
Ne croyez plus aux pandémies ! Le concept de germe contagieux mortel est révolu. – Par Samantha et Mark Bailey
L’humanité est assaillie par des pandémies, mais pas pour les raisons que les médias traditionnels l’expliquent. Ce livre examine les allégations concernant les prétendues épidémies de maladies « contagieuses » telles que la COVID-19 afin de mieux comprendre ce qu’elles sont, ou, peut-être plus important encore, ce qu’elles ne sont pas. La croyance selon laquelle des germes provenant de l’environnement naturel (ou d’un laboratoire) nous attaquent a conduit la majeure partie de la population à accepter les confinements, les restrictions des libertés fondamentales, une censure sans précédent en temps de paix et la multiplication des vaccins. Cependant, lorsque les fondements scientifiques sont exposés et que l’on comprend comment les cas sont créés, on ne voit plus aucune « pandémie » de la même façon. Dans la lignée de nos autres contenus, nous disséquons les multiples aspects de ce qui a été présenté comme des preuves scientifiques de la théorie des germes, des prétendus « virus », des tests de diagnostic et des « traitements », qu’il s’agisse de médicaments ou de vaccins. Il s’agit trop souvent d’un monde de mythologie avec des récits soigneusement construits au profit de l’industrie médico-pharmaceutique et d’autres intérêts particuliers. Les docteurs Bailey ont mis leur vaste collection d’informations médicales et de santé à la disposition de tous sur leur site web www.drsambailey.com.
Le statisticien français Pierre Chaillot nous donne ci-après une présentation de ce livre et en résume ses arguments scientifiques dans une vidéo d’environ 1 h :
Sam et Mark Bailey, désormais célèbre couple de médecins Néo Zélandais, viennent de publier l’excellent Ne croyez plus aux pandémies ! aux éditions Marco Pietteur. Pour ceux qui ne les connaissent pas encore, peut-être devrait-on dire plutôt qu’ils étaient médecins (vu leur situation compliquée suite à la répression des autorités pendant la crise Covid-19). Mark a quitté la pratique clinique en 2016, déjà fortement insatisfait du système médical allopathique. Lorsque 2020 arrive, Sam est toujours en activité. Ils ont tous deux créé une chaîne de santé sur YouTube dont le succès retentissant va leur attirer les foudres des autorités. La Nouvelle-Zélande est alors dirigée par Jacinda Ardern, Première ministre dont les interventions et les décisions prises donnaient presque l’impression que les Français étaient dirigés par des gens normaux. Le couple Bailey réalise un travail impressionnant en quantité de contenu, mais également en niveau de profondeur. Ils ne font pas un simple exercice de surface en relayant les paroles de “spécialistes”, mais vont jusqu’au bout des choses en questionnant le bien fondé de chaque affirmation scientifique. La conclusion de leur travail est celle du titre et du sous-titre : Ne croyez plus aux pandémies ! Le concept de germe contagieux mortel est révolu. Déjà, soulignons que le verbe “croire” est parfaitement choisi. Cet article est d’ailleurs une excellente occasion de clarifier les choses. À la suite de mon livre Covid-19 : ce que révèlent les chiffres officiels, un débat a émergé sur les réseaux sociaux sur le fait que son auteur “croie” ou non aux virus. Ce dernier s’acharne en fait à repartir scientifiquement d’un bon pied et de cesser de “croire” en quoi que ce soit. Il y a des choses que nous pouvons observer, dans la nature ou par expérience et il y a le reste. Ce reste n’est que hypothèse, spéculation et parfois pur fantasme. Repartir de l’expérience, comprendre le travail des uns et des autres, affiner son regard critique est la seule manière de sortir de la croyance. Dans leur livre, Sam et Mark démontrent que l’histoire racontée du virus tueur qui va ravager l’humanité, en infectant des individus qui vont se le transmettre et contaminer la terre entière, n’est qu’une fable hollywoodienne. La raison en est simple, mais doit être clairement exposée : les études prétendant identifier ce germe tueur ne respectent pas la méthode scientifique. Aujourd’hui, il n’y a pas davantage de raison d’avoir peur du méchant germe mortel que d’un monstre sous son lit.
