
Du graphène dans les vaccins Covid ?
Par Russell Schierling

Nous vivons sur un champ de bataille – un champ de bataille de narratifs et d’idées. Si vous contrôlez le narratif, vous contrôlez la manière dont les gens pensent, les décisions qu’ils prennent, ce pour quoi ils ouvriront leur portefeuille.
Remettez en question le narratif – ou, plus important encore, les motivations qui sous-tendent la promotion de certains narratifs – et vous vous exposez au risque d’être banni. Vous devenez un paria de la société. Un paria professionnel.
Cela n’est nulle part plus évident que dans le monde de la recherche sur les vaccins. Et dans le monde de la recherche sur les vaccins, cela n’est nulle part plus évident que dans le cas de la Covid. Si vous ne respectez pas la ligne de conduite (le narratif), vous risquez d’être mis à l’index, quel que soit l’élite du médecin ou du chercheur que vous êtes ou le type de diplômes que vous possédez.
D’où viennent les narratifs ? Il est rare qu’ils surgissent de nulle part.
Par exemple, au début de la pandémie, le président Donald Trump a été critiqué pour avoir lui-même pris de l’hydroxychloroquine et avoir publiquement suggéré que cette substance pourrait « changer la donne » dans la guerre contre la Covid-19 – une maladie dont nous ne savions alors pas grand-chose. Que vous approuviez ou non cette idée, ne serait-il pas utile de savoir d’où vient ce narratif ?
En bref…
En 2005, un groupe de scientifiques des CDC (n.d.t. : Centers for Disease Control, ou Centres de prévention des maladies) a tenté de trouver une solution au coronavirus SRAS (SARS-CoV). Ils y sont parvenus, apparemment au-delà des espérances les plus folles. Publiée dans le Virology Journal du BMC (n.d.t. BioMed Central), l’étude (Chloroquine is a Potent Inhibitor of SARS Coronavirus Infection and Spread [n.d.t. : téléchargeable aussi ici]) a abouti à des conclusions qui, au moins en apparence, seraient pertinentes pour notre situation actuelle…
Le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) est une maladie émergente qui a été signalée pour la première fois dans la province de Guangdong, en Chine, à la fin de l’année 2002. La maladie s’est rapidement propagée dans au moins 30 pays dans les mois qui ont suivi son apparition, et des efforts concertés au niveau mondial ont permis d’identifier l’agent étiologique comme étant le coronavirus SRAS (SARS-CoV), un nouveau membre de la famille des Coronaviridae… Il n’existe actuellement aucune thérapie prophylactique ou post-exposition efficace. Nous rapportons cependant que la chloroquine a de forts effets antiviraux sur l’infection de cellules de primates par le SARS-CoV. Ces effets inhibiteurs sont observés lorsque les cellules sont traitées avec le médicament avant ou après l’exposition au virus, ce qui suggère un avantage à la fois prophylactique et thérapeutique. CONCLUSION : La chloroquine est efficace pour prévenir la propagation du SRAS-CoV dans les cultures cellulaires…
Intéressant, mais quel est le rapport avec le sujet d’aujourd’hui – le graphène et les spéculations croissantes selon lesquelles il pourrait être un ingrédient non signalé sur l’étiquette des vaccins Covid à ARNm ? C’est simple. Ne serait-il pas utile de comprendre d’où vient cette histoire et pourquoi un nombre croissant de personnes s’interrogent ? Ces questions sont d’autant plus pertinentes que des recherches récentes utilisant des tests chimiques avancés et des analyses spectrographiques suggèrent que le graphène est présent, ou du moins, « probablement » présent.
Qu’est-ce qui est vrai, qu’est-ce qu’une spéculation et, peut-être plus important encore, si cela est vrai, quelles en sont les implications ? En d’autres termes, si cela est vrai, il est important que nous comprenions le pourquoi ou la motivation qui se cache derrière. Nous devons comprendre le narratif.
Pour y parvenir, commençons par quelques notions élémentaires.
Qu’est-ce que le graphène ?
Le graphène est issu d’un minéral courant abondant, le graphite (dont est faite une mine de crayon, par exemple). Wikipedia dit ceci du graphite :
Le graphite est une forme cristalline de l’élément carbone et la forme la plus stable du carbone dans des conditions normales. Sous des pressions et des températures élevées, il se transforme en diamant. C’est un bon conducteur de chaleur et d’électricité, ce qui le rend utile dans les produits électroniques tels que les électrodes, les batteries et les panneaux solaires.
Selon un article paru sur le site Inmesol, le duo de chercheurs russes Andre Geim et Konstantin Novoselov, les pères du graphène – respectivement un ancien professeur de l’Institut de physique et de technologie de Moscou (M. Geim) et son élève vedette (M. Novoselov) –, travaillaient ensemble à l’université anglaise de Manchester lorsqu’ils ont fait leur découverte en 2004. Celle-ci a été jugée suffisamment importante par la communauté scientifique pour leur valoir le prix Nobel de physique en 2010.
Comment ont-ils procédé ? Ils ont simplement appliqué du ruban adhésif sur du graphite et décollé des couches (« lamines ») d’un seul atome d’épaisseur. En effet, le graphène est un graphite très fin.
Pourquoi une découverte vieille de près de deux décennies continue-t-elle à faire parler d’elle dans l’ensemble de la communauté scientifique ? Pour répondre à cette question, il faut d’abord comprendre les propriétés physiques extraordinaires du graphène. Selon un article de septembre 2021 de MetalTech News (Scientists Report Graphene Breakthroughs),
L’explosion de la recherche scientifique sur les propriétés et les avantages potentiels du graphène depuis que ce matériau a été identifié pour la première fois il y a près de vingt ans continue de produire des résultats considérables. Ce matériau miracle à base de carbone est considéré comme ayant un potentiel presque illimité. C’est le matériau le plus fin connu de l’homme, si fin qu’il est considéré comme bidimensionnel. Le graphène est également le matériau le plus solide jamais mesuré, 100 à 300 fois plus résistant que l’acier ; le meilleur conducteur d’électricité, approchant les performances d’un matériau supraconducteur à température ambiante ; le meilleur conducteur de chaleur, encore meilleur que le diamant qui est également un matériau à base de carbone ; et presque transparent (lorsqu’il s’agit d’une couche unique parfaite d’atomes de carbone).
En raison de ces caractéristiques, le graphène présente un double intérêt pour la discussion d’aujourd’hui.
Non seulement il remplace le silicium comme matériau de base des puces électroniques et d’autres applications électroniques, mais il est également fondamental dans le monde des nanotechnologies. La science continue de révéler que le graphène est le matériau idéal pour produire des circuits informatiques infiniment petits et pourintégrer le graphène ou d’autres substances/matériaux dans des systèmes biologiques.
Deux mois avant le prix Nobel susmentionné, un communiqué de presse du 8 juin 2010 de l’Institut de technologie de Géorgie (Scientists Strive to Replace Silicon with Graphene on Nanocircuitry) décrivait une recherche pertinente publiée dans la revue Science :
Des scientifiques ont réalisé une percée dans la création de nanocircuits sur le graphène, largement considéré comme le candidat le plus prometteur pour remplacer le silicium en tant qu’élément constitutif des transistors. Ils ont mis au point un processus simple et rapide en une seule étape basé sur la nanolithographie thermochimique (TCNL) pour créer des nanofils, en accordant les propriétés électroniques de l’oxyde de graphène réduit à l’échelle nanométrique et en lui permettant ainsi de passer du statut de matériau isolant à celui de matériau conducteur.
La conductivité, c’est-à-dire la facilité avec laquelle un courant électrique peut passer à travers un produit chimique ou un composé, est un élément essentiel de la spécificité du graphène. Accrochez-vous à l’idée que le graphène est un excellent conducteur d’électricité, car elle reviendra sur le devant de la scène.
Maintenant que nous avons une connaissance de base du graphène, passons à la vitesse supérieure et discutons d’un élément important de la technologie des vaccins.
Que sont les adjuvants des vaccins ?
