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L’histoire du contrôle de la population est importante pour comprendre la COVID-19.

Par un médecin du Centre-Ouest des États-Unis

La réduction de la population mondiale est un objectif constant de la classe dirigeante depuis des siècles. Si beaucoup soutiennent l’idée abstraite du contrôle de la population, personne ne veut se porter volontaire pour être celui qui sera abattu. Le contrôle de la population est donc un sujet très complexe.

Lorsque le programme de vaccination COVID a été lancé, je me doutais – comme beaucoup d’autres sans doute – que les vaccins COVID auraient pour effet secondaire « inattendu » de réduire la fertilité. Dès le début de leur développement, Mike Yeadon (et d’autres), au prix de grands risques personnels, ont publiquement averti les autorités réglementaires d’un danger évident pour la fertilité inhérent au vaccin (voir la section IX de leur pétition).

Des fuites de documents réglementaires provenant de l’équivalent européen de la FDA ont révélé que Pfizer s’est dispensé de réaliser des tests sur des animaux qui auraient permis d’obtenir des réponses aux principales questions qui préoccupaient (infertilité, auto-immunité et cancer). Cette manière d’agir très inhabituelle laissait entendre que de graves problèmes existaient dans ces trois domaines (car l’on ne peut pas trouver quelque chose si l’on ne le teste pas).

Malgré des démentis répétés, des signes de complications liées au vaccin pour chacun de ces points sont maintenant apparus. Bien que je ne dispose pas de toutes les pièces du puzzle – il existe probablement de nombreuses « initiatives de contrôle de la population » dont je n’ai jamais entendu parler – j’en sais suffisamment pour dresser un tableau clair de cette sale affaire.

La première partie de cet article en deux parties exposera le précédent historique de l’utilisation de tous les moyens nécessaires pour réduire la population, tandis que la seconde partie examinera comment cela a été tenté avec les vaccinations. Cet article est divisé en plusieurs parties :

  • Croyances en matière de contrôle de la population
  • Les gouvernements planifient le contrôle de la population.
  • Mécanismes de contrôle de la population
    • Approches sociales
    • Approches masculines
    • Approches féminines
  • Conclusion

Croyances en matière de contrôle de la population

D’après ce que je peux dire, il y a trois écoles de pensée qui se chevauchent et qui sont à l’origine de la croyance zélée en la nécessité de contrôler la population.

1. De nombreux gouvernements, surtout ceux de l’Est, ont adopté le point de vue selon lequel les guerres périodiques sont nécessaires à la stabilité de la société. Ce point de vue découle principalement de l’instabilité sociale causée par un trop grand nombre de jeunes hommes adultes dans l’État, ainsi que des problèmes qui surviennent lorsque la population ne dispose pas de nourriture suffisante. En conséquence, de nombreuses guerres ont été menées spécifiquement pour cette raison. (Je sais que c’est un thème courant en Chine, car ils ont observé au cours des siècles que la famine est la seule chose qui crée des rébellions.)

Après la Seconde Guerre mondiale, l’élite dirigeante occidentale est parvenue à un consensus selon lequel l’approche guerrière n’était plus tenable en raison de l’infrastructure collatérale extrême et des dommages environnementaux créés par les armes modernes (c’est-à-dire les armes nucléaires). Il n’y a que deux exceptions à cette règle :

a) Les guerres dans les pays du tiers-monde dépourvus d’armement moderne, où les dommages collatéraux étaient sans conséquence pour les pays développés.

b) Les discussions qui ont eu lieu au sein de la direction militaire chinoise, mais qui ne se sont pas concrétisées jusqu’à présent, sur le déclenchement d’une guerre avec l’Inde afin que les deux pays puissent alléger mutuellement leur fardeau démographique. Pour situer le contexte, la Chine a tenté de contrôler sa population avec sa politique de l’enfant unique, mais cette dernière a connu un succès mitigé et a fait face à une très large résistance sociale.

L’alternative à la guerre est une attaque sur plusieurs fronts qui cherche toutes les possibilités de réduire la fécondité et d’accélérer le vieillissement, ce qui, selon beaucoup, est l’option la plus humaine des deux. L’un des faits curieux que j’ai observés au fil des décennies est la fréquence à laquelle une politique ou un agent environnemental bizarre semble toujours converger vers la voie commune de la réduction de la population. Lorsque cela arrive une fois ou deux, l’on peut parler de coïncidence, mais à un moment donné, l’on peut se demander si tout cela n’est pas intentionnel.

Lorsque j’ai étudié les débuts de l’histoire des maladies infectieuses (dont j’ai parlé dans mes articles précédents sur la variole), l’une des choses les plus frappantes pour moi était la misère absolue dans laquelle les serfs étaient contraints de vivre lorsque les seigneurs féodaux les expulsaient de leurs terres pour qu’ils vivent dans les premières villes. C’était bien pire que ce que la plupart des gens de notre époque moderne peuvent même concevoir.

Lorsque j’ai appris cela pour la première fois, j’ai pensé que les dirigeants européens avaient dû considérer cela comme un compromis nécessaire pour soutenir la révolution industrielle, qui était vitale pour le développement national. Après avoir pris connaissance de la philosophie malthusienne, j’ai réalisé que les conditions de vie abominables étaient probablement le but en soi.

En 1798, le révérend Thomas R. Malthus publia un ouvrage influent intitulé An Essay on the Principle of Population (« Essai sur le principe de population »), selon lequel les populations humaines ont tendance à augmenter à un rythme géométrique (exponentiel), mais les moyens de subsistance (nourriture) ne croissent qu’à un rythme arithmétique (linéaire). « Le pouvoir de la population est indéfiniment supérieur au pouvoir de la terre de produire des moyens de subsistance pour l’homme« , selon Malthus, qui pensait donc que le niveau de vie des masses ne pouvait être amélioré sans les contrôles exercés par la guerre, la famine ou la maladie. En leur absence, la population augmenterait à un rythme géométrique et cette augmentation conduirait à un effondrement catastrophique « malthusien » des réserves alimentaires.

