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Variole du singe et nouvelles épidémies à vaccin : pour relancer les injections ? – Par Laurent AVENTIN

Par Laurent AVENTIN

Avant-propos

Ce dossier est le sixième, il fait suite à cinq dossiers qui portent sur l’infection au SARS Cov-2 et la Covid ainsi que sur les politiques sanitaires conduites par des gouvernements s’alignant sur des mesures communes, en réalité pilotées dans une perspective mortifère, contre tout bon sens clinique (cf. dossier n° 1 [1] et dossier n° 2 [2]). La santé publique n’est pas l’objectif, mais l’élimination programmée de la population par dégradation provoquée du système immunitaire notamment, mais pas uniquement (cf. dossier n° 2 [2]), et la prise de contrôle des populations restantes (cf. dossier n° 4 [4]). La politique de la peur et l’introduction de produits toxiques (cf. dossier n° 3 [3]) et de nanoréseaux dans les injections contre la Covid (cf. dossier n° 4 [4]) sont la base d’une programmation mortifère. Cette guerre contre les populations doit permettre l’instauration d’un gouvernement mondial et d’un nouvel ordre, celui d’une technocratie qui utilise les dernières technologies et la manipulation de l’opinion publique pour instaurer un néototalitarisme qui n’a rien à envier à ceux du XXème siècle.

Le SARS-Cov-2 est un produit de laboratoire, façonné par l’homme, issu de recherches non pacifiques destinées à la guerre bactériologique (dossier n° 5 [5]). D’autres pathogènes ont bénéficié de gains de fonction et conduiront les autorités sanitaires à imposer la vaccination aux populations, mais pas à poursuivre ceux qui façonnent et libèrent ces pathogènes. Plusieurs épidémies devraient voir le jour dans les mois et années à venir. Elles ne sont ni le fait du hasard ni le produit d’une transmission de l’animal à l’homme, mais la volonté de quelques hommes puissants et déterminés à imposer leur domination avec la complicité de ceux qui pensent pouvoir en tirer profit. Essentiellement une classe politique corrompue et assoiffée de pouvoir.

Introduction

L’oligarchie dominante – une nébuleuse composée de différents acteurs comme Klaus Schwab, Bill Gates, Anthony Fauci… les grandes figures de la finance, de l’industrie, de la politique qui se réunissent régulièrement à Davos avec pour objectif de redessiner le monde – travaille à l’instauration d’un gouvernement mondial dans ce qu’elle nomme presque affectueusement le Great Reset. Cette même oligarchie avait annoncé de nouvelles épidémies par la voie notamment de Bill Gates. Nous documentons ce point plus loin dans le texte.

Il ne s’agit en aucun cas d’une analyse scientifique, encore moins d’une prédiction basée sur des évolutions naturelles comme ils souhaiteraient nous le faire croire, mais d’ingénierie biologique et de génétique. La fabrication de chimères virales et de pathogènes fait l’objet de recherches non pacifiques depuis 1922 avec les Russes et les Américains, suivis d’autres nations occidentales. La Chine et de nombreux autres pays ne sont pas en reste. L’épidémie de variole du singe, qui surgit en Europe dans des conditions atypiques au mois de mai 2022, a pris une ampleur inattendue et se répand là aussi de manière inhabituelle dans la communauté homosexuelle comme une infection sexuellement transmissible, ce qui ne correspond pas au tableau clinique des clades d’Afrique de l’Ouest ou du bassin du Congo qui sont les deux zones endémiques (une dizaine de pays) de cette maladie découverte au Danemark en 1958 chez des macaques en captivité.

Ce dossier est rédigé en août 2022, avec les connaissances dont nous disposons à ce jour sur une maladie qui reste encore peu connue du grand public, mais également de la communauté scientifique. L’épidémie en Europe – que l’on peut déjà qualifier de pandémie puisqu’elle touche à ce jour (mi-août 2022) 35 000 cas répartis dans 92 pays – s’est développée de manière exponentielle de mai à juillet 2022. Nous proposons ici une réflexion sur ce départ d’épidémie, le virus de la variole du singe et plus globalement la résurgence de nouvelles épidémies dans un contexte de conflit entre la Russie et l’Ukraine qui s’internationalise par puissances interposées. L’affaire des biolabs financés par le Pentagone en Ukraine n’est pas étrangère à notre problématique puisque des recherches sur la variole étaient financées dans ce cadre (cf. infra). Pourquoi les Etats-Unis financent-ils secrètement des recherches sur un virus mortel à la frontière russe ? L’un de ces virus est-il la cause de l’épidémie actuelle ? Ces virus sont-ils propagés intentionnellement dans le cadre d’une guerre bactériologique pour inciter les populations à recevoir de nouvelles injections… alors que les injections contre la Covid continuent d’avoir des effets délétères sur les populations ?

Autant de questions qui ne sont pas traitées par les médias subventionnés par l’oligarchie mondiale. Le Forum Economique de Davos travaille d’ailleurs à la manière de mieux contrôler l’information mondiale, c’est-à-dire de censurer les informations non conformes à la doxa sur les réseaux sociaux. Tout en continuant cependant de faciliter, par exemple, la pédopornographie.

C’est donc dans un contexte antidémocratique que nous publions ce rapport. Eric Verhaegue vient d’ailleurs de sortir d’une garde à vue en raison de son activité d’information.

Ce dossier a été gracieusement mis à la disposition de Vigilance Pandémie par son auteur que nous remercions bien chaleureusement.

Notes

1. Laurent Aventin. COVID : de la faible efficacité des vaccins à leur toxicité. Janvier 2022. 34 pages.

2. Laurent Aventin. Les effets post-vaccinaux peuvent-ils être pires que le COVID ? Février 2022. 33 pages.

3. Laurent Aventin. De l’oxyde de graphène dans la composition des vaccins contre le Covid. Avril 2022. 34 pages.

4. Laurent Aventin. Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés. Mai 2022. 51 pages.

5. Laurent Aventin. Origines du Covid et armes biologiques. Juin 2022. 41 pages.


A propos de l’auteur

Economiste, spécialiste en santé mondiale, Laurent Aventin est titulaire d’un doctorat de santé publique (Ph.D) et possède une longue expérience des maladies infectieuses. Il a occupé des fonctions auprès de différentes organisations dans le milieu des ONG (Médecins Sans Frontières, Partenaires Contre le Sida), celui de le recherche scientifique (IRD) ou encore pour des institutions nationales et internationales (ministère des Affaires étrangères, Nations unies…) Il a travaillé depuis 25 ans sur les questions de renforcement des systèmes de santé dans les pays du Sud ou bien encore comme directeur d’une ONG spécialisée sur les partenariats publics-privés contre les maladies infectieuses.

Il est  actuellement consultant indépendant et s’est spécialisé dans différents domaines comme la prise en charge des maladies à haut potentiel épidémique (VIH-sida, tuberculose, Ebola…), la santé de la mère et de l’enfant, le financement de la santé et les politiques sanitaires.

Fournir une information scientifique objective et éclairée sur la crise sanitaire actuelle, sensibiliser aux enjeux sociétaux et politiques majeurs qui se profilent à l’horizon, alerter le public, rassembler les bonnes volontés et préparer l’avenir.