement émotionnel et intellectuel d’un enfant.

Les effets secondaires des masques stagnent le développement intellectuel naturel d’un enfant. Il est bien connu que les enfants ont du mal à reconnaître les visages jusqu’à un certain âge. L’utilisation d’un masque ne fait qu’entraver ce processus. Est-ce sain pour un enfant en développement ?
https://www.wishtv.com/news/mask-mandates-may-affect-a-childs-emotional-intellectual-development/.

27. Les personnes handicapées et les masques contribuent aux problèmes de santé mentale.

Effets secondaires des masques et santé mentale

Qu’en est-il des personnes handicapées ? Les sourds et les malentendants dépendent de la lecture labiale. Quelles sont les implications pour eux ? Qu’en est-il des personnes souffrant de troubles cognitifs et comportementaux comme l’autisme ? Cela pourrait leur causer une détresse énorme. Non seulement parce qu’elles portent un masque, mais aussi parce qu’elles voient d’autres personnes porter un masque (car, soyons francs, ce n’est pas un comportement normal).

Les masques peuvent-ils causer de l’anxiété ou aggraver d’autres troubles mentaux ?

Puisque les masques PEUVENT entraver la respiration, ils peuvent provoquer des évanouissements et d’autres réactions corporelles qui seraient évitées si les masques n’étaient pas utilisés. Voici un lien vers un moteur de recherche qui prouve que c’est très courant :
https://duckduckgo.com/?q=mask+anxiété&ia=web

28. Les masques : avez-vous été captivé par ce stratagème ?

Le port d’un masque, en tant que modification comportementale fondée sur la peur, a-t-il des conséquences psychologiques négatives ? Cela peut facilement déclencher la peur car un masque vous rappelle la présence d’un virus. L’utilisation d’un masque peut également vous amener à adopter des comportements à risque en raison d’un « faux sentiment de sécurité », car vous vous sentez protégé.

https://kellybroganmd.com/masks-have-you-been-captured-by-this-psyop/.

29. Masquer la vérité – Masques faciaux, empathie et désinhibition

https://podtail.com/fi/podcast/conspiracy-theoryology/masking-the-truth-face-masks-empathy-and-dis-inhib/

30. Les masques de protection Covid-19 : une source potentielle de fibres microplastiques dans l’environnement

Quelles sont les conséquences environnementales de la fabrication et de l’élimination des masques ?

Une recherche rapide sur un moteur de recherche vous dira que les gens les jettent PARTOUT – dans nos rivières, dans les régions du Groenland, etc. Les plastiques comme le nylon libèrent des produits chimiques qui se retrouvent dans notre environnement.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32563114/

31. Pourquoi les masques ne sont pas efficaces contre la Covid-19

Les masques usagés et chargés peuvent-ils devenir des vecteurs de transmission accrue pour le porteur et d’autres personnes ? (Les résultats des études suggèrent que oui). Les masques deviennent inutiles après environ 20 minutes en raison de l’humidité contenue dans votre respiration. Cette humidité peut devenir les gouttelettes sur lesquelles les virus se déplacent. Cela ne peut-il pas faciliter leur transmission ?

Les masques peuvent-ils devenir des collecteurs et des réceptacles d’agents pathogènes qui, autrement, pourraient être évités en respirant sans masque ? (Les preuves suggèrent que oui).

Les grosses gouttelettes piégées par un masque peuvent-elles être atomisées ou aérosolisées sous forme de composants respirables ? Même jusqu’à la taille des virions ? (Les preuves suggèrent que oui).

https://www.citizensforfreespeech.org/why_masks_don_t_work_against_covid_19

LifeSiteNews a produit une page de ressources détaillée sur les vaccins COVID-19. Vous pouvez la consulter ici.

Source : 47 studies confirm ineffectiveness of masks for COVID and 32 more confirm their negative health effects – LifeSite (lifesitenews.com).

Notes

[1] Le lavage chirurgical préopératoire (en anglais, surgical scrub) est une procédure importante nécessaire pour réduire le risque de contamination par des micro-organismes pendant les procédures opératoires. Le lavage chirurgical consiste d’abord à décontaminer les mains, puis à enfiler une blouse chirurgicale stérile et une paire de gants stériles.

[2] Avec l’augmentation du nombre de revues systématiques disponibles, une prochaine étape logique pour fournir aux décideurs dans le domaine des soins de santé les preuves dont ils ont besoin a été la réalisation de revues des revues systématiques existantes. Les synthèses de revues systématiques existantes sont désignées par de nombreux noms différents, dont celui de revue dite « parapluie » (umbrella, en anglais). Une revue parapluie permet de comparer et de contraster les résultats des revues pertinentes à une question abordée dans une revue. La caractéristique la plus importante d’une revue parapluie est que ce type de synthèse de preuves ne prend en compte que le niveau de preuve le plus élevé, à savoir les autres revues systématiques et les méta-analyses. Un groupe de travail méthodologique a été formé par le Joanna Briggs Institute afin de développer des conseils méthodologiques pour la conduite d’une revue parapluie, incluant divers types de preuves, tant quantitatives que qualitatives.

[3] La SpO2 est la saturation pulsée mesurée avec un oxymètre de pouls. La saturation en oxygène normale pour une personne en bonne santé est comprise entre 95 % et 100 % en fonction de l’âge. Elle est insuffisante en dessous de 95 %. L’on parle alors d’hypoxémie. La notion d’hypoxémie s’applique pour toute insuffisance d’oxygénation du sang et donc dès que la SpO2 est inférieure à 95 %. La limite des 90 % marque une hypoxémie correspondant à l’équivalent de l’insuffisance respiratoire.

La saturation artérielle en oxygène (SaO2) normale est comprise entre 96 % et 98 % chez un jeune adulte est de 95 % chez une personne de plus de 70 ans. Lorsqu’elle est inférieure à 90 % la personne est dite en désaturation. La désaturation correspond aussi à une baisse de 4 points de saturation par rapport à la valeur de base (par exemple au cours d’un effort).

[4] La pCO2 désigne la pression partielle de gaz carbonique. Elle doit être inférieure à 40 mm.Hg. Quand la pCO2 est très élevée, l’hospitalisation s’impose avec, dans certains cas, un séjour en service de réanimation pour un traitement par ventilation assistée.

[5] « Mask mouth » (bouche de méthamphétamine) est un jeu de mots avec l’expression « meth mouth » qui est une expression familière qui décrit les caries et les pertes de dents graves, ainsi que les fractures dentaires, l’érosion par acide et d’autres problèmes bucco-dentaires qui sont souvent symptomatiques d’une utilisation prolongée de la méthamphétamine.

[6] Maskné : terme issu de l’anglais, formé par la contraction de « mask » (masque) et « acné », qui concerne essentiellement les femmes à la peau mixte. Techniquement, c’est une acné « mécanique », « une réaction de la peau lorsqu’elle est exposée à une friction ou à une pression prolongée, avec une inflammation et un bouton qui apparaît ».

[7] Les céphalées de tension sont, en général, des céphalées d’intensité légère à modérée, décrites comme une sensation d’étau autour de la tête. Elles commencent à l’avant de la tête ou dans la zone autour des yeux, puis s’étendent sur toute la tête. Ces céphalées peuvent être épisodiques ou chroniques.

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