La fin des mensonges : l’ivermectine ouvertement reconnue comme médicament pour la Covid-19 par la FDA aux Etats-Unis
Vous souvenez-vous du feu d’artifice de mensonges qui a déferlé des médias grand public sur le secrétaire général du Parti de la liberté d’Autriche (FPÖ), Herbert Kickl ? Ce dernier ne serait pas sérieux, jouerait avec la vie, recommanderait un vermifuge, l’ivermectine, comme remède à la Covid-19. Pourtant, en 2020 déjà, il était parfaitement clair pour toutes les personnes bien informées, qui ne tirent pas leurs informations uniquement de la chaîne de télévision publique autrichienne ORF et autres que ce médicament – dont la découverte a été récompensée par un prix Nobel – est sûr, avait été parfaitement étudié et agit apparemment contre la Covid-19. Mais ce médicament bon marché mettait en danger les milliards de bénéfices de « Big Pharma », il devait donc être supprimé. Il est désormais réhabilité par la justice. Mais les politiques et les prescripteurs du courant dominant auront-ils honte ?
Par Willi Huber
Avant toute chose, rappelons brièvement les faits, car le sujet est extrêmement controversé :
- Ce n’est pas une décision de justice qui produit cette information, mais une déclaration de l’avocat de la FDA dans le cadre d’une procédure d’appel.
- L’ivermectine n’a pas été autorisée comme traitement supplémentaire contre la Covid-19, mais est approuvée pour l’homme aux Etats-Unis depuis 1990 dans le cadre d’applications hors autorisations de mise sur le marché (AMM).
- La FDA a admis devant le tribunal qu’elle n’est pas compétente pour dicter la façon dont les médecins exercent leur profession et utilisent des médicaments approuvés.
La campagne contre l’ivermectine est un exemple classique de corruption, de désinformation ordonnée, de propagande et de dénonciation. On apprend après coup à quel point il est dangereux de donner le contrôle du système de santé à une organisation étrangère et non démocratique comme l’OMS. Car le bien-être des patients n’intéressait visiblement personne dans les premiers mois de 2020. L’utilisation de l’ivermectine a été combattue et empêchée, allant même jusqu’à l’intervention du gouvernement. Les importations ont été bloquées à la douane et des procédures pénales ont même été engagées contre les personnes qui voulaient se procurer le médicament à l’étranger. Pourtant, des médecins du monde entier ont rapporté avoir obtenu de très bons résultats avec des patients atteints de Covid-19.
De nombreuses personnes tuées intentionnellement par un mauvais traitement
Cela paraît dur, mais il semble d’abord que des millions de personnes devaient mourir. Cela a touché les personnes immunodéprimées, les personnes déjà malades, les personnes âgées. Les commanditaires de la pandémie ont sans doute considéré qu’elles n’étaient pas indispensables. Beaucoup d’entre elles auraient pu être sauvées avec les protocoles de traitement actuels. On a appris très tôt que la seule méthode de traitement utilisée avant la campagne de vaccination, la respiration artificielle, faisait sans doute plus de mal que de bien – les gens subissaient un traitement qui menait à la mort dans les hôpitaux et générait des bénéfices élevés.
Cette pratique n’était pas seulement courante aux États-Unis (Report24 en a parlé à de nombreuses reprises, par exemple : Études : jusqu’à 88 % des patients en soins intensifs Covid « ventilés à mort » ?), mais aussi en Allemagne : L’assistance respiratoire rapportait plus d’argent – 20 000 « morts Covid » en raison d’un mauvais traitement ? A cela s’ajoute le fait que le protocole habituel depuis des décennies pour les maladies respiratoires, à savoir le traitement des infections secondaires par des antibiotiques, disparaissait totalement. Des critiques courageux ayant une formation médicale parlent de meurtre ou au moins de complicité. Ces prescriptions fatales sont venues de l’OMS, qui cherche désormais la domination mondiale par la « vérité » diffusée par les médias, par des déclarations de pandémies et par le traitement de ces dernières : ONG, OMS et une application – De nombreuses personnes sont mortes à cause des prescriptions de traitement.
La FDA ne s’oppose plus au traitement de la Covid par l’ivermectine.
Une partie de la campagne de haine et de dénigrement de 2020 contre ce médicament, qui avait fait l’objet de milliers d’études et dont les effets secondaires avaient été testés, et pour lequel les découvreurs William C. Campbell et Satoshi Ōmura avaient reçu le prix Nobel en 2015, a consisté à promouvoir de fausses études. Elles prétendaient qu’il n’y avait aucune d’efficacité. Oui, elles apportaient même une information totalement erronée selon laquelle un risque de surdose était possible dans l’utilisation de ce médicament contre la Covid-19. En Autriche, des journalistes ont allègrement joué le jeu en inventant le cas d’un homme prétendument par surdose, mais qui n’a jamais existé dans la réalité.