Extrait
Créer une pandémie
Le cartel médical… il n’a aucun scrupule à créer des maladies et des crises sanitaires, propagées par les médias et gérées par diverses agences fantoches. Je vais vous montrer comment il a systématiquement créé des crises sanitaires, en se servant de son pouvoir dans les médias et la Federal Drugs Administration, pour créer des paniques de masse suivies de ses propres marques de «remède» et de vaccin… La frange «cerveau lavé» de la population se rue alors vers ces remèdes. Les départements de santé des États se voient offrir plus d’argent sous forme d’«aide fédérale» s’ils suivent le mouvement en faisant voter des lois propres à sauvegarder les mensonges du cartel médical.
— William Trebing D. C.
Toutefois, dans la phrase qui suit, ils annoncent au monde que «cette souche virale a été désignée comme le coronavirus WH-Human 1 (WHCV)». Nous devons nous arrêter sur ce point, car c’est là que le virus frauduleux, bientôt rebaptisé SRAS-CoV-2, a été inventé de toutes pièces. Un virus dont l’OMS affirme, sans aucune preuve, qu’il est l’agent causal du covid-19… C’est cette invention qui est à l’origine de toute la panoplie de stratagèmes destructeurs imposés au monde après l’annonce de la pandémie par l’OMS le 11 mars 2020.
— Dr Mark Bailey.
La médecine allopathique invente des maladies.
L’expression «médecine allopathique» ne plaît pas aux puissances qui contrôlent le système médical. Par exemple, l’encyclopédie publique en ligne Wikipédia affirme de manière trompeuse que «la médecine allopathique, ou allopathie, est un qualificatif archaïque et péjoratif utilisé à l’origine par les homéopathes du XIXe siècle pour décrire la médecine héroïque, précurseur de la médecine moderne fondée sur les preuves». Le dictionnaire Merriam-Webster a contribué à cette tromperie de la population en s’écartant grossièrement du sens initial de la définition. La façon dont l’entrée «allopathie» du dictionnaire a changé au cours des dernières années en est une preuve criante :
Mai 2022 : «un système de pratique médicale visant à combattre la maladie par l’utilisation de remèdes (comme les médicaments ou la chirurgie) produisant des effets différents ou incompatibles avec ceux produits par la maladie traitée».
Novembre 2022 : «un système de pratique médicale mettant l’accent sur le diagnostic et le traitement des maladies et sur l’utilisation de mesures thérapeutiques conventionnelles fondées sur les preuves (telles que les médicaments ou la chirurgie)».
En plus d’essayer de détourner l’attention du public de sa nature même, la médecine allopathique a une longue histoire de manipulation de la classification des maladies pour l’adapter à ses fins. L’invention des syndromes de la «théorie des germes» dans les années 1970 est particulièrement pertinente pour les thèmes de ce livre. Un syndrome est un ensemble de symptômes, dont les causes sont souvent obscures ou inconnues. Parfois, des syndromes sont présentés au public mais, pour une raison ou pour une autre, ils ne «prennent» pas et sont relégués aux archives de l’histoire. La tentative de création d’un nouveau syndrome basé sur une série de symptômes gastro-intestinaux très divers en est un exemple. On avait prétendu que seuls les hommes homosexuels étaient concernés par ce dernier et, sur cette base, le «nouveau» syndrome avait été appelé «syndrome intestinal gay». Ce diagnostic absurde a montré comment le ciblage d’un groupe de population particulier pouvait être utilisé pour inventer de nouveaux diagnostics à partir de rien, et ensuite commercialiser des traitements aussi nouveaux qu’inutiles.
Hélas ! Nombre de ces syndromes (et maladies) inventés «prennent», et le monde peut alors être mis sens dessus dessous. En effet, cette approche épidémiologique a également été utilisée pour construire des «preuves» bidons autour du concept de contagion. Les échecs répétés de démonstration de la transmission de maladies par des «germes» par des voies naturelles dans des expériences réelles auraient dû enterrer la notion de maladies «infectieuses» il y a bien longtemps. Cependant, ces preuves scientifiques rédhibitoires ont été largement ignorées, tandis que la pseudo-science (et le marketing) est utilisée pour maintenir le concept de contagion en vie.