Les germes contenus dans les vaccins (virus ou bactéries) ne sont généralement pas assez virulents pour provoquer à eux seuls une ample réaction du système immunitaire. Un adjuvant est donc nécessaire pour accélérer ou « activer » cette réponse. L’inflammation étant une réaction du système immunitaire provoquée par diverses sortes de lésions tissulaires ou cellulaires (voir ici mon article Sickness, Disease, and the Relationship to Inflammation), des additifs chimiques sont introduits dans les vaccins pour provoquer intentionnellement une inflammation, afin d’ « amplifier » la réponse du système immunitaire à divers antigènes (germes) et d’augmenter ainsi la production d’anticorps pour les combattre.
Mais ce n’est pas aussi simple qu’il y paraît. La fonction adjuvante doit fonctionner dans la fameuse « Zone habitable » (n.d.t. : ou Boucles d’or, en anglais Goldilocks Zone ; la « zone Boucles d’or », ou zone habitable, est la plage de distances où les températures sont suffisantes pour que l’eau reste liquide. Les découvertes dans la zone Boucles d’or, comme la planète Kepler-186f de la taille de la Terre, sont ce qui, espèrent les scientifiques, nous mènera à l’eau et, un jour, à la vie).
S’il y a trop peu d’inflammation, la réponse n’est pas « robuste ». S’il y en a trop, le nombre de réactions excessives potentielles (événements indésirables) est presque illimité (voir le lien précédent). La quantité d’inflammation créée par un adjuvant doit être « juste ce qu’il faut ». Bien qu’il existe de nombreux adjuvants de vaccins différents utilisés pour créer cette inflammation, le plus courant, souvent appelé « l’adjuvant universel des vaccins », est l’élément hautement neurotoxique qu’est l’aluminium.
Cela soulève une question intéressante. Qu’en est-il de la possibilité d’utiliser le graphène comme adjuvant de vaccin ? Je suis heureux que vous ayez posé la question.
Historique de la recherche sur le graphène dans les vaccins
Si la mise au point de médicaments et de vaccins est essentielle et urgente, il est également extrêmement important de réaffecter les matériaux intelligents pour concevoir des systèmes efficaces de lutte contre la COVID-19. Le graphène et les matériaux apparentés au graphène (GRM) présentent d’extraordinaires propriétés physicochimiques, électriques, optiques, antivirales, antimicrobiennes et d’autres propriétés fascinantes qui en font des candidats potentiels pour la conception et le développement de composants et de dispositifs de haute performance nécessaires pour lutter contre la pandémie de COVID-19 et d’autres calamités futuristes.
Extrait du résumé d’une étude indienne publiée dans Materials Today Chemistry (Potential of Graphene-based Materials to Combat COVID-19: Properties, Perspectives, and Prospects). Les parties surlignées concernent l’IA.
Ce que j’ai tout d’abord remarqué lorsque j’ai commencé à essayer de déterminer s’il pouvait y avoirdu graphène dans les vaccins contre la COVID, c’est le nombre impressionnant d’études scientifiques portant précisément sur ce sujet : « Graphene in Vaccines » (voici les résultats donnés par une recherche sur PubMed, et ici la même recherche, mais avec le mot « Covid » ajouté) – 132 études dans le premier groupe et près de 50 dans le second (n.d.t : en date du 6 décembre 2024, date de la traduction de cet article, les chiffres sont maintenant 153 et respectivement 53). Je suis également tombé sur des dizaines d’études pertinentes pour le sujet, mais qui n’apparaissaient pas dans mes recherches. Dans le même ordre d’idées, une recherche rapide sur Goggle Patents a révélé un millier de brevets délivrés sous le nom de « Covid Vaccine Graphene » (voir ici).
J’ai ensuite remarqué que de nombreuses études faisaient référence au graphène non pas en tant qu’adjuvant, mais plutôt en tant que « molécule vecteur ». En juin 2020, la revue Acta Biomaterialia a publié une étude chinoise intitulée « Recent Progress of Graphene Oxide as a Potential Vaccine Carrier and Adjuvant » (Progrès récents de l’oxyde de graphène en tant que vecteur et adjuvant potentiel pour les vaccins). Voici un extrait du résumé :
L’oxyde de graphène, largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et présente la capacité potentielle d’activer le système immunitaire. Cependant, l’oxyde de graphène s’agrège dans les liquides biologiques et induit la mort cellulaire. Il présente également une faible biosolubilité et une faible biocompatibilité. Pour remédier à ces limitations, divers protocoles de modification de la surface ont été employés pour intégrer des substances compatibles avec l’eau à l’oxyde de graphène afin d’améliorer efficacement sa biocompatibilité. Plus important encore, ces modifications confèrent à l’oxyde de graphène fonctionnalisé des propriétés supérieures en tant que vecteurs et adjuvants.
Il y a près de deux ans, la revue Nano Today disait ceci du graphène, alors qu’elle tentait de répondre à une question par le biais du titre d’une étude, question similaire et apparemment pas plus controversée que la recherche des CDC de 2005 dont nous avons parlé plus haut concernant l’hydroxychloroquine : le graphène peut-il participer à la lutte contre la COVID-19 ?
Il convient toutefois de souligner que la toxicité in vivo du graphène fait toujours l’objet d’un débat. Les matériaux en graphène peuvent traverser les barrières biologiques, mais sont moins cytotoxiques pour les macrophages, cellules importantes pour la réponse immunologique, que d’autres nanomatériaux en carbone. Il est toutefois difficile de tirer des conclusions sur la toxicité du graphène en raison des combinaisons infinies de dose, de chimie de surface et de voie d’exposition utilisées pour l’évaluation. Son instabilité et son agrégation en solution posent d’autres problèmes, compte tenu de la stabilité obligatoire requise pour le stockage des médicaments et des vaccins avant leur utilisation… Des recherches supplémentaires sont sans aucun doute nécessaires, mais nous prévoyons que le graphène pourrait jouer un rôle de premier plan dans la lutte mondiale contre la COVID-19.
En juillet 2021, Frontiers of Immunology (une revue largement consacrée aux maladies infectieuses et aux vaccins qui leur sont associés) a publié un article issu d’une collaboration de recherche de scientifiques du monde entier intitulé The Spike of SARS-CoV-2: Uniqueness and Applications (La protéine Spicule du SRAS-CoV-2 : unicité et applications), qui dit la chose suivante à propos des transistors et des biocapteurs fabriqués à partir du graphène :
Dans une autre approche, des anticorps contre la protéine S du SRAS-CoV-2 recouverts d’un transistor à effet de champ (FET) à base de graphène se sont révélés très sensibles aux écouvillons nasopharyngés. Les biocapteurs à base de transistors à effet de champ présentent plusieurs avantages, tels que des mesures instantanées à de faibles concentrations, ce qui les rend ultrasensibles et en fait un candidat prometteur pour les détections sur site.
J’admets que lorsque je vois des mots comme « biocapteurs » et « transistor » dans la même phrase, et que cette phrase concerne la « détection » de quelque chose à l’intérieur de mon corps afin que quelqu’un quelque part puisse lire cette transmission de données (comme expliqué ici), je suis amené à me poser une autre question. Les conclusions d’une étude publiée en 2018 dans Frontiers in Systems Neuroscience (Interfacing Graphene-Based Materials With Neural Cells) peuvent vous amener à vous poser cette question : jusqu’où ce processus peut-il être poussé, et quel est l’objectif final ? Où les personnes qui financent ces recherches veulent-elles aller en fin de compte ? Prêtez attention aux mots « conductivité » et « excitabilité », car nous continuerons à aborder cette double caractéristique du graphène :
Le graphène peut être exploité comme substrat pour l’ingénierie tissulaire. Dans ce cas, la conductivité est probablement la plus pertinente parmi les diverses propriétés des différents matériaux à base de graphène, car elle peut permettre d’instruire et d’interroger les réseaux neuronaux, ainsi que de stimuler la croissance et la différenciation neuronales, ce qui présente un grand potentiel pour la médecine régénérative. Dans cette revue, nous essayons de donner une vue d’ensemble des réalisations et des nouveaux défis dans ce domaine, ainsi que des directions les plus excitantes à prendre dans l’avenir immédiat. Parmi ces défis, citons la nécessité de concevoir des nanoparticules multifonctionnelles capables de franchir la barrière hémato-encéphalique pour atteindre les cellules neuronales, et de délivrer des médicaments spécifiques à la demande. Nous décrivons l’utilisation, à la pointe de l’état de l’art, des matériaux à base de graphène pour concevoir des échafaudages tridimensionnels destinés à stimuler la croissance et la régénération neuronales in vivo, ainsi que la possibilité d’utiliser le graphène comme composant de composites hybrides et de dispositifs électroniques organiques multicouches. Enfin, nous répondons au besoin d’une modélisation théorique précise de l’interface entre le graphène et les matériaux biologiques, en modélisant l’interaction du graphène avec les protéines et les membranes cellulaires à l’échelle nanométrique, et en décrivant le(s) mécanisme(s) physique(s) de transfert de charge par lequel les différents matériaux en graphène peuvent influencer l’excitabilité et la physiologie des cellules neuronales.
