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Covid : Une équipe internationale d’experts explique la modification de l’hémogramme chez les personnes vaccinées contre la Covid.

La bombe atomique du Dr Robert Young

Dans leur prétendu vaccin, il y a du graphène qui détruit les organes reproducteurs et nous stérilise. Il détruit la capacité à produire des lymphocytes.

Quand il entre dans le cœur, il l’arrête. Chez les jeunes, il provoque une myocardite et une péricardite.

Lorsqu’il entre dans les tissus gras du sein, il provoque un carcinome et provoque la coagulation dans tout le corps.

Tous ces effets sont irréversibles et mènent à la mort.

Dans le cerveau, il détruit la partie neurologique la plus importante appelée couronne, éteint la conscience et en prend littéralement le contrôle ! Ils peuvent nous attribuer un numéro d’identification, nous surveiller et décider si nous devons vivre ou mourir.


Une équipe internationale d’experts explique la modification de l’hémogramme chez les personnes vaccinées contre la Covid.

Le physicien et thérapeute allemand, le Dr Klaus Retzlaff, est le porte-parole d’une équipe internationale d’experts qui examine les doses vaccinales et les dommages causés (par les vaccins). Les scientifiques qui ont mené l’expérience ont comparé les analyses de sang des sujets vaccinés avec celles des non-vaccinés. Le résultat époustouflant est le suivant :

« Nous voyons des altérations du sang chez tous les vaccinés, sans aucune exception. »

L’hémogramme montre encore des altérations longtemps après la vaccination. D’après lui, les différences sont si parlantes que le sang des deux groupes peut être distingué à 100 %. Il est donc évident que le sang est altéré par la vaccination. Comme ce n’est pas le but déclaré de l’injection, et comme les gens ne sont pas informés, le Dr Retzlaff pose la question de savoir s’il ne s’agit pas d’un délit. Regardez ses explications dans un entretien avec Elsa Mittmannsgruber.

Interview avec le Dr Klaus Retzlaff par la journaliste Elsa Mittmannsgruber

A l’heure actuelle quels sont les projets dans votre groupe de chercheurs ? Quelles sont les autres études (planifiées) ?

Dr K. Retzlaff : Nous examinons aussi le sang avec des filets neuronaux artificiels. Cela veut dire qu’on soumet des photos du sang à l’intelligence artificielle des ordinateurs afin qu’elle distingue le sang des vaccinés de celui des non-vaccinés. Actuellement, nous avons des groupes de 14 et 16 sujets d’expérience, vaccinés et non-vaccinés, et c’est là que l’IA (intelligence artificielle) arrive à distinguer à 100 % le sang des vaccinés et celui des non-vaccinés, même si on admet que pour l’instant ce n’est qu’un tout petit groupe. J’aimerais suggérer que d’autres groupes de chercheurs fassent aussi des études. Surtout, nous avons besoin de plus de patients qui participent à ces recherches – mais le fait que c’est possible (de faire la distinction) est déjà un problème en soi.

Car cela veut dire que le sang, c’est-à-dire un liquide organique du corps, est de toute évidence altéré par les vaccins. Mais cela n’a jamais été un but. Il ne faut pas oublier que le sang s’est optimisé à travers des millions d’années. Si maintenant, tout à coup, des altérations peuvent être prouvées à l’aide d’instruments de mesures sophistiqués, la question d’un délit se pose.

Sources :

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