Comme ce livre va l’explorer et le montrer, l’allopathie est un système dans lequel la «maladie» peut ou non présenter des symptômes et dans lequel la «maladie» peut ou non s’accompagner d’une affection réelle. Comme nous l’avons déjà mentionné, l’allopathie modifie les définitions des maladies pour manipuler le nombre de cas présumés à ses propres fins. Ces modèles de maladies sont accueillis favorablement par les groupes d’intérêt qui ont traditionnellement tiré profit de leur alliance avec la théorie des germes, tels que les industries pharmaceutiques et biotechnologiques. Concrètement, des maladies fictives sont créées par et pour l’industrie médico-pharmaceutique afin d’engranger des profits bien réels, tout en n’ayant rien à voir avec l’amélioration de la santé. Ainsi que nous a mis en garde le philosophe Ivan Illich dans son livre Medical Nemesis, publié en 1975, ce processus pourrait être appelé «la médicalisation de la vie».
Au cours des dernières décennies, la population cible s’est élargie, et à les croire nous serions à présent tous menacés par de nouvelles maladies contagieuses. En outre, on nous répète sans cesse qu’il faut s’attendre à ce qu’elles soient de plus en plus nombreuses à l’avenir. Si les médias et les campagnes de marketing de Big Tech ont pu convaincre la majorité de la population d’adhérer à ces récits de peur, l’absence de preuves scientifiques à l’appui de ces affirmations est stupéfiante. Ce qui est présenté comme «la science» peut en général être ignoré car il ne s’agit pas de résultats issus de la méthode scientifique. Le 28 novembre 2021, la prétention du Dr Anthony Fauci à «représenter la science» a résumé explicitement la situation : la science était représentée comme autre chose. Le Dr Fauci a été directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) de 1984 à 2022. Il a joué un rôle clé dans la promotion des «pandémies» pendant quatre décennies. Avec une apparente prescience, ce bureaucrate de carrière a déclaré en 2017: «il ne fait aucun doute que Donald J. Trump sera confronté à une épidémie de maladie infectieuse surprise pendant sa présidence». Comme prévu, et à point nommé, le monde a reçu la «surprise» avec la Covid-19.
La covid-19 : une publicité-appât
Fin 2019 et début 2020, Internet a été inondé d’images et de vidéos censées montrer des personnes tombant raides mortes dans les rues de villes chinoises. Certaines des victimes semblaient être d’âge moyen ou plus jeunes, et cela suggérait qu’une nouvelle maladie (baptisée par la suite «Covid-19») pouvait foudroyer mortellement presque n’importe qui dans la population. La «couverture» mainstream a généralement consisté en un grand battage morbide et en une pénurie correspondante de faits. Par exemple, fin janvier 2020, The Guardian a publié un article intitulé «Un homme gisant mort dans la rue : l’image qui résume la crise du coronavirus de Wuhan». Il dépeignait la situation suivante à Wuhan :
C’est une image qui résume la réalité glaçante de l’épidémie de coronavirus dans la ville chinoise de Wuhan : un homme aux cheveux gris portant un masque de protection gît mort sur le trottoir, un sac de courses en plastique dans une main, tandis que des policiers et du personnel médical en combinaison et masque de protection s’apprêtent à l’emmener […] Des journalistes de l’Agence France-Presse ont vu le corps jeudi matin, peu de temps avant l’arrivée d’un véhicule transportant des secouristes. L’AFP n’a pas pu déterminer comment l’homme, qui semblait âgé d’une soixantaine d’années, est mort […] L’AFP a contacté la police et les autorités sanitaires locales par la suite, mais n’a pas pu obtenir de détails sur son cas.