Interroger et instruire sont des mots intéressants, surtout si l’on considère que nous allons bientôt entrer dans le monde de la lecture de l’esprit et du contrôle de l’esprit par modulation de fréquence. Oui, je suis tout à fait conscient que cela peut sembler fou, mais restez avec moi ; cette technologie n’est pas nouvelle, elle existe depuis des dizaines d’années.
Avant de poursuivre, il est important de comprendre que lorsqu’il s’agit d’intégrer du graphène dans des systèmes biologiques, tout n’est pas rose. Cette étude publiée dans le numéro d’octobre 2016 de Particle & Fibre Toxicology (Toxicity of Graphene-Family Nanoparticles: A General Review of the Origins and Mechanisms) a tempéré, avec un peu de chance, une partie de l’enthousiasme orgasmique de la communauté scientifique à l’idée d’introduire le graphène chez l’homme. Pour mémoire, j’ai trouvé près de 4 000 études (n.d.t. : en date du 6 décembre 2024, la requête donne exactement 4 490 articles) en effectuant une recherche sur PubMed avec la requête « Graphene Toxicity » (toxicité du graphène).
En raison de leurs propriétés physicochimiques uniques, les nanomatériaux de la famille du graphène (GFN) sont largement utilisés dans de nombreux domaines, en particulier dans les applications biomédicales. Actuellement, de nombreuses études ont porté sur la biocompatibilité et la toxicité des GFNs in vivo et in intro. En général, les GFN peuvent exercer différents degrés de toxicité chez les animaux ou les modèles cellulaires en suivant différentes voies d’administration et en pénétrant à travers les barrières physiologiques, pour ensuite être distribués dans les tissus ou localisés dans les cellules… Nous soulignons également que divers facteurs déterminent la toxicité des GFN, notamment la taille latérale, la structure de surface, la fonctionnalisation, la charge, les impuretés, les agrégations et l’effet corona, etc. En outre, plusieurs mécanismes typiques sous-jacents à la toxicité des GFN ont été révélés…
Ce qui est peut-être le plus intéressant, c’est qu’un examen approfondi de la toxicité du graphène révèle que ces problèmes de santé correspondent étroitement à bon nombre des effets secondaires du vaccin contre la Covid, l’un des plus graves étant la coagulation (voir les articles recensés sur cette page ici). Tout cela soulève une question importante : vers où nous dirigeons-nous ?
Dans le terrier du lapin, bien sûr. Dans un monde où la réalité est de plus en plus difficile à distinguer de la fiction scientifique.
Recherche sur le graphène, les nanotechnologies, les puces électroniques, l’intelligence artificielle et l’auto-assemblage/auto-réplication dans les systèmes biologiques
Parce qu’elle est si pertinente par rapport à ce que nous observons dans la société actuelle, nous devons répondre à la question suivante : qu’est-ce que l’intelligence artificielle (IA) ? En termes simples, l’IA concerne les programmes informatiques qui peuvent « apprendre » et écrire d’autres programmes informatiques ou se réécrire eux-mêmes sur la base de nouvelles connaissances. Nombre des grands films de science-fiction de tous les temps sont basés sur une IA déchaînée –Terminator, The Matrix, et si vous êtes vieux comme moi, 2001 A Space Odyssey de 1968.
Il y a douze ans ce mois-ci (n.d.t. : le 15 mars 2010), le site Nanowerk (dans un article intitulé Future Bio-nanotechnology Will use Computer Chips Inside Living Cells) disait ceci de l’intégration des technologies informatiques dans les systèmes biologiques, et s’appuyait sur une étude publiée un mois plus tôt dans la revue Nano Micro Small (Intracellular Silicon Chips in Living Cells) :
La poursuite de la miniaturisation a permis à l’industrie des semiconducteurs d’entrer de plain-pied dans le domaine nanométrique, les principaux fabricants de puces étant sur le point de passer à la technologie CMOS (complementary metal-oxide-semiconductors) en utilisant un processus de 22 nm. Avec des transistors de la taille de dizaines de nanomètres, les chercheurs dans le domaine des nanobiotechnologies ont commencé à explorer l’interface entre la biologie et l’électronique en intégrant des composants nanoélectroniques et des cellules vivantes. Une cellule humaine typique a une taille d’environ 10 micromètres carrés, ce qui signifie que des centaines de transistors les plus petits d’aujourd’hui pourraient tenir à l’intérieur d’une seule cellule. Si le rythme actuel de miniaturisation se poursuit, d’ici 2020, environ 2 500 transistors – l’équivalent des microprocesseurs de la première génération d’ordinateurs personnels – pourraient tenir dans la surface d’une cellule vivante typique.
Plus d’une décennie plus tard, des études montrent que les capacités du graphène ont dépassé les spéculations, en augmentant considérablement les vitesses de calcul – plus de 1 000 fois plus rapides – et en nous donnant la première puce de 2 nm au monde (voir ici). Mais les progrès ne s’arrêtent pas là, et ne ralentissent même pas. Il y a trois ans, le site Internet Fanatical Futurist (dans l’article American Researchers Unveil the World’s First Liquid Computer Chip) disait ceci de la recherche sur les puces qui était en cours en 2019, en particulier sur les puces fabriquées avec du graphène (j’ai supprimé les nombreux liens vers les études pertinentes – référez-vous à l’original si cela vous intéresse) :
Ces dernières années, un nombre croissant d’experts ont exprimé leur inquiétude quant à la fin de la loi de Moore et de l’ère de l’informatique au silicium, car il devient de plus en plus difficile et coûteux de fabriquer des transistors de taille de plus en plus petite. Et ce, bien que des transistors de 5 nm, 1 nm, 0,5 nm et même de la taille d’un virus ou d’un atome soient déjà en cours de développement dans les laboratoires.
. . . De nouvelles technologies informatiques d’une puissance stupéfiante émergent déjà, notamment les ordinateurs quantiques, qui sont 100 millions de fois plus rapides que les ordinateurs actuels, les ordinateurs neuromorphiques qui peuvent concentrer toute la puissance des superordinateurs actuels dans un boîtier de la taille d’un ongle et révolutionner l’intelligence artificielle en apprenant par eux-mêmes, ainsi que des ordinateurs biologiques, chimiques et à ADN plus exotiques qui se sont révélés capables de concentrer toute la puissance informatique mondiale actuelle dans une éprouvette, et les ordinateurs liquides. Et tout cela n’est qu’un début.