Bien que sa théorie comportât de nombreuses erreurs, Malthus fut nommé à de multiples postes importants, et ses idées semblent être progressivement devenues une conviction dominante parmi les membres des classes dirigeantes du XIXe siècle. Ces idées influencèrent également d’autres personnages clés, tels que Charles Darwin, qui élabora sa théorie de l’évolution et de la sélection naturelle.

De nombreux groupes furent fondés au fil des décennies, qui mirent l’accent sur le contrôle des naissances et sur la mortalité croissante des pauvres. Ces groupes comprennent les Elements of Social Science du Dr George Drysdale en 1854, la Malthusian League (Ligue malthusienne) en 1877 et la National Birth Control League (Ligue nationale de contrôle des naissances) de Margret Sanger en 1915, qui devint la Planned Parenthood Federation of America (Fédération du Planning familial d’Amérique) en 1942. Au départ, ces groupes étaient nationaux, mais ils prirent progressivement une envergure mondiale et lièrent les aides internationales et le développement à des mesures de contrôle de la population.

Les idéaux malthusiens et darwiniens donnèrent progressivement naissance au darwinisme social et à l’eugénisme, qui furent largement adoptés par l’élite dirigeante. Le darwinisme social soutient que les divisions de classes sont la volonté de la nature et que cette forme de sélection naturelle, plutôt que d’être mauvaise, est nécessaire. La version la plus extrême de cette idéologie, l’eugénisme, semble être née de deux facteurs clés :

  1. La nature tribale de l’être humain et la tendance à considérer toutes les autres tribus comme inférieures (la classe dirigeante avait ce sentiment à l’égard des pauvres).
  2. Les progrès de la société permettaient à de nombreux membres plus faibles de la société, qui auraient auparavant disparu, de survivre assez longtemps pour se reproduire et, au fil du temps, d’affaiblir considérablement le patrimoine génétique.

L’eugénisme préconisait à son tour d’empêcher ceux qui étaient moins « aptes » de se reproduire. Ce principe fut à l’origine de bien des horreurs depuis sa création et servit de fondement théorique à la stérilisation forcée des malades mentaux par les nazis, entre autres. Dans de nombreux cas, des programmes aux résultats plus immédiats furent également mis en œuvre. Si la plupart des gens connaissent les millions de personnes exécutées par Hitler, d’autres dictateurs comme Pol Pot, Joseph Staline et Mao Zedong firent sans doute pire encore. Un chercheur de premier plan dans ce domaine inventa le terme de « démocide » et estime que ces gouvernements ont exécuté environ 150 millions de personnes au cours du siècle dernier. Lorsque les nazis furent finalement jugés à Nuremberg pour leurs crimes contre l’humanité, peu de gens savent que beaucoup invoquèrent pour leur défense le fait que des actions similaires avaient d’abord été menées par les « grands États-Unis ».

Prenons par exemple l’un des arrêts les plus problématiques de la Cour suprême, Jacobson contre Massachusetts. Dans cet arrêt, Jacobson, qui avait déjà souffert d’une réaction indésirable grave à un vaccin antivariolique, ce qui l’avait amené à contester l’obligation de rappel antivariolique imposée par le Massachusetts, n’eut pas le droit de refuser une vaccination forcée.

À la suite de ce jugement, la Virginie adopta une loi autorisant la stérilisation involontaire des personnes considérées comme des « faibles d’esprit » ou des malades mentaux. Citant l’arrêt Jacobson contre Massachusetts, un juge de la Cour suprême écrivit :

« Le principe qui soutient la vaccination obligatoire est suffisamment large pour couvrir l’ablation des trompes de Fallope. »

En 1930, des dizaines d’États forcent les femmes à subir une stérilisation involontaire, et plus de 60 000 Américaines ont été stérilisées par le gouvernement contre leur gré.

L’on pourrait écrire des livres sur les horreurs de l’eugénisme, mais ce qu’il faut retenir, c’est que cette discipline n’a jamais disparu et a bénéficié d’un soutien durable de la part de la classe supérieure. Saviez-vous que les créateurs du dangereux vaccin COVID d’AstraZeneca – qui a été présenté comme le vaccin de choix pour le tiers monde – ont des liens étroits avec les principales organisations eugénistes ? J’aimerais bien que tout cela soit connu.

L’un des changements majeurs qui apparut au sein de ces mouvements fut de savoir la cible visée. Jusqu’à récemment, ils semblaient être racistes envers des groupes spécifiques de personnes, principalement celles de couleur. Le fondateur du Planning familial, par exemple, voulait réduire le taux de natalité des Noirs, mais beaucoup d’autres objectifs étaient bien pires. L’eugénisme était également pratiqué par des Blancs contre d’autres Blancs, mais il était généralement dû à des différences de classe ou à une qualité génétique perçue plutôt qu’à la race (la seule exception à laquelle je peux penser était l’attitude de l’Empire britannique envers les Irlandais). Tout cela semble avoir évolué récemment et les membres blancs de la société, en bonne santé et aisés, sont désormais également visés. Comme il s’agit d’un nouveau changement, une grande partie de la population occidentale a été prise au dépourvu, et le taux de vaccination contre la COVID a été beaucoup plus élevé chez les Blancs que chez les autres races qui se souviennent d’avoir été ciblées par leurs gouvernements.

Les gouvernements planifient le contrôle de la population.

De nombreux documents et conférences (dont quelques-uns seront discutés) suggèrent que le contrôle de la population a également été une priorité pour les gouvernements nationaux et internationaux. Le tristement célèbre rapport Iron Mountain de 1966 est l’exemple le plus connu, et bien qu’il fasse écho à de nombreux thèmes exposés dans cet article, son authenticité est sérieusement mise en doute.