Mais aujourd’hui, ce médicament est totalement réhabilité. Le mensonge ne pouvait pas être maintenu. La Food and Drugs Administration (FDA) américaine, qui a joué un rôle clé dans cette pandémie artificielle, a soudainement déclaré que l’ivermectine pouvait bien entendu être prescrite contre la Covid-19. Concrètement, le médicament est autorisé depuis des décennies. Il n’aurait jamais dû y avoir de discussion sur son utilisation comme il y en a eu, même en ce qui concerne une utilisation hors AMM.
Ashley Cheung Honold, une avocate du ministère américain de la Justice (DoJ), qui représente la FDA, a annoncé lors de sa plaidoirie durant une audience du 8 août [2023] devant la cour d’appel américaine du 5e district que la FDA « reconnaît désormais explicitement que les médecins sont effectivement autorisés à prescrire ». Plus précisément, prescrire l’ivermectine pour le traitement de la COVID. »
Epoch Times.
Volte-face totale de la FDA
Cette déclaration constitue un revirement total par rapport aux recommandations et à la manière de procéder antérieures de la FDA. Jusqu’à présent, l’utilisation de l’ivermectine a été expressément interdite ou formellement déconseillée. Des procédures disciplinaires ont même été engagées contre les médecins qui s’opposaient à ces ordres. Les médecins autrichiens en savent quelque chose, eux qui ont été mis sous pression et dont l’existence a été menacée par l’autorité politique qu’est l’Ordre des médecins.
Tout comme les médias haineux ont établi le terme « vermifuge » en Autriche, ils ont utilisé le terme « pâte pour chevaux » aux États-Unis, affirmant que l’ivermectine ne convenait qu’aux chevaux et animaux d’élevage. Ce faisant, on a ignoré le fait que l’ivermectine est elle-même autorisée depuis 30 ans par la FDA pour une utilisation chez l’homme.
Le procès a été intenté par trois médecins qui ont fait valoir que la FDA était intervenue illégalement dans leur activité professionnelle. Il s’agit de Robert L. Apter, Mary Talley Bowden et Paul E. Marik. L’affaire a d’abord été rejetée par le juge de district Jeffrey Brown, mais le procès en appel a finalement permis de rendre justice et de rétablir la vérité.
« Bien sûr, on ne veut pas dicter le métier aux médecins… »
La FDA a soudain affirmé qu’elle n’avait jamais voulu dicter aux médecins ce qu’ils pouvaient faire, notamment en ce qui concerne la prise d’ivermectine comme médicament pour traiter la Covid. Ceci est un comble si l’on considère certaines déclarations publiques faites pendant la prétendue pandémie. Pour les personnes intéressées et les collègues des médias libres, voici la source originale de cette information, le Courthouse News Service.
« Une fois que la FDA a autorisé la vente d’un médicament pour une utilisation chez l’homme, a-t-elle ensuite le pouvoir d’influencer ou d’interférer avec l’utilisation de ce médicament dans la relation médecin-patient ? La réponse est non ».
Jared Kelson, du cabinet d’avocats Boyden Gray & Associates à Washington, a déclaré que le fait que ces médecins prescrivent l’ivermectine hors AMM – à des fins autres que celles autorisées par la FDA – ne fait aucune différence, car la loi fédérale interdit tout ce qui empêcherait ne serait-ce qu’une utilisation hors AMM, comme le prouve le fait que près de 40 % de toutes les ordonnances américaines sont destinées à un usage hors AMM.
« C’est une ligne claire que la FDA ne doit pas franchir », a déclaré Kelson.
Courthouse News Service.
Les juges Jennifer Walker Elrod, Edith Clement Brown et Don Willet ont démonté l’argumentation de la FDA, représentée par l’avocate Ashley Honold, en faisant preuve de logique et de ténacité. Cette dernière a dû admettre qu’il n’appartient pas à la FDA de donner des conseils médicaux aux médecins.
Les déclarations de la FDA doivent être considérées comme contraignantes et c’est ainsi qu’elles sont interprétées et appliquées aux États-Unis. De nombreux médecins proposent maintenant l’ivermectine comme remède de manière offensive, maintenant que la sécurité juridique et donc la fin de la persécution des dissidents sont supposées. En ce qui concerne la partie juridique, la procédure d’appel des trois médecins contre la FDA n’est pas encore terminée, le jugement n’a pas encore été donné. Si les juges se prononcent en faveur des plaignants, l’affaire pourra alors être entendue contre la FDA. La date de cette décision n’a pas été communiquée.