Effectuons une autre recherche sur Internet, cette fois avec pour requête « study self-organizing self-assembling graphene A. I. biosensor » (étude sur les biocapteurs à graphène auto-organisés et auto-assemblés). Les titres suivants sont soit des titres d’études, soit des titres de communiqués de presse relatifs à ces études. Pour information, j’ai trouvé une telle quantité d’informations que j’aurais pu vous donner des centaines d’exemples similaires :
- Administration d’un vaccin ARN auto-réplicatif aux cellules nerveuses dendritiques
- Accélérateurs d’intelligence artificielle basés sur des dispositifs optoélectroniques en graphène
- Muscle en graphène avec intelligence artificielle
- Contrôle de l’interface graphène-bio : dispersions dans les sérums animaux pour une meilleure stabilité et une toxicité réduite
- Le nanoréseau intracorporel : un bref résumé
- Préparation sans endotoxine d’oxyde de graphène et de matériaux à base de graphène pour des applications biologiques
- Utilisation des éléments constitutifs de la vie pour contrôler l’assemblage des nanoparticules
- Inbrain Neuroelectronics obtient un financement pour une interface graphène-cerveau alimentée par l’IA
- L’implantation de sodium induit la cytocompatibilité du graphène à auto-assemblage tridimensionnel contrôlé par la forme
- Auto-assemblage et comportement de transport d’ions des nanopapiers sandwichs multicouches d’oxyde de graphène à cristaux liquides
- Université de l’État de Pennsylvanie : les dispositifs à deux couches peuvent s’auto-assembler avec précision
- Biocapteur en graphène très sensible par auto-assemblage monomoléculaire de récepteurs à la surface du graphène
- Plateformes nanocomposites à base de graphène et d’oxyde de graphène pour des applications de biodétection électrochimique
- Les peptides auto-assemblés et les nanomatériaux de carbone unissent leurs forces pour des applications biomédicales innovantes
- Un nouveau matériau à base de graphène s’auto-assemble en structures vasculaires
- Auto-assemblage interfacial pour organiser spatialement l’oxyde de graphène en structures hiérarchiques et bioactives
- Auto-assemblage d’oxyde de graphène et de nanocristaux de cellulose en filaments continus par complexation interfaciale de nanoparticules
- Hydrogel de graphène auto-assemblé par un processus hydrothermal en une étape
- Auto-assemblage de rubans de graphène par auto-arrachement et décollement spontanés d’un substrat
- Création d’un écosystème d’IA pour le graphène
- Principes fondamentaux des nanoréseaux électromagnétiques dans la bande des térahertz
- L’apprentissage profond teste des milliards de combinaisons de graphène en deux jours
- Échafaudages 3D à base de graphène pour l’ingénierie tissulaire : fabrication, applications et perspectives d’avenir dans le domaine de l’ingénierie tissulaire du foie
- Le graphène monocouche comme peau artificielle potentielle pour les robots
- Culture du graphène – Blue Sky Research Co. Tentatives de reproduction de la nature
- Autoreproduction cinématique dans les organismes reconfigurables
- Applications du graphène et de l’oxyde de graphène dans l’administration intelligente de médicaments et de gènes : le monde est-il encore plat ?
- Fabrication d’objets bioniques incassables au moyen d’hydrogels soie-graphène multifonctionnels et autocicatrisants
- Auto-assemblage et nanotechnologies : A Force Balance Approach (1ère édition)
- COMMUNIQUÉS DE PRESSE POUR UNE SEULE ÉTUDE : First Living, Spontaneously Self-Replicating Robots Likely To Be Used in Future Vaccines (Les premiers robots vivants au monde peuvent maintenant se reproduire, disent les scientifiques) (Une recherche financée par la DARPA aide une équipe de scientifiques à créer des xénobots – les premiers robots vivants autoreproducteurs conçus par l’IA) (Des scientifiques utilisent l’IA pour concevoir des xénobots autoreproducteurs à partir de cellules de grenouilles)
- Réseaux de capteurs actifs en graphène pour la cartographie à long terme et sans fil de l’activité cérébrale épicortique à large bande de fréquence
- Capteurs à base de graphène pour la surveillance de la santé humaine
- Le graphène et les produits dérivés du graphène sont-ils capables de prévenir l’infection par le virus COVID-19 ?
- Nanoparticules magnétiques auto-assemblées et nanotag d’oxyde de graphène pour la détection optomagnétique de l’ADN
- Détection de virus humains à l’aide de matériaux à base de graphène
- Biocapteurs en graphène pour les agents pathogènes bactériens et viraux
- Examen du développement de nano-antennes accordables en graphène pour des applications optoélectroniques et plasmoniques dans le domaine des térahertz
- Progrès dans la production d’oxyde de graphène réduit assistée par micro-ondes
- Viabilité des cellules neurales sur la bioélectronique en graphène imprimée en 3D
- Graphène auto-cicatrisant
- Il y en a bien trop pour en faire la liste, mais comme Elon Musk est au cœur de l’actualité (des rumeurs circulent selon lesquelles il voudrait acheter Twitter), ne manquez pas de jeter un coup d’œil à ses technologies NEURALINK et STARLINK.
Surpris ? Choqué ? Vous avez l’impression d’avoir vécu sous un rocher (comme moi) ? Sachez que la « science » qui se développe dans ce domaine est sans aucun doute encore plus folle qu’il n’y paraît d’après la liste ci-dessus. En effet, notre armée (et qui sait combien d’entreprises technologiques massives travaillent main dans la main avec elle ?) dispose d’une technologie – une technologie avancée – dont vous n’apprendrez l’existence qu’au moins dix ans après les faits – si tant est que vous l’appreniez un jour.
Cela nous amène au cœur du problème, savoir à notre tentative de répondre à la question posée par le titre du billet d’aujourd’hui.
Quelles sont les preuves (s’il y en a) que les nanotechnologies à base de graphène pourraient potentiellement se trouver dans les vaccins Covid à ARNm ?
Parce qu’il est pertinent de répondre à cette question, même si nous l’avons abordée précédemment, il est important de saisir la nature brutale de la culture de l’annulation, en réalisant que cette dernière est en place depuis des décennies dans le monde de la recherche sur les vaccins « hors narration ». Si vous pensez que le célèbre cardiologue texan, le Dr Peter McCULLOUGH, le développeur de la technologie des vaccins à ARNm, Robert MALONE, le Dr Charles HOFFE ou d’autres encore ont fait un bon choix de carrière en mettant en lumière les controverses sur les vaccins contre le virus Covid, détrompez-vous. Leurs affaires et leur statut professionnel ont souffert, souffriront et continueront de souffrir à cause de cela.
S’opposer à Big Pharma, à l’argent et au pouvoir qui se cachent derrière, c’est une proposition perdante.
Ne vous méprenez pas. Je ne dis pas qu’ils ont tort ou que la myriade d’autres personnes qui agissent de la même manière ont tort, bien au contraire. Mais si vous pensez que le fait de s’exprimer les a aidés professionnellement, le fait de s’asseoir avec leurs épouses autour d’une tasse de thé SERAIT PROBABLEMENT UNE RÉVÉLATION.
Comprenez également que dans notre nouvelle ère de censure gouvernementale rampante et à visage découvert des informations relatives à la santé (en particulier de tout ce qui a trait à la Covid), la « vérification des faits » débridée et l’étiquetage subséquent des scientifiques ou des universitaires auteurs d’articles qui ne vont pas dans le sens du narratif dominant en tant que « diffuseurs de désinformation » constituent généralement la meilleure preuve de ce que les informations censurées au moins se rapprochent de la vérité, et touchent souvent directement la cible.
Traversons maintenant l’océan pour nous rendre à l’université espagnole d’Almeria, située dans une ville de 200 000 habitants sur les rives de la Méditerranée.
Le Dr Pablo Campra Madrid est un chimiste/biologiste qui enseigne et fait de la recherche dans le département d’agriculture de cette université. Depuis quatre ans, il travaille également pour l’ENEA (Rome, Italie) dans l’analyse spectroscopique micro-Raman de la structure de l’eau et de sa purification ultérieure – processus décrit de manière simplifiée et facile à comprendre par ce résumé bref, mais pertinent d’une dissertation doctorale que j’ai trouvée sur le site. Comme vous vous en doutez peut-être, la spectroscopie Raman est également la technique de référence utilisée pour la détection et l’analyse du graphène.
En octobre de l’année dernière, Campra et son équipe ont publié la première de quatre études dans le cadre de leur projet de contre-analyse des vaccins Covid. Il est intéressant de noter que l’équipe s’est baptisée The Fifth Column ou La Quinta Columna en raison de la censure et de son incapacité à trouver une revue disposée à suivre le processus d’évaluation par les pairs de leur travail (leur site Internet est énorme, mais il est entièrement en espagnol).