En tant que tel, je ne pense pas qu’il soit approprié d’en discuter en détail, mais je noterai qu’il contient l’argument selon lequel le besoin de guerre pourrait être remplacé par le fait que la population ne deviendrait progressivement capable de se reproduire que par la fécondation artificielle. Ce thème est repris dans de nombreux autres endroits, comme dans le roman d’Aldous Huxley, Brave New World.

Bien qu’il soit difficile de l’estimer de manière exacte, le recours à la fécondation in vitro (FIV) n’a cessé d’augmenter et devrait continuer à le faire : le CDC estime que son utilisation a « plus que doublé » au cours de la dernière décennie. J’ai également entendu de nombreux rapports selon lesquels, depuis le lancement des vaccins, le COVID a considérablement augmenté la nécessité et la difficulté de la FIV (ceci dit, je n’ai pas pu, à ce jour, trouver de données soutenant directement cette affirmation). Pour ceux qui s’intéressent à la monopolisation du processus de grossesse par la médecine et aux dommages tragiques qu’elle engendre, The Business of Being Born (qui peut être consulté en ligne) et les écrits de Robert S. Mendelsohn sur le sujet sont deux des meilleures ressources que j’ai trouvées sur le sujet.

Le National Security Study Memorandum 200 est le document gouvernemental authentique le plus connu qui fait la promotion d’un programme systématique de contrôle de la population. Rédigé en 1974 par Kissinger pendant la présidence de Nixon (et non classifié des décennies plus tard), il identifie la croissance démographique du tiers-monde comme un problème critique de sécurité nationale pour les États-Unis et décrit une série de mesures pour la combattre.

Le contrôle de la population a également été discuté dans les médias publics. L’article de l’Associated Press du 4 septembre 1994 intitulé « Compromise near on Population Control Plan » indique que :

« A la veille de l’ouverture de la Conférence des Nations Unies sur la population au Caire, un responsable américain a déclaré qu’un compromis sur les questions sensibles de l’avortement et du contrôle des naissances était « très proche »… Au cours de trois conférences préparatoires, les délégués de 170 pays se sont mis d’accord sur plus de 90 % du plan de contrôle de la population. »

Le mémo confidentiel du Cobden Club Memo Mandate for Reduction of Existing World Population est un document désormais accessible qui aurait été présenté à un groupe de représentants internationaux peu avant la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement de 1992, qui portait sur la gestion des conséquences de la surpopulation. Ce mémo faisait référence à de nombreux autres projets de réduction de la population, soulignait l’urgence d’une mise en œuvre mondiale de moyens de réduction de la population, et préconisait que chaque membre du conseil de sécurité des Nations unies (les principales puissances militaires) contraigne le reste du monde à se soumettre à ce programme. Bien que le sommet ait eu lieu (c’est là que l’Agenda 21 a été formulé), comme le Rapport d’Iron Mountain et beaucoup d’autres documents du même genre, je ne suis pas sûr que ce document soit authentique, ce qui contribue à rendre la recherche sur ces sujets si difficile.

Mécanismes de contrôle de la population

Pour autant que je sache, les mesures de contrôle de la population suivent généralement l’une des trois approches suivantes :

  1. Créer des changements sociaux qui découragent d’avoir des enfants.
  2. Introduire un facteur environnemental qui diminue la testostérone masculine et la viabilité des spermatozoïdes.
  3. Stériliser directement (ou donner un moyen de contrôle des naissances aux femmes en âge de procréer).

Approches sociales

La première approche est un sujet politiquement délicat. Je vais citer quelques exemples rapides :

  • Le féminisme de la deuxième vague a permis à une partie importante de la population de passer de l’éducation d’une famille à la maison à une existence stérile en travaillant à l’extérieur de la maison. Le féminisme de la deuxième vague a été essentiel pour notre pays et a corrigé de nombreuses injustices graves à l’égard des femmes, mais il existe également des preuves suggérant que le mouvement a été détourné pour aider la classe supérieure en retirant aux femmes leur rôle de mère et en doublant la main-d’œuvre. Par exemple, une pionnière de ce mouvement, Gloria Steinem, qui déconseillait fortement d’être une femme au foyer, était également un agent de la CIA.
  • Les messages sociétaux concernant les relations amoureuses sont passés de la relation romantique (qui produit des enfants) à une culture de la drague sans intimité.
  • Les femmes sont fortement encouragées à poursuivre leur carrière avant d’avoir des enfants ou une famille, ce qui fait qu’elles ratent souvent l’occasion d’en faire.
  • Les médias et la corporatocratie encouragent activement les couples sexuels rares qui ne peuvent ou ne veulent pas avoir d’enfants.
  • Les alternatives aux relations, telles que la dépendance à l’ordinateur ou à la vidéo, sont fortement encouragées dans la société.
  • D’un point de vue économique, il est devenu de plus en plus difficile pour les individus de se permettre d’avoir des enfants.
  • Avoir des enfants est considéré comme destructeur pour l’environnement et donc fortement déconseillé.
  • Avoir des enfants est désormais considéré comme un obstacle majeur à la croissance spirituelle et à l’épanouissement personnel.
  • Le fait d’avoir des enfants a progressivement perdu son soutien généralisé et sa validation sociale.

J’ai personnellement observé qu’au fil des années, de moins en moins de personnes sont intéressées par le fait d’avoir des enfants, et qu’une combinaison des raisons ci-dessus est généralement invoquée. Je trouve également que les personnes qui ont des enfants ont un sentiment de bonheur beaucoup plus profond que celles qui n’en ont pas, malgré les messages des médias qui suggèrent le contraire.

L’idée d’un contrôle de la population ou d’une extinction massive pour le plus grand bien [de l’humanité] est également de plus en plus présente dans les médias. Avengers Endgame a été le film le plus rentable de 2019, et il a fait l’objet d’une telle promotion dans tous les médias qu’il a accompli l’exploit unique de presque doubler les recettes de son producteur. Je me suis souvent demandé si cela était délibéré, en raison du message que le film a diffusé dans les mois précédant immédiatement la COVID-19, à savoir la nécessité d’être mauvais et d’éliminer la moitié de la population pour le « plus grand bien ».