Comment l’ivermectine agit-elle contre la Covid-19 ?
Nous sortirions du cadre imparti si nous nous mettions encore ici à la recherche des mécanismes d’action exacts de l’ivermectine. Une étude de 2021, à laquelle a également participé Peter McCullough, part du principe que l’ivermectine se lie à la protéine spike du virus SRAS-CoV-2 et est donc également efficace non seulement contre les souches originales, mais aussi contre les mutations. L’étude mentionne également un traitement de masse de patients au Pérou, ce qui a entraîné une réduction de 74 % des décès :
Le mécanisme biologique indiqué de l’IVM, la liaison compétitive avec la protéine spike du SRAS-CoV-2, n’est probablement pas spécifique à l’épitope et conduit peut-être à une efficacité totale contre les souches mutantes émergentes du virus.
Ivermectin: a multifaceted drug of Nobel prize-honoured distinction with indicated efficacy against a new global scourge, COVID-19 (*).
Sur pubmed, on trouve également d’autres travaux intéressants sur l’ivermectine comme traitement de la Covid-19. Nombre d’entre eux concluent clairement à l’efficacité du médicament. Pour les spécialistes, nous recommandons éventuellement encore cet article de Nature, paru en 2022 : Die Wirkmechanismen von Ivermectin gegen SARS-CoV-2 – eine ausführliche Übersicht (Les mécanismes d’action de l’ivermectine contre le SRAS-CoV-2 – aperçu détaillé). De nombreux modes d’action possibles de l’ivermectine y sont énumérés et discutés en détail.
En Autriche, on laissait les malades mourir seuls et sans défense chez eux.
On a littéralement laissé mourir chez eux les malades de la Covid-19 en les privant d’assistance médicale. L’accès à de nombreux cabinets médicaux et cliniques leur était refusé – et ceux qui obtenaient tout de même une place à l’hôpital mouraient souvent d’une mort absurde, comme décrit ci-dessus. Le seul mort de la Covid connu personnellement par l’équipe de Report24 était un jeune homme d’une trentaine d’années déjà malade. Il est décédé des suites d’une ventilation.
Les complices dans les médias portent sans aucun doute une lourde responsabilité.
Je fais ici référence aux personnes qui se font appeler « journalistes » dans les médias grand public et qui ont contribué à cette grande escroquerie qui a fait des millions de morts et des millions et des millions de victimes des mesures sanitaires et des effets secondaires du vaccin Covid. Ce sont des prostituées qui mentent pour de l’argent ou des opportunités de carrière, ni plus ni moins – et les plus intelligents d’entre vous saviez certainement ce que vous faisiez.
A titre d’exemples, nous aimerions montrer les articles suivants (ne vous mettez pas en colère et ne vomissez pas sur vos téléviseurs) : Vermifuge contre le Coronavirus ? L’ivermectine devient un danger ! | futurezone aktuell. Lissi & Herr Timpe : Ivermectine, le mensonge vermifuge. Fellners OE24 : Scandale : Kickl recommande un vermifuge pour la Covid. Martin Moder, un scientifique de la désinformation payé par l’État : Vérification des faits au sujet du Coronavirus avec Martin Moder : quelle est l’action de l’ivermectine ? Haine concentrée et désinformation de « l’experte » Ingrid Brodnig : Ingrid Brodnig : Comment les fake news nous nuisent – expliqué par faktiv.
N’oublions jamais de quelle race humaine il s’agit et ce qu’elle a provoqué.
Les conséquences nécessaires
La plus petite punition qui devrait être infligée à ces personnes est une perte de confiance permanente. Ne payez plus jamais un seul centime pour un média qui a participé à la campagne contre l’ivermectine, et ne votez plus jamais pour un parti qui a participé à cette campagne de mensonges.
Toutes les personnes impliquées dans cette campagne de mensonges se sont comportées de manière profondément méprisante, ont marché sur des cadavres en dépit du bon sens. En contrepartie, n’oubliez pas qui, dès la première minute, a offert des informations permettant de sauver des vies : les médias alternatifs. Nous sommes attachés à la vérité et aux personnes, à personne d’autre.
Note
(*) Ivermectine : un médicament multifacette honoré par une distinction Nobel avec une efficacité indiquée contre un fléau mondial, la COVID-19.