Chaque étude ci-dessous comporte un résumé et de nombreuses photographies :
- Octobre 2021 : Objets microscopiques fréquemment observés dans les vaccins mRNA Covid (PDF)
- Novembre 2021 : Microstructures dans les vaccins Covid-19 ; cristaux inorganiques ou réseau de nanocapteurs sans fil ? (PDF)
- Novembre 2021 : Détection de graphène dans les vaccins Covid-19 (PDF). Rapport intermédiaire de juin 2021 (PDF)
- Février 2022 : Cristaux nanotechnologiques d’ADN dans les vaccins Covid-19 (PDF)
Je dois admettre que je ne sais pas trop quoi dire à propos de ces études, si ce n’est que je vous invite à les examiner par vous-même. Dans ce cas, les images valent vraiment mille mots.
Le fondateur de The Fifth Column, le Dr Richard Delgado Martin (biologiste, biostatisticien diplômé en épidémiologie, immunologie et microbiologie), ainsi que le Dr Campra ont publié de nombreux articles et interviews vidéo présentant leurs conclusions et fournissant des exemples très précis des points ci-dessus, qui, grâce à la censure des médias conventionnels, ne peuvent être trouvés que sur des sites Internet « alternatifs ».
Plus récemment, un médecin britannique a apporté du vaccin Covid à ARNm à un laboratoire indépendant pour le faire analyser. Le rapport complet (Qualitative Evaluation of Inclusions In Moderna, AstraZeneca and Pfizer Covid-19 Vaccines) est assez long, ce qui explique le résumé que l’on trouve sur le site. Comme vous pouvez le supposer, il a été déterminé que les vaccins contiennent du graphène. Un autre Britannique, le Dr Robert Young (naturopathe de renom), a également publié un article aboutissant à des conclusions similaires (voir ici). Et pour ne pas être en reste, des équipes de scientifiques de Nouvelle-Zélande et d’Australie ont découvert la même chose.
Le cas mystérieux du Dr Andreas Noack
À ce propos, n’oublions pas la mort trop invraisemblable du nanochimiste allemand Andreas Noack, qui a été assailli par ce qui a été officiellement qualifié de crise cardiaque quelques heures seulement après avoir révélé, via une vidéo diffusée en direct, qu’il avait découvert des hydrogels de graphène dans le vaccin ARNm contre la Covid en utilisant une technologie similaire à celle de l’équipe de Campra. Il est mort quatre jours plus tard, laissant derrière lui une petite amie enceinte à un stade avancé et beaucoup plus de questions que de réponses.
Noack était à la fois excentrique et membre de ce que beaucoup (moi y compris) qualifieraient de secte religieuse. Pour brouiller encore plus les pistes, sa petite amie a déclaré publiquement que sa crise cardiaque était due au fait qu’il avait été touché par une sorte d’arme à micro-ondes « top secrète » (une arme à énergie dirigée ou dew, en anglais), ce dont, d’après elle, il l’avait prévenue avant de rendre ses découvertes publiques.
Dans cette vidéo (avec un sous-titrage en anglais et une transcription), vous pouvez voir le Dr Noack parler de sa découverte d’hydrogels de graphène dans les vaccins (qu’il appelle parfois à tort « hydroxyde de graphène ») et comparer ces découvertes (feuilles de graphène de 50 nm de long, 0,1 nm ou 1 atome d’épaisseur) à des « lames de rasoir en carbone ». Il poursuit en affirmant : « Je suis un spécialiste du carbone actif. Durant ma thèse de doctorat [1995 à l’université technique de Darmstadt en Allemagne], j’ai transformé l’oxyde de graphène en hydroxyde de graphène. »
Faut-il jeter le bébé avec l’eau du bain parce qu’un individu est excentrique, bizarre, ou ne se conforme pas, à certains égards, aux normes de la société ou passe, au moins une partie de son temps, dans une réalité alternative ? Peut-être. C’est une question à laquelle vous devrez répondre par vous-même, mais n’hésitez pas à demander de l’aide à notre gouvernement.
Ce qui est indéniable, c’est qu’à l’époque, le Dr Noack était incontestablement l’un des plus grands experts mondiaux dans le domaine des nanotechnologies à base de carbone. Un extrait d’un prospectus de 2007 pour une présentation de Noack sur la nutrition indique (traduit de l’allemand et vérifié par une recherche de brevets sous son nom – j’ai trouvé plus de soixante dépôts de brevets) :
Le Dr Noack a déposé près de 30 brevets à ce jour et est considéré comme l’un des déposants allemands les plus actifs dans le domaine des nanotechnologies.
Le Dr James Giordano, l’Institut moderne de la guerre (MWI), le graphène et le contrôle de l’esprit
« Le Dr Giordano expose l’ensemble de leur programme dans cette présentation d’une heure ; aucun effort n’est fait pour édulcorer, cacher ou dissimuler discrètement leurs motivations. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il met en évidence les horreurs auxquelles nous serons bientôt confrontés et auxquelles nous sommes peut-être déjà confrontés. Pour ceux qui ne croient pas que la manipulation du cerveau et le contrôle de l’esprit sont des entreprises réelles, cette seule présentation met cette pensée au repos… »
Extrait du commentaire YouTube d’HelioWave sur la présentation du Dr Giordano.
Neuroscientifique et bioéthicien, le Dr James Giordano de l’Université de Georgetown assure fréquemment la liaison entre la communauté des chercheurs civils et l’armée, en particulier en ce qui concerne le cerveau, et plus particulièrement en ce qui concerne la protection du cerveau contre divers types d’armes biologiques ou contre des attaques du cerveau par ces armes. Vous trouverez ici l’une des nombreuses et impressionnantes biographies en ligne de Giordano, et ici sa page Linkedin.
Après avoir regardé plusieurs de ses nombreuses conférences en ligne et noté qu’il est conseiller auprès de la DARPA (Agence des projets de rechercheavancée du ministère de la Défense américain) [n.d.t. : Defense Advanced Research Projects Agency], notamment auprès de son Initiative Brain, ainsi que du projet Brain de l’Union européenne, je dirais (même si certains ne sont pas d’accord) qu’en ce qui concerne la connaissance publique de la militarisation du graphène par modulation de fréquence, personne ne nous donne une vue d’ensemble plus large que le Dr Giordano (remarque : même s’il évoque de nombreuses études portant très spécifiquement sur le graphène, je ne l’ai encore jamais entendu le mentionner nommément).
Le Dr Giordano évoque des programmes tels que le implants nanotechnologiques non chirurgicaux de nouvelle génération N3 de la DARPA et fait même allusion au plan abandonné (ou peut-être pas abandonné) visant à supprimer le « gène de Dieu » par le biais (je n’invente rien, les amis) du « FunVax » (un programme gouvernemental occulte vieux de 20 ans). Et puisque les vaccinations contre la Covid sont souvent appelées « injections causant des caillots », ce n’est pas une coïncidence s’il mentionne spécifiquement les « caillots » (voir cette étude ainsi que celle-ci) causés par une combinaison de nanotechnologies aérosolisées et de virus transformés en armes biologiques.
Mais le plaisir effréné ne s’arrête pas là.
La conférence qui s’est tenue avant la pandémie, qui est intitulée The Brain is the Battlefield of the Future (le cerveau est le champ de bataille du futur) (voir ici l’original, mais vous la verrez sur d’autres sites sous le titre Neurotechnology, Nanotechnology, Mind Control & Directed Energy Weapons) et que le Dr Giordano a donnée à l’Institut moderne de la guerre (MIW ou Modern War Institute, une branche de West Point) commençait avec les paroles suivantes :
Ce dont nous sommes ici pour parler aujourd’hui, c’est du fait que le cerveau est et sera le champ de bataille du XXIe siècle à bien des égards. Point final, fin de l’histoire. Nous pourrions nous arrêter là et vous laisser retourner dans vos unités respectives pour y réfléchir pendant un moment, mais je suis ici pour vous dire qu’il est aussi clair que le grand nez tyrolien sur ce visage que vous rencontrerez une sorte de science neurocognitive qui a été militarisée, non seulement dans votre carrière militaire, mais aussi dans votre vie personnelle et professionnelle, que ces deux aspects coïncident ou non.