Il existe également de nombreux facteurs qui affectent directement la fécondité. Chacun d’entre eux semble avoir suivi une progression graduelle, comme le mythe de la « grenouille en ébullition », dont l’apparition est trop lente pour que la plupart des victimes puissent la reconnaître.

Approches masculines

À l’heure actuelle, la santé masculine est nettement moins étudiée que la santé féminine (par exemple, de nombreux diplômés récents avec lesquels j’ai discuté ont estimé que la « médecine transsexuelle » était peut-être plus importante dans leur programme que la « santé masculine » dans leur programme d’études de médecine). Par conséquent, une grande partie de ce qui est présenté dans cette section, comme l’importance de la testostérone, est encore relativement inconnue.

Malgré ce manque de connaissances, il est presque universellement admis dans la littérature scientifique qu’il y a eu une baisse massive et soutenue des niveaux de testostérone masculine au cours des décennies (les niveaux de testostérone d’un homme vont de pair avec sa santé et sa fertilité). Ce déclin affecte directement la santé des hommes (et dans une moindre mesure celle des femmes), et de nombreux médecins pratiquant une médecine intégrative ont constaté que le fait de rectifier ce déclin crée de profonds bénéfices chez un grand pourcentage de leurs patients. Le déclin de la qualité et de la viabilité du sperme a également été observé, mais comme il est plus difficile de le quantifier objectivement, il n’existe pas autant de données pour soutenir clairement cette tendance.

Un moyen courant de contrôler les populations animales consiste à introduire universellement un agent qui diminue la fertilité masculine (car ces agents sont généralement plus faciles à distribuer à grande échelle que les agents qui ciblent la reproduction féminine). En outre, une méthode courante de contrôle du comportement animal consiste à castrer les mâles, car cela réduit leur agressivité et leur « désobéissance à l’autorité ». (Par exemple, un procès récent a été intenté par un garçon de 16 ans qui a développé des seins après avoir été forcé de prendre des œstrogènes en prison pour « contrôler son comportement ».) On comprend donc pourquoi les membres de la classe dirigeante seraient ouverts à l’idée d’utiliser des approches similaires sur les « mangeurs inutiles » de la population (il existe de nombreux termes pour désigner ce concept, y compris ceux qui proviennent du programme eugénique des nazis).

Bon nombre des facteurs à l’origine de ce déclin semblent avoir été délibérément placés dans l’environnement. Les plus influents sont les xénoestrogènes, des produits chimiques artificiels qui imitent les caractéristiques des œstrogènes et féminisent les organismes. Le commentaire tristement célèbre d’Alex Jones sur les produits chimiques qui « rendent les grenouilles gay », par exemple, faisait référence à l’atrazine, un herbicide encore largement utilisé, dont on sait depuis plus de 20 ans qu’il crée des grenouilles hermaphrodites. Pour ceux que cela intéresse, le livre audio de huit heures, Estrogeneration: How Estrogenics Are Making You Fat, Sick, and Infertile fournit un excellent résumé du sujet.

Parmi les xénoestrogènes les plus courants, outre l’atrazine (et d’autres herbicides), citons les suivants :

  • Les pilules contraceptives, qui sont conçues pour ne pas se décomposer et qui donc se recyclent dans le circuit de distribution de l’eau (c’est un problème courant dans les régions qui réutilisent les eaux usées, notamment en Chine, où les contraceptifs oraux sont largement utilisés).
  • Le soja (sauf dans les rares cas où il est fermenté, comme dans le miso ou le natto) est un aliment qui représente une part importante de l’alimentation humaine. Bien qu’il s’agisse d’un problème beaucoup moins courant (mais parfois encore), les produits à base de lavande ont un effet similaire.
  • Le bisphénol A et le bisphénol S, présents dans de nombreuses matières plastiques, qui entrent constamment en contact avec notre corps et nos aliments.
  • Les phalates (également présents dans de nombreux plastiques, je m’en préoccupe particulièrement lorsque je m’approvisionne en produits IV).
  • Les parabènes (utilisés comme parfums dans de nombreux produits cosmétiques).
  • Le DDT et les PCB [1] sont des produits chimiques mutagènes très dangereux. Malgré leur toxicité connue (Monsanto, le premier producteur de PCB, a vu en trois ans 23 de ses 24 chercheurs développer des visages défigurés), il a fallu des décennies, et dans certains cas presque un siècle d’activisme, pour les retirer du marché. Des quantités massives de ces produits chimiques ont été produites, et ils persistent dans l’environnement, s’accumulent dans la chaîne alimentaire (notamment par le biais des poissons), et affectent encore les gens aujourd’hui. En plus d’être destructeurs pour les humains et la faune, ces produits chimiques sont à l’origine d’un grand nombre des changements que nous observons encore aujourd’hui (comme la diminution du nombre de spermatozoïdes chez les hommes).

Si l’on sait que l’augmentation des taux d’œstrogènes féminise directement les hommes, l’on sait moins qu’il existe des récepteurs d’œstrogènes dans le cerveau qui réduisent les taux de testostérone lorsqu’ils sont stimulés. Le clomifène, un médicament conçu pour induire l’ovulation (soit pour les patientes qui ne peuvent pas ovuler, soit pour recueillir des ovules pour la FIV) bloque ce récepteur anti-testostérone. L’administration directe de testostérone peut être utilisée pour la santé masculine, mais de nombreux médecins trouvent également un avantage significatif à utiliser le clomifène, car il peut à lui seul augmenter la testostérone et, dans de nombreux cas, traiter l’infertilité masculine. Ceci (en plus de nombreuses preuves) suggère que les xénoestrogènes jouent un rôle clé dans le déclin de la testostérone chez l’homme.