Autrement dit, on ne sait pratiquement rien de l’homme ; ni de son état de santé sous-jacent, ni de la raison pour laquelle il s’est effondré dans la rue. Les médias n’avaient manifestement pas besoin de ces détails pour déduire que son effondrement était dû à «la crise du coronavirus de Wuhan». Les mots et les images visaient clairement à susciter la peur chez les lecteurs, sans véritable enquête ni explication scientifique.
The Guardian, 31 janvier 2020 : «Du personnel d’urgence en combinaison de protection examine le corps d’un homme qui s’est effondré et est mort dans la rue à Wuhan jeudi.» Malgré le peu d’informations entourant l’image étrange du personnage parfaitement allongé portant un masque, l’article en déduit qu’il a été frappé par un virus contagieux.
Ce genre d’article était en totale contradiction avec l’expérience rapportée d’autres parties du monde. Dans presque tous les autres pays, il n’y a pas eu de rapports faisant état de personnes tombant anormalement mortes dans la rue en 2020. En outre, le 13 mai 2020, le Dr John Ioannidis a soumis son article sur le taux de létalité de l’infection (TLI) de la Covid-19 pour le Bulletin de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). (L’OMS ne l’a mis en ligne que le 14 octobre de la même année.) Il y indiquait que non seulement le TLI était faible, mais qu’il pourrait être «nettement inférieur au 0,23 %» qu’il avait calculé dans son analyse. En outre, il indiquait que les décès attribués à la Covid-19 concernaient principalement des personnes âgées, avec un TLI de 0,05 % chez les personnes de moins de 70 ans. Même selon leurs propres termes (injustifiés), la «nouvelle» maladie n’avait rien à voir avec le scénario mortel dépeint frauduleusement dans les premiers articles de presse. En réalité, elle était remarquablement similaire à la grippe qui a «disparu» de manière suspecte dans certains pays au moment même où les cas de Covid augmentaient. Cependant, l’hystérie était déclenchée et la croyance se répandait que la Covid-19 était une maladie mortelle et contagieuse qui pouvait tuer presque tout le monde. Cette croyance a sans aucun doute contribué à alimenter le respect massif des confinements, des masques, de l’acceptation des vaccins et de l’abandon dystopique des libertés fondamentales.
Un autre aspect de cette publicité-appât a été l’association de l’appellation «SRAS» au virus supposé, pour produire l’inquiétant «SRAS-CoV-2». Jusqu’en 2002, les virologues considéraient les «coronavirus» comme relativement inoffensifs. En fait, pendant plusieurs décennies, des milliers de volontaires humains avaient fait la queue pour avoir la chance d’être exposés à ces «germes» dans le cadre du centre de vacances de la Common Cold Unit. Ni les médecins qui dirigeaient l’unité ni leurs cobayes humains n’auraient pensé une seconde que quelqu’un se mettait en danger. L’unité a discrètement fermé ses portes en 1990, et un peu plus d’une décennie plus tard, les «coronavirus» ont été reclassés dans la catégorie des tueurs mortels avec le début de la prétendue épidémie de SRAS en 2002. «SRAS» signifie syndrome respiratoire aigu sévère. Comme l’indique l’entrée Wikipédia :
Le SRAS était une maladie relativement rare ; à la fin de l’épidémie, en juin 2003, l’incidence était de 8 469 cas, avec un taux de létalité de 11 %. Aucun cas de SRAS-CoV-1 [le prétendu «virus»] n’a été signalé dans le monde depuis 2004 […] Le seul symptôme commun à tous les patients semble être une fièvre supérieure à 38 °C (100 °F). Le SRAS entraîne souvent un essoufflement et une pneumonie, qui peut être une pneumonie virale directe ou une pneumonie bactérienne secondaire […] Pour qu’un cas soit considéré comme probable, la radiographie pulmonaire doit indiquer une pneumonie atypique ou un syndrome de détresse respiratoire aiguë.