Ce qui est incroyablement fascinant, c’est que dans cette conférence, le Dr Giordano a littéralement exposé l’ensemble du schéma directeur de la pandémie Covid, en jetant un regard sur l’avenir (à l’époque) avec une précision sinistrement prophétique (ici se trouve la version de cinq minutes de sa conférence, et voici le court commentaire et les extraits de sa présentation d’Heliowave).
Il y a plus de cinq ans, le Dr Giodorno a donné une conférence au Laboratoire national Lawrence Livermore (Brain Science from Bench to Battlefield: The Realities – and Risks – of Neuroweapons, voir ici). Premièrement, si vous ne faites rien d’autre, jetez un coup d’œil à la section des commentaires de la vidéo YouTube de cette présentation. Deuxièmement, lisez l’article de réfutation du professeur émérite de l’université de Californie, Stanislaus (la seule université des États-Unis à proposer une licence en sciences cognitives), le Dr Eric T. Karlstrom.
Le site Internet du Dr Karlsrom s’intitule Gang Stalking, Mind Control and Cults (Traque des gangs, contrôle mental et sectes), et son analyse de la conférence du Dr Giodorno à Livermore, accompagnée d’une transcription (Confessions of a high level perp: battlespace/organized stalking applications of neuroscience & neuroweapons) est plutôt astucieuse. Une grande partie du discours du Dr Giordano concerne les techniques avancées de type MK-ULTRA, qui permettent non seulement de lire dans les pensées, mais aussi de contrôler les comportements (les pensées, les souvenirs, etc. sont des ondes bioélectriques quantifiables qui peuvent, comme vous le verrez bientôt, être « piratées »).
Voici un extrait de la transcription de la conférence du Dr Giordorno par le Dr Karlstrom :
Certains pensent que le dernier espace sanctifié est celui de la conscience. Et (ils nous demandent : ) vous utilisez toutes ces choses pour l’envahir ? Vous avez raison. Il s’agit d’un argument éthique. Est-ce plus ou moins dangereux que d’autres moyens d’extraction d’informations ? Nous devons en débattre. Cela nous oblige à fixer des paramètres et des limites. Nous demandons aussi : pouvons-nous utiliser cela ? La réponse est oui. Nous posons également la question suivante : devons-nous l’utiliser ? Si la réponse semble positive, la question bien plus importante est alors de savoir comment, quand et dans quelles circonstances. Est-il possible d’utiliser ces techniques pour l’acquisition d’informations ? La réponse brève est oui. La réponse longue est : comment, quand, pourquoi… Il n’y a pas nécessairement de réponse définitive…
Lire les pensées ? Oui, lire les pensées. Bien que cela ressemble davantage aux « délires fous » d’un lanceur d’alerte, c’est malheureusement bien réel. Pour ceux qui croient que ce type de technologies n’est pas encore de l’histoire ancienne – passez si vous le souhaitez (voir ici) –, jetez un coup d’œil à l’article du site Everyday Concerned Citizen (Public disclosure on neuro weapons and nurotechnologies in use today). Vous y trouverez deux vidéos intégrées de conférences du Dr Giadorno datant de plus de dix ans et traitant de « neurotechnologies prédictives », dont l’une utilise à la fois « Minority Report » et « Mind Reading » (lecture des pensées) dans son titre.
Vous pouvez aussi simplement lire la Partie IV de la désormais célèbre Lettre de Spartacus sur le sujet.
Comme vous le verrez dans un instant, les autorités en place vantent ouvertement les mérites de cette technologie. Pas nécessairement pour remplacer « l’acquisition/extraction d’informations » par « d’autres moyens » en cas de besoin (la torture est toujours un outil politique très pratique – voir ici), mais par des nanopuces internes qui permettent une communication directe, bien que secrète, avec Big Brother via la 5G ou une autre technologie similaire.
C’est vrai, le Dr Giordano discute souvent de la recherche sur les nanotechnologies à base d’IA s’auto-assemblant pilotées par fréquence qui, selon ses conférences publiques données devant des groupes de réflexion et notre armée, ont développé la capacité de lire et de programmer des pensées, des idées et peut-être même des récits (le Dr Giordano a discuté de la psychose de formation des foules déclenchée par virus sans la nommer comme telle) – en temps réel (voir cette étude). Le seul matériau qui le permettrait est le graphène (bien que d’autres aient été testés en premier).
Conclusion
« L’évolution biologique se déroule sur plusieurs générations. Mais imaginez qu’elle puisse être accélérée au-delà du changement progressif envisagé par Darwin pour devenir une question d’expérience individuelle. Le transhumanisme est fondé sur la conviction que l’homme peut être et sera amélioré par le génie génétique et les technologies de l’information d’aujourd’hui, ainsi que par les progrès attendus, tels que la bio-ingénierie, l’intelligence artificielle et les nanotechnologies moléculaires. Le résultat est une itération de l’Homo sapiens améliorée ou augmentée, mais qui reste fondamentalement humain. »
Extrait du site Internet du Forum économique humain (What is Transhumanism and How Does it Affect You?)
Le décret [13887] ordonne au BARDA [n.d.t. : Biomedical Advanced Research and Development Authority, soit Autorité de recherche et développement avancés en biomédecine], aux CDC [n.d.t. : Centers for Disease Control, ou Centres de prévention des maladies], aux NIH [n.d.t. : National Institutes of Health, ou Instituts nationaux de la santé] et à la FDA [n.d.t. : Food and Drug Administration, ou Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux] d’accélérer l’adoption de technologies améliorées pour les vaccins antigrippaux. Conformément aux objectifs du décret, le NIAID [n.d.t. : National Institute of Allergy and Infectious Diseases, ou Institut national des allergies et des maladies infectieuses] mène et soutient des recherches visant à développer des plates-formes technologiques de pointe qui pourraient être utilisées pour mettre au point des vaccins antigrippaux universels et pour améliorer la rapidité et la souplesse du processus de fabrication des vaccins antigrippaux. Ces technologies comprennent l’ADN, l’ARN messager (ARNm), les particules de type viral, les vaccins à base de vecteurs et les vaccins à nanoparticules s’auto-assemblant.
Extrait d’un article sur le décret de Donald J. Trump sur la modernisation des vaccins antigrippaux aux États-Unis pour promouvoir la sécurité nationale et la santé publique.
Le décret a été signé le lendemain de l’Event 201 (voir ici l’aperçu d’une minute de cet événement), qui s’est trouvé avoir eu lieu deux ans avant les droits d’auteur de Spars Pandemic 2025-2028: A Futuristic Scenario for Public Health Risk Communications – voir ici) et juste quelques semaines avant que nous commencions à entendre des rumeurs sur une nouvelle souche de « grippe » en provenance de Chine.
L’oxyde de graphène fonctionnalisé sert de nouveau nano-adjuvant vaccinal pour une stimulation robuste de l’immunité cellulaire. Tel est le titre d’une étude (n.d.t. : titre original : Functionalized Graphene Oxide Serves as a Novel Vaccine Nano-adjuvant for Robust Stimulation of Cellular Immunity) publiée il y a six ans dans la revue Nanoscale. Il s’agit du PEG et du graphène, un sujet que j’aborderai dans un instant.
Malgré les protestations des vérificateurs de faits (ils ont fait des heures supplémentaires sur ce sujet), il semble aussi probable que le graphène soit un ingrédient « hors étiquette » dans au moins certains de ces vaccins (il est considéré comme un secret commercial exclusif).
J’ai utilisé le mot « certains » parce qu’il devient de plus en plus évident que différents lots de vaccins provenant des mêmes fabricants ne sont pas identiques comme le suggèrent leurs ingrédients, à savoir l’ingrédient actif, l’ARNm – voir ici, ici et ici). Si cela est vrai, – et compte tenu de l’histoire passée dans ce domaine – nous ne pouvons certainement pas être surpris. Ne perdez cependant pas de vue qu’en fin de compte, nous essayons de répondre à une question plus vaste…
Pourquoi ?