L’une des plus grandes influences sur la fonction testiculaire est le rayonnement micro-ondes (émis par les téléphones cellulaires et les appareils Wi-Fi). La matière cérébrale, le cœur et les testicules sont les tissus les plus sensibles de l’organisme à ces micro-ondes (pour les curieux, de nombreuses recherches le prouvent).

L’intensité du champ de micro-ondes (selon la loi du carré inverse) diminue exponentiellement à partir de sa source, et une approche souvent efficace pour traiter l’infertilité masculine consiste à éviter de porter un téléphone dans la poche ou d’utiliser un ordinateur portable près des genoux. Bien que je ne connaisse pas les effets de ces rayonnements sur les ovaires, il a été démontré que l’intensité des champs micro-ondes augmente dans l’utérus au lieu de diminuer comme l’on pourrait s’y attendre (l’utérus est un organe fascinant), et qu’il existe un certain degré de corrélation entre les anomalies congénitales et l’exposition prénatale aux champs électromagnétiques.

De nombreux autres facteurs influencent également les niveaux de testostérone et la fertilité. Deux des exemples les plus intéressants sont la metformine, un médicament très couramment utilisé contre le diabète qui a le curieux effet secondaire de réduire la testostérone (ce qui peut être débilitant pour les hommes âgés qui sont déjà déficients en testostérone), et le stevia, un substitut du sucre largement utilisé, qui a été étudié à plusieurs reprises pour ses propriétés réductrices de testostérone et contraceptives. Tout cela forme un cercle complet, car nombre de ces substances interfèrent également avec le métabolisme, créant ainsi l’obésité, et les cellules graisseuses, via l’aromatase, perpétuent le cycle en transformant la testostérone en œstrogènes.

Pour lier tout cela, Niels E. Skakkebæk, médecin titulaire d’un doctorat, expert en cancer du testicule, a montré, grâce au registre national des cancers du Danemark (tenu depuis 1943), que le taux de cancer du testicule a plus que triplé entre 1943 et 1993 et continue de croître depuis. Dans le même temps, il a également constaté que la densité des spermatozoïdes est passée de 113 millions par millilitre en 1940 à 66 millions par millilitre en 1990 et que le volume des spermatozoïdes a diminué de 19 % en moyenne.

Je soupçonne que cette corrélation résulte en partie de l’augmentation du nombre de testicules non descendus chez les hommes, une condition qui cause à la fois l’infertilité masculine et le cancer du testicule. Dans les années 1950, selon des recherches anglaises, un testicule non descendu se produisait dans 1,6 % des naissances, mais il se produit maintenant dans 3 à 5 % des naissances à terme et dans 30 % des naissances prématurées. Cette chronologie (mauvaise gestion continue d’un testicule non descendu qui finit par être cancéreux), entre autres, est à l’origine de la mort de l’auteur d’un blogue anonyme que j’ai suivi pendant des années et dont j’ai beaucoup appris.

Approches féminines

Alors que les méthodes de stérilisation masculine ont tendance à être administrées uniformément dans tout l’environnement, en raison de la biologie des mammifères, la stérilisation féminine nécessite généralement des approches plus ciblées. La seule exception que je connaisse à cette règle s’est produite en Inde dans les années 1970, où le Premier ministre, en échange de prêts internationaux, a déclaré la loi martiale et a imposé des vasectomies par la force militaire, stérilisant de manière macabre six millions d’hommes avant d’être contraint d’abandonner cette initiative en raison d’une violente contre-protestation masculine (d’où la raison pour laquelle seules les femmes sont directement visées par la stérilisation).

La stérilisation par la vaccination a longtemps été considérée comme le Saint Graal du contrôle de la population, car la foi mondiale dans la vaccination permet l’administration massive et secrète de substances stérilisantes et, contrairement à de nombreuses autres méthodes, elle ne doit en théorie être effectuée qu’une seule fois. À ce titre, de nombreuses recherches ont été menées dans ce domaine, mais, du moins jusqu’à récemment, la technologie nécessaire faisait défaut. Pour bien comprendre le contexte de cette approche, nous allons d’abord examiner ce qui a été fait avec l’administration forcée des technologies traditionnelles de contraception et de stérilisation.

Si les nazis, qui ont stérilisé ou exécuté de force des millions de personnes qu’ils jugeaient inaptes à se reproduire, sont les délinquants les plus notoires de l’histoire, de nombreuses campagnes de stérilisation ont été menées de force par des gouvernements du monde entier sur des femmes pauvres de couleur. L’un des exemples les plus connus s’est produit aux États-Unis dans les années 1960 et 1970. Les services de santé indiens y ont stérilisé, par la force et la tromperie, entre 25 et 40 % de la population féminine amérindienne par ligature des trompes et hystérectomie, ce qui a entraîné une réduction de moitié de leur taux de natalité.

Parmi les autres exemples, il est possible de mentionner ce qui suit :

  • 40 000 femmes ont été stérilisées en Colombie entre 1963 et 1965 par des programmes financés par Rockefeller.
  • Un million de femmes ont été stérilisées au Brésil entre 1965 et 1971.
  • Un programme de contrôle de la population imposé par les États-Unis et administré par le Corps de la paix en Bolivie a stérilisé des Indiennes Quechua à leur insu et sans leur consentement.

Le contrôle de la population est moins simple une fois que la stérilisation directe n’est plus utilisée, il est donc important de comprendre les paramètres des technologies existantes. À ce propos, l’un des aspects de la vie moderne que j’ai toujours trouvé particulièrement injuste est l’absence de bonnes options de contrôle des naissances. Chaque option a de graves problèmes de santé associés ou crée des obstacles à l’intimité. Les seules font exception (je connais de nombreuses personnes qui utilisent des pratiques comportementales ou spirituelles telles que la méthode des rythmes et la rétention de la semence) échouent inévitablement.