Pourquoi certaines personnes ou entités pourraient-elles être intéressées par l’introduction de graphène dans les vaccins Covid ou en tirer bénéfice ? Et, ce qui est peut-être encore plus important, pourquoi voudraient-elles le faire de manière aussi opaque – sans en informer le public ou sans le déclarer en tant que tel ?
Il est d’autant plus difficile de répondre à ces questions que chaque jour qui passe nous place aux premières loges pour assister à une abondance de preuves scientifiques qui exposent le récit officiel du gouvernement et de l’industrie comme étant moins qu’exact – et ce, dans de nombreux cas, fait apparemment délibérément (ici, ici, ici, ici, ici, ici et ici sur SubStack, vous trouverez quelques-uns des experts que je suis qui ont été brutalisés par les médias conventionnels via la censure commanditée par le gouvernement). Cet article de moi a probablement conduit à la censure totale de mon site.
Lorsque l’on sait comment les choses fonctionnent dans l’industrie des vaccins antigrippaux depuis une trentaine d’années, la version officielle devient, si c’est possible, encore plus difficile à avaler.
Le fait que les vaccins Covid à ARNm soient devenus la tête d’affiche de la « loi des rendements décroissants » et de la « diminution de l’efficacité vaccinale »(la diminution de l’efficacité vaccinale ne devrait en aucun cas nous surprendre, étant donné qu’il s’agit du statu quo des vaccins antigrippaux depuis des décennies – voir ici, ici, ici, ici, ici, et ici, y compris 16 % d’efficacité vaccinale en cette saison) rend d’autant plus troublant le manque de transparence de la part des grandes entreprises pharmaceutiques et du cocktail d’organisations gouvernementales de contrôle qui sont censées les surveiller. Cela ressemble presque à… (gloups / murmure, murmure) une théorie du complot.
Théories du complot et Covid
Vous êtes-vous déjà demandé comment les « théories du complot » se développent ? C’est simple :
Mentez ouvertement au public et dites-lui que non seulement un certain narratif est faux, mais qu’il est intentionnellement faux. Contrôlez le narratif en l’entravant et en le bloquant dans la presse. Ou mieux encore, ignorez-le ou censurez-le, en laissant uniquement des sites Internet et des personnalités de droite louches, complotistes et « discrédités » (quelqu’un peut-il prononcer le nom d’Alex Jones ?) en parler. Assurez-vous que de nombreux « experts » ayant des « références professionnelles » conviennent que ce narratif est une information fausse en le « vérifiant » à plusieurs reprises, puis attaquez-le publiquement en le qualifiant de « désinformation ». Ou mieux encore, suggérez qu’il s’agit d’une méchante campagne de diffamation menée par des fanatiques anti-science/antivax. Puis, lorsque le narratif prend trop d’importance, présentant trop de preuves pour le contenir, le contrôler ou l’ignorer, prenez de l’avance en admettant qu’il est vrai, mais qu’il n’a plus d’importance. Il s’agit d’actualités d’hier – si anciennes que le sujet n’est pas pertinent pour les crises « importantes » auxquelles nous sommes confrontés aujourd’hui.
Le meilleur exemple aujourd’hui concerne les origines de la Covid-19 : le virus provient-il d’un « marché humide » chinois à Wuhan ou de l’établissement de production d’armes biologiques situé juste en bas de la rue dont le nom officiel est le Laboratoire de Wuhan pour la recherche sur les nouveaux coronavirus (voir ici, un vieux clip vidéo hilarant qui n’a pas bien vieilli pour Colbert) ? Malheureusement, nous sommes tous, à des degrés divers, devenus « confortablement insensibles » à ce phénomène.
Les histoires louches impliquant des fonctionnaires et des sommes d’argent et d’influence inimaginables sont devenues la norme, tant aux États-Unis que dans le reste du monde (voir ici l’actuel chouchou de l’Amérique – il me rappelle un peu Castro fatigué). Mais ce phénomène n’est nulle part plus évident que dans le monde de la médecine universitaire et de la recherche biomédicale.
Réfléchir au billet d’aujourd’hui à la lumière de l’article publié la semaine dernière par le British Medical Journal (The Illusion of Evidence-Based Medicine, sujet que j’ai personnellement abordé des dizaines de fois au cours de ces trois dernières décennies) ne peut que m’amener à me demander si La Quinta Columna et d’autres qui ont rejoint la « Fraternité des listes noires » ne visent pas juste.
Lorsque l’on se rend compte que le graphène peut être utilisé, selon des études évaluées par des comités de lecture, à la fois dans les technologies des micro-routeurs et comme micro-antenne (je vous avais prévenu que nous reviendrions sur la « conductivité »), cela peut vraiment faire tourner la tête, en particulier à la lumière d’articles scientifiques tels que celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci, celui-ci ou… ils sont trop nombreux pour être tous mentionnés ou énumérés.
Voici le résumé de la vidéo de Delgado ainsi qu’une EXPOSITION DE BREVET SUR LE GRAPHENE POTENTIEL DANS LES VACCINS COVIDES (ET ENCORE UN AUTRE) par l’ancienne employée de Pfizer, Karen Kingston, désignant les PEG NANOLIPIDES comme le principal responsable de la diffusion du graphène. Dans ce cas, la vérificationdesfaitsest aussi intéressante que les vidéos elles-mêmes. Voici la recherche PubMed pour « PEG Graphene » (près de 600 études). ICI se trouve un traité de 1 000 pages sur le sujet rédigé par un chercheur d’élite…..
À propos, le BMJ a conclu comme suit à propos du PEG :
Nous sommes peut-être en présence d’un échec systémique d’une ampleur inconnue.
C’est troublant, certes, mais le New England Journal of Medicine a récemment publié une étude (Protection Against Covid-19 by BNT162b2 Booster Across Age Groups) révélant par inadvertance que les études sur les vaccins contre la covidie sont toutes erronées (ICI). Toutes? oui, toutes.
Malheureusement, la réponse à la question de savoir pourquoi il pourrait y avoir du graphène dans les vaccins covidés devient encore plus étrange grâce au travail du toujours influent Forum économique mondial (WEF) de Davos, en Suisse, et de son fondateur, Klaus Schwab. Ne minimisez pas le fait que beaucoup considèrent Schwab comme la personne la plus influente au monde.
Si vous essayez de répondre à la question « pourquoi » concernant le graphène, vous serez inévitablement ramené au WEF et à son projet favori, la quatrième révolution industrielle. Schwab et ceux qui composent le WEF (hauts fonctionnaires, leaders d’opinion, universitaires, PDG de grandes et puissantes industries, ainsi que de nombreuses personnes riches et célèbres, y compris certaines célébrités très influentes) donnent régulièrement des conférences et écrivent ouvertement sur les objectifs de ce projet – un projet mieux connu sous d’autres noms, Building Back Better, le Green New Deal ou THE GREAT RESET (ICI un dessin animé de type Pixar sur la Grande Réinitialisation).
C’est le protégé de Schwab, le Canadien Justin Trudeau, qui, dès les premiers jours de la pandémie, a proposé à l’ONU d’utiliser la grippe comme excuse pour mettre en œuvre son « AGENDA 2030 » avec une décennie d’avance – 30 SECOND VIDEO CLIP OF THE ZOOM ADDRESS. Schwab, Trudeau et les milliers d’acteurs de la société qui font partie du programme « Young Global Leaders » du WEF (ICI) veulent contribuer à l’avènement d’une nouvelle utopie de paix et de prospérité. Tout cela semble parfaitement merveilleux jusqu’à ce que l’on découvre que la nouvelle utopie (les anciennes utopies n’ont pas très bien fonctionné) tourne autour de quelque chose qui s’appelle le « transhumanisme ».
Le transhumanisme ?
Qu’est-ce que quelque chose qui semble tout droit sorti des pages d’un des livres de science-fiction que j’ai lus dans mon enfance a à voir avec la possibilité qu’il y ait du graphène dans les vaccins covidés qui font l’objet d’une forte pression ? Permettez-moi de vous donner quelques informations glaçantes tirées du best-seller de Klaus Schwab publié en 2016, The Fourth Industrial Revolution :
La quatrième révolution industrielle se caractérise par une série de nouvelles technologies qui fusionnent les mondes physique, numérique et biologique, qui ont un impact sur toutes les disciplines, les économies et les industries, et qui remettent même en question les idées sur ce que signifie être humain… Ces technologies ne se contenteront pas de faire partie du monde physique qui nous entoure, elles feront partie de nous… En effet, certains d’entre nous ont déjà l’impression que leur smartphone est devenu une extension de leur propre personne. Les dispositifs externes d’aujourd’hui – des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle – deviendront presque certainement implantables dans notre corps et notre cerveau… des micropuces implantables actives qui franchissent la barrière cutanée de notre corps… Les dispositifs implantés aideront probablement aussi à communiquer des pensées normalement exprimées verbalement par l’intermédiaire d’un smartphone « intégré », et des pensées ou des humeurs potentiellement inexprimées en lisant les ondes cérébrales et d’autres signaux…. s’immiscer dans l’espace jusqu’ici privé de notre esprit, en lisant nos pensées et en influençant notre comportement. À mesure que les capacités dans ce domaine s’améliorent, les services répressifs et les tribunaux seront de plus en plus tentés d’utiliser des techniques pour déterminer la probabilité d’une activité criminelle, évaluer la culpabilité ou même éventuellement extraire des souvenirs directement du cerveau des personnes. Même le franchissement d’une frontière nationale pourrait un jour nécessiter un scanner cérébral détaillé afin d’évaluer le risque de sécurité d’un individu.
Combien d’entre vous savent que la technologie de l’IA est déjà utilisée pour créer des DRONE SWARMS mortels ou des « SUPER SOLDATS » pour les armées du monde entier (y compris la nôtre) (surtout la nôtre) ? La seule chose qui semble encore plus folle est la révélation par le principal conseiller scientifique et acolyte de Schwab, le docteur israélien Yuval Noah Harari, qu’il ne s’agit pas d’un plan pour l’avenir. Non, il indique qu’il existe déjà et qu’il est actuellement utilisé (ICI & ICI sont les courtes vidéos ; cette citation est tirée de la seconde, et ICI est une demi-heure de citations absolument folles – et j’ajouterais, antichrétiennes) :
« Les gens pourraient regarder en arrière dans cent ans et identifier l’épidémie de coronavirus comme le moment où un nouveau régime de surveillance a pris le dessus, en particulier la surveillance sous la peau, qui est à mon avis l’évolution la plus importante du 21e siècle. Cette capacité à pirater les êtres humains, à aller sous la peau, à collecter des données biométriques, à les analyser et à comprendre les gens mieux qu’ils ne se comprennent eux-mêmes. En piratant les organismes, les élites pourraient acquérir le pouvoir de réorganiser l’avenir de la vie elle-même. »
Si tel est vraiment l ‘avenir que les « élites » ont prévu pour nous, Orwell a peut-être eu plus raison qu’il ne l’imaginait lorsqu’il a écrit cette phrase dans 1984 (1949). « Si vous voulez une vision de l’avenir, imaginez une botte piétinant un visage humain – pour toujours… » Je suis optimiste, mais la vision de Harari fournit au moins la dernière pièce du puzzle pour les « élites » riches et puissantes qui envisagent avec enthousiasme une utopie orwellienne basée sur une « surveillance » gouvernementale 24/7/365/interne/externe. Après tout, dans leur « meilleur des mondes », l’amour est synonyme de haine, la guerre est synonyme de paix, l’ignorance est synonyme de force et l’esclavage est synonyme de liberté.
Il y a six ans aujourd’hui, j’ai averti mes lecteurs que des « GUERRES DES VACCINS » (y compris les vaccins ARNm) se profilaient à l’horizon. Le fait qu’il y ait à l’époque entre 300 et 500 vaccins en cours de R&D, associé à une quantité impressionnante d’informations sur la fusion des nanotechnologies informatiques à base de graphène avec les nanotechnologies vaccinales à base de graphène, puis leur interfaçage avec tous les aspects des systèmes biologiques (CERVEAU ET SYSTÈMES NERVEUX COMPRIS) et, oui, la 5G, devrait au moins nous amener à nous demander ce qui se passe vraiment ? Sans oublier de se demander si cet avenir est le meilleur pour nous-mêmes ou pour nos enfants.
Article original en anglais publié le 1er avril 2022.
Biographie

Le Dr Schierling est chiropraticien agréé et mondialement connu pour ses interventions sur les douleurs chroniques persistantes. Le Dr Schierling privilégie une approche holistique pour contribuer à mettre fin aux douleurs chroniques de ses patients, qui inclut la thérapie de remodelage du tissu cicatriciel.
Officiellement, le Dr Schierling a fréquenté l’université d’État du Kansas au milieu des années 1980 ; il a choisi de se spécialiser en nutrition et physiologie de l’exercice. Ne connaissant rien à la profession de chiropracteur, une blessure liée à la pratique de la musculation l’a amené à se faire soigner après l’échec des traitements médicaux classiques. Après avoir décidé de faire carrière dans la chiropraxie, le Dr Schierling a fréquenté le Logan College of Chiropractic de Saint-Louis, où il a obtenu son diplôme en 1991. Tombé amoureux des monts Ozark et de la rivière Current aux eaux cristallines pendant ses études, il s’est installé à Mountain View, dans le Missouri, aux Etats-Unis et a commencé à exercer.
Bien que son cabinet ait été prospère, le docteur Schierling se sentait souvent frustré. Aussi efficaces que soient la chiropraxie et l’acupuncture pour un large éventail de problèmes, il ne pouvait pas comprendre pourquoi, dans des cas qui semblaient identiques, un patient réagissait rapidement et l’autre pas du tout. En plus de cela, il était perplexe quant à la raison pour laquelle certains patients ne supportaient pas l’ajustement aussi bien que d’autres, alors même qu’ils présentaient des symptômes, des résultats de radiographie et des résultats d’examen apparemment identiques (ICI).
Puis, au début de l’année 1996, quelques années après son mariage, il a développé une tendinite sévère au coude, qui s’est progressivement aggravée au cours des années suivantes. Le Dr Schierling avait déjà suivi de nombreux massages et il a essayé toutes sortes de traitements différents, notamment la massothérapie, la stimulation électrique et les ultrasons, l’acupuncture, divers types d’ajustements chiropratiques, de nombreux compléments alimentaires et à peu près tout ce qui n’impliquait pas de médicaments ni de chirurgie.
Pendant tout ce temps, la douleur progressait et le dysfonctionnement s’intensifiait. Il en est finalement arrivé au point où il souffrait toute la nuit ; il ne pouvait plus soulever de poids – ni faire quoi que ce soit qui nécessitait d’utiliser la force de préhension (désherber, scier à la tronçonneuse, utiliser un tournevis, une perceuse à main ou même prendre un pot de lait).
Puis, un collègue a présenté au docteur Schierling une nouvelle forme de thérapie de remodelage des tissus cicatriciels. Le Dr Schierling admettra volontiers qu’il n’avait aucune confiance dans ce nouveau traitement et qu’il était pour le moins sceptique. Dans le domaine de la guérison naturelle, il y a toujours une « nouvelle » chose, et la plupart d’entre elles sont là aujourd’hui et disparues demain ; elles ne sont jamais vraiment à la hauteur de leur réputation. Cependant, après avoir reçu un seul traitement, il a été étonné des résultats. Il a su en deux jours que quelque chose avait radicalement changé. En une semaine, il soulevait à nouveau des poids pour la première fois en trois ans. Dans son esprit, c’était rien de moins qu’un miracle !
Son cabinet n’a plus jamais été le même. Aujourd’hui, il se spécialise dans une approche holistique pour aider ses patients à mettre fin à leurs douleurs chroniques, qui comprend la thérapie de remodelage des tissus cicatriciels.
Près de trente ans plus tard, le Dr Schierling est toujours aussi passionné par la guérison.
Sources :