Pour autant que je sache, la meilleure option de contrôle des naissances est un diaphragme bien conçu [2]. Malheureusement, la recherche sur cette approche a été mise de côté lorsqu’on a réalisé que les pilules contraceptives représentaient un marché beaucoup plus rentable. Bien que ce ne soit pas l’idéal, ma conviction actuelle est que les DIU [3] qui peuvent être tolérés sont la meilleure option disponible. Malheureusement, de nombreuses femmes ne les tolèrent pas non plus (par exemple, l’une de mes camarades de classe a failli échouer à sa première année de médecine en raison d’une mauvaise réaction à un DIU en cuivre).

Malheureusement, si les formes actuelles de contraception posent de sérieux problèmes de santé, les approches actuelles (à l’exception de la méthode Essure, récemment abandonnée) sont beaucoup plus sûres que bon nombre des formes expérimentales antérieures de contraception (l’horreur des boucliers Dalkon en est un excellent exemple). Une grande partie de ces résultats est inconnue, car comme nous l’avons vu dans l’article précédent sur les horribles expériences militaires forcées avec le vaccin contre l’anthrax (qui ont jeté les bases de l’opération Warp Speed), la recherche médicale est souvent menée sur des populations vulnérables qui restent généralement hors de vue et hors de la pensée.

Du point de vue de la gestion de la population, un moyen de contrôle des naissances injectable à long terme est la seule option envisageable. Après tout, rien ne garantit que les gens prendront indéfiniment des pilules coûteuses, il est peu probable que vous puissiez réinjecter régulièrement une population, et tout autre moyen qu’une injection prend trop de temps pour être appliqué à un grand nombre de personnes.

L’un des meilleurs candidats pour cette approche est le Depo-Provera injectable, l’une des options de contraception les plus nocives qui a sérieusement affecté la santé de nombreuses femmes que je connais. Le Depo-Provera, comme vous pouvez le deviner, est régulièrement utilisé par les organisations internationales dans les pays du tiers-monde. Il y a presque 50 ans, en 1979, l’USAID, par l’intermédiaire de la Fédération internationale pour le planning familial, a fourni du Depo-Provera à 378 000 femmes au Mexique, au Sri Lanka et au Bangladesh dans le cadre de projets de recherche expérimentale. L’administration généralisée du Depo-Provera par ces organisations se poursuit encore aujourd’hui (avec l’implication supplémentaire d’organisations plus modernes comme la Fondation Gates qui perpétue la tradition en le distribuant sans relâche aux femmes vulnérables).

Une pression a été exercée pour distribuer le Depo-Provera à grande échelle, comme vous pouvez vous y attendre, et cela a souvent été fait d’une manière contraire à l’éthique où les bénéficiaires n’avaient souvent pas connaissance de ce qui leur était fait. Nous allons passer brièvement en revue quelques-uns de ces exemples.

Dans les sociétés où les Blancs contrôlaient une population non blanche, le Depo-Provera était souvent administré de manière discutable à la population indésirable. En Afrique du Sud, pendant l’apartheid, alors que les Blancs s’inquiétaient de plus en plus de l’accélération du taux de natalité des Noirs, le Depo-Provera était administré de force aux femmes noires dans les agences de planning familial financées par le gouvernement. Pour citer le Dr Nthato Motlana, qui était à l’époque l’un des principaux médecins noirs du pays :

« Le « consentement éclairé » n’existe pas ici. Les agences administrent des injections de Depo-Provera à des jeunes filles noires sans même leur demander leur consentement. »

Cette pratique existait également au Zimbabwe, où, sous le régime blanc, le Depo-Provera était le contraceptif le plus utilisé par les femmes noires jusqu’à ce que Robert Mugabe, un Noir, devienne Premier ministre et annule le programme. Le Canada, un autre pays qui a stérilisé sa population indigène, a également fait un usage fréquent du Depo-Provera sur cette population. Enfin, en Australie occidentale, le Depo-Provera était également largement administré par les services de santé gouvernementaux aux femmes aborigènes. Il s’agit d’un contexte critique pour les appels à l’aide lancés par cette communauté contre les programmes de vaccination forcée du gouvernement australien contre la COVID.

Lorsque des situations désespérées se présentent, elles aussi sont fréquemment mises à profit par les organisations internationales pour mettre en œuvre des campagnes de contrôle de la population. Recevoir du Depo-Provera ou une procédure de stérilisation est souvent une condition pour bénéficier de l’aide internationale. Au Bangladesh, une région où les individus meurent fréquemment de faim, c’était la condition pour recevoir de la nourriture. Dans les camps de réfugiés thaïlandais accueillant les Cambodgiens fuyant l’effondrement de leur pays proviqué par les Khmers rouges, les réfugiés étaient souvent obligés de recevoir du Depo-Provera pour avoir accès aux nécessités de la survie, et dans certains cas, ils étaient simplement forcés de le recevoir, tandis que les réfugiés masculins étaient payés pour recruter le plus grand nombre possible de réfugiés pour qu’ils reçoivent l’injection.

Lorsque vous regardez les événements ci-dessus, il existe une variété de « récits » différents qui pourraient être utilisés pour les décrire. En raison de la quantité de doses de Depo-Provera stockées et de l’argent derrière le projet, pour beaucoup de personnes impliquées dans le processus, l’objectif était simplement de savoir comment en distribuer le plus possible. Ainsi, chaque fois qu’une occasion d’augmenter l’utilisation du Depo-Provera se présentait, elle était saisie, et les questions éthiques liées à l’utilisation des circonstances désespérées des individus ou à la suppression de leur droit de consentement n’étaient même pas envisagées.

Dans d’autres cas, comme celui du Bangladesh, l’on aurait pu facilement raisonner ainsi : « S’il y a trop de gens ici et que tout le monde meurt de faim, il n’est pas approprié de nourrir quelqu’un à moins de l’empêcher aussi d’avoir des enfants. » Enfin, il y a les cas où des races sélectionnées ont été délibérément stérilisées pour protéger les intérêts de la classe dirigeante et il est difficile d’argumenter que leurs intentions étaient autre chose qu’égoïstes et mauvaises.

Il est important de prendre en compte chacun de ces récits lorsque l’on examine la manière immorale dont les vaccins COVID-19 ont été distribués et imposés. Ces idées sont des thèmes récurrents dans l’histoire, et elles se sont toutes manifestées à plusieurs reprises au cours de la campagne de vaccination actuelle.

Conclusion

Contrairement à ce que l’on croit généralement, la plupart des pénuries alimentaires actuelles sont dues à des personnes qui veulent profiter de l’allocation inégale des ressources plutôt qu’à un manque de nourriture disponible. Nombreux sont ceux, dont je fais partie, qui pensent que si nous parvenons à vivre en harmonie avec notre environnement, la Terre a la capacité d’accueillir au moins 40 milliards de personnes. De même, si nous menons une existence plus coopérative où nous faisons évoluer la communauté qui nous entoure, la motivation à avoir un grand nombre d’enfants (le principal moteur de la croissance démographique) disparaîtra probablement.

Tout cela est très réalisable et ne nécessite pas de sacrifices extrêmes dans la qualité de vie de chaque être humain. Cependant, la nature de ce modèle créerait un modèle social coopératif autosuffisant où l’oligarchie n’aurait plus le contrôle sur tout. Cette façon de vivre est inacceptable pour ceux qui sont au pouvoir, aussi l’accent a-t-il toujours été mis sur le maintien de leur pouvoir et sur le maintien de la population à un niveau qui soutient la hiérarchie existante, ce qui est de plus en plus difficile à accomplir à mesure que nos niveaux de vie augmentent.

À l’époque actuelle, la valeur du travail des êtres humains a été considérablement réduite par la technologie moderne (en particulier ces derniers temps avec l’intelligence artificielle et la robotique). D’après les nombreuses publications que j’ai lues, il semble que l’oligarchie considère maintenant que la valeur productive offerte par notre niveau de population actuel est dépassée par les coûts liés au fait d’avoir autant de personnes. La deuxième partie de cet article sera bientôt publiée et traitera des différentes façons dont les vaccinations ont été utilisées pour affecter la fertilité. En attendant, je vous demande de réfléchir à la façon dont l’oligarchie pourrait aborder son dilemme démographique actuel.

En outre, si vous souhaitez en savoir plus sur les campagnes de stérilisation forcée menées par l’OMS, je vous recommande vivement de lire le chapitre 10 de The Real Anthony Fauci. Ce chapitre étudie aussi ce sujet, mais il est beaucoup plus détaillé dans de nombreux domaines et fournit des références complémentaires.

Source : https://amidwesterndoctor.substack.com/p/the-history-of-population-control


Notes de Vigilance Pandémie

[1] Les acronymes DDT et PCB désignent respectueusement le dichlorodiphényltrichloroéthane et les polychlorobiphényles.

Le DDT est un insecticide anti-paludisme qui a été lancé dans les années 1940 par le fabricant suisse Geigy (aujourd’hui Novartis). Celui-ci a notamment servi à lutter contre les moustiques porteurs du paludisme. À l’époque, on le considérait comme totalement inoffensif pour l’homme et l’environnement. Le DDT est un organochloré (molécules de carbone, hydrogène et chlore), issu de la chimie du chlore. La vérité de sa capacité de contamination pour l’environnement éclate dans les années 1960. Cet organochloré s’accumule dans toute la chaîne du vivant – en particulier chez les plus gros prédateurs, rapaces, poissons, et chez l’homme. Le DDT sera interdit aux États-Unis en 1972, et un peu plus tard en Europe.

Les dioxines et polychlorobiphényles (PCB), quant à eux, sont des substances chimiques particulièrement toxiques pour l’homme et l’environnement. Il s’agit en effet de polluants organiques persistants (POP), c’est-à-dire des substances toxiques qui s’accumulent dans les organismes vivants et ne sont plus éliminées. Ces polluants entraîneraient des effets néfastes sur la reproduction (risques de perturbation endocrinienne), et probablement des effets cancérigènes. La toxicité chronique aux dioxines, encore mal connue, provoquerait des dommages sur les plans immunitaire, endocrinien, nerveux et de la reproduction. Les dioxines sont suspectées de causer des cancers. Les bébés sont parmi les plus exposés en raison d’un possible transfert de ces molécules au travers du placenta et du lait maternel. Les études sur le lait maternel montreraient une baisse de la présence de dioxines ces dernières années,  baisse liée à des règlementations plus sévères Selon les évaluations du Comité mixte FAO/OMS d’experts des additifs alimentaires (JECFA), la dose mensuelle tolérable provisoire (DMTP) en matière de dioxines et de PCB de type de dioxine serait de 70 picogrammes/kg par mois. Sous ce seuil, il n’y aurait pas d’effets détectables sur la santé. Cette évaluation prend en compte la dissipation au bout de quelques années d’une partie des effets toxiques des dioxines.

[2] Un diaphragme est un dispositif médical contraceptif en silicone. Ce moyen de contraception s’insère dans le vagin avant un rapport sexuel et agit comme une barrière bloquant l’entrée des spermatozoïdes dans l’utérus. Le diaphragme est une méthode de contraception mécanique. Il n’y a pas d’effet abortif, mais l’auteur manifeste une incompréhension de la finalité de l’acte et de son sens intégral par les utilisateurs.

Principe du diaphragme

[3] Le stérilet en cuivre est un dispositif intra-utérin (DIU) dont la pose doit être assurée par un médecin. Il doit être renouvelé tous les trois à cinq ans. Le cuivre va intervenir directement sur les spermatozoïdes et les rendre inactifs. Le DIU peut provoquer des saignements, modifier la durée et le flux des menstruations. Le DIU provoque une irritation permanente de l’endomètre et crée des conditions défavorables pour l’implantation de l’embryon dans la muqueuse utérine. Il y a là les conditions pour des avortements très précoces permanents.


A propos de l’auteur

L’auteur de cet article est médecin et le responsable du blogue « The Forgotten Side of Medicine » . Voici sa présentation de lui-même :

Je suis un médecin diplômé du Centre-Ouest des États-Unis et j’appartiens à un réseau de médecins partageant les mêmes idées qui veulent désespérément créer un changement positif pour notre société. Pour ce faire, nous nous sommes concentrés sur la restauration de la discipline médicale et sur la transmission des connaissances que nous ont enseignées nos extraordinaires mentors.

L’année dernière, je me suis rendu compte que nous étions en train de revivre la campagne de vaccination contre la variole et qu’il était essentiel pour nous de tirer les leçons des combats de nos ancêtres afin de ne pas répéter les erreurs de l’histoire. J’ai essayé pendant des mois et des mois, sans succès, de faire passer le message par le biais de contacts dans les médias alternatifs. Un samedi matin, je me suis réveillé et j’ai réalisé que tout ce travail qui n’aboutissait à rien ne me convenait pas et j’ai décidé que je devais au moins essayer de promouvoir directement le message moi-même… et peu de temps après, je suis tombé par hasard sur une Substack virale et j’ai réalisé que j’avais la responsabilité d’utiliser cette facette oubliée de la médecine pour la faire connaître au public.

Il y a beaucoup de côtés sombres de la médecine que notre société n’a jamais acceptés, et une grande partie de ce que nous avons subi dans la crise COVID-19 n’aurait jamais pu se produire si ces événements n’avaient pas été balayés sous le tapis. Cependant, même si mon scepticisme à l’égard de certains aspects de la médecine peut laisser penser le contraire, j’aime sincèrement cette profession et il ne se passe pas un jour sans que je sois profondément reconnaissant pour ma carrière. La médecine a ses côtés lumineux et sombres, et en tant que société, nous devons tous jouer notre rôle pour la faire évoluer vers la lumière. Le site « The Forgotten Side of Medicine » (La face oubliée de la médecine) est censé résumer ces deux aspects de la médecine, et je crois sincèrement que nous en bénéficierons tous en nous souvenant d’eux.

L’on pourrait citer de nombreuses raisons pour expliquer les lacunes de la médecine, mais je crois que la cause ultime de ces lacunes est la suppression de l’esprit de la médecine, qui, contrairement à la croyance populaire, peut facilement coexister avec la rigueur scientifique. Lorsque je suis entré dans la médecine, mon objectif était d’aider à faire évoluer la conscience de ma profession et de créer une meilleure pratique de la médecine, car j’avais le sentiment que les retombées de cette démarche me permettraient d’avoir un impact positif maximal sur la planète. Une grande partie de ma carrière et de mes finances a donc été consacrée à la promotion de cet objectif (par exemple, par le biais d’initiatives de guérison à but non lucratif ou en travaillant dans des cliniques gratuites) et, selon la façon dont on les compte, j’ai deux ou trois emplois presque à temps plein pour y parvenir.

Une vision de l’histoire identifie des « points de bifurcation » périodiques où l’histoire du monde a le potentiel d’aller dans deux directions radicalement différentes, l’une positive et l’autre négative. Il semble que nous soyons arrivés à l’un de ces points de bifurcation, avec une voie représentant les grandes technologies et les grandes entreprises pharmaceutiques contrôlant tous les aspects de nos vies, tandis que l’autre voie représente une récupération de notre véritable potentiel en tant qu’êtres humains individuels et au sein de la société dans son ensemble.

De nombreuses personnes avant moi ont eu la même perception que moi et ont essayé de promouvoir les messages auxquels je crois. A quelques exceptions près, elles ont largement échoué, et tous étaient d’avis que le monde n’était pas prêt à recevoir leurs idées, mais que dans l’avenir, le temps viendrait où ces vérités universelles se répandraient comme une traînée de poudre. Ce temps semble être venu aujourd’hui, où il y a une grande demande pour ce type de contenu, et malgré ma bande passante limitée, j’essaie de faire au mieux avec la responsabilité qui est la mienne.

Pour l’instant, mon dossier et mes qualifications sont impeccables, ce dont j’ai besoin pour que les portes de la médecine curative s’ouvrent à moi. Au-delà de la protection de ce dossier, il y a deux raisons principales pour lesquelles j’ai rendu ce blogue Substack essentiellement anonyme :

  • Je ne voulais pas que les gens jugent les mérites de mes arguments en fonction de ce que je suis. Je veux que les arguments se défendent d’eux-mêmes et soient jugés pour leurs mérites intrinsèques.
  • Je voulais avoir la liberté de dire ce que je crois être vrai sans avoir à me préoccuper de toutes les implications potentielles de ce que j’ai dit ou non, ni être obligé de choisir un camp.

Mon objectif initial est d’articuler les arguments que beaucoup d’entre vous tentent d’exprimer à leurs pairs. Vous avez mon entière permission de réutiliser le contenu de ce site si vous pensez que quelque chose de positif peut en découler et si vous ne faites pas de fausses citations. Si vous pouvez également faire référence à moi, je vous en remercie. J’ai récemment découvert qu’il existe une licence pour cela (CC BY-SA 4.0), et tout le contenu public ici est sous cette licence.

La première phase de ce blogue Substack se concentrera sur l’exposition des aspects obscurs. Une fois que ce sera fait, l’accent sera mis sur les approches médicales transformatrices.

Fournir une information scientifique objective et éclairée sur la crise sanitaire actuelle, sensibiliser aux enjeux sociétaux et politiques majeurs qui se profilent à l’horizon, alerter le public, rassembler les bonnes volontés et préparer l’avenir.