Nous avons là un exemple classique d’invention d’une nouvelle maladie par la médecine allopathique. Comment pourrait-elle être considérée comme une maladie spécifique alors que «le seul symptôme commun à tous les patients semble être une fièvre supérieure à 38 °C (100 °F)» ? La fièvre est un symptôme très peu spécifique, même dans la médecine allopathique. En dehors du paradigme allopathique, elle est simplement considérée comme faisant partie d’une crise de guérison et est utilisée par le corps pour améliorer les processus d’élimination après une grande variété de maladies. Le SRAS était censé être une maladie respiratoire, mais comment une maladie respiratoire avec de la fièvre était-elle censée être différenciée de la grippe ou de la pneumonie, par exemple ? Pendant une grande partie de la durée de la prétendue épidémie de SRAS, aucun test de laboratoire n’était disponible. En fait, l’OMS avait annoncé le 23 avril 2003 : «à l’heure actuelle, il n’existe pas de test diagnostique spécifique validé pour la détection du coronavirus du SRAS ou des anticorps».
Plus tard, un kit de réaction en chaîne par polymérase (PCR) a été mis à disposition, bien que la PCR soit impropre à diagnostiquer de telles maladies – comme nous l’expliquerons au chapitre 4. Par conséquent, même selon leurs propres termes, ils ne disposaient pas d’outils d’investigation de confirmation pour la maladie SRAS nouvellement inventée. En outre, la PCR et d’autres tests n’étant pas prêts à être produits et distribués en masse avant plusieurs années, seul un très petit nombre de cas de SRAS pourraient être diagnostiqués cliniquement. L’autre raison pour laquelle les médecins n’ont pas «trouvé» beaucoup de cas de SRAS au début des années 2000, alors qu’ils avaient toute latitude pour déclarer arbitrairement de tels cas, tient peut-être au fait que les symptômes du patient devaient être évalués comme «graves» et «aigus». À ce moment-là au moins, ces mots avaient encore un sens bien précis, et les professionnels de santé n’étaient pas enclins à les utiliser à tort et à travers.
Couvertures du magazine TIME du 5 mai 2003 : éditions des États-Unis et de l’Europe (à gauche) et de l’Asie (à droite). Tous les thèmes du SRAS seront repris en 2020 avec la Covid-19, dont le «virus» mortel, les masques, la Chine et les campagnes de peur. Les données scientifiques fiables ont fait défaut à ces deux occasions. La différence, c’est que la Covid-19 a fait l’objet d’une campagne de marketing de beaucoup plus grande envergure, et qu’elle a été promue sur les réseaux sociaux partout dans le monde, et pas seulement dans les magazines d’information payants.
Avance-rapide en 2020 : L’annonce une nouvelle maladie appelée «Covid-19» (abréviation de «Coronavirus disease 2019»), causée par le SRAS-CoV-2, a mis le public en présence d’une autre maladie mortelle inventée. Après tout, on nous disait que le nouveau virus était apparenté au SRAS-CoV-1. Naturellement, cela a provoqué et alimenté la panique en 2020, car l’«épidémie» de SRAS de 2002-2004 avait un taux de létalité officiel de 11 %. Une fois de plus, le mal était fait, et la Covid-19 était à jamais liée à la maladie redoutée qu’est le SRAS. Le public a été amené à croire à une menace invisible et a été préparé aux confinements imminents. (Voir également «Pourquoi le SRAS-2 (Covid-19) a-t-il été plus important que le SRAS-1 ?» au chapitre 4 de ce livre.)
Des cas non significatifs
Pour voir à quel point le «diagnostic» de Covid-19 était absurde, il suffit de regarder la propre définition de cas de l’OMS, qui a finalement été adoptée par la plupart des pays du monde. Cette définition a été officialisée le 7 août 2020, lors de la publication d’un document intitulé «OMS COVID-19 : Définitions de cas», qui peut toujours être consulté sur archive.org. Les sections relatives à un «cas suspect» et à un «cas probable» comprenaient des caractéristiques cliniques et épidémiologiques, ainsi que des résultats d’imagerie thoracique tels que des radiographies. Cependant, tout cela pouvait être commodément ignoré, car un cas «confirmé» était défini par l’OMS comme étant «une personne dont l’infection par la Covid-19 a été confirmée en laboratoire, indépendamment des signes et symptômes cliniques» [souligné par les auteurs]. En matière de diagnostics dans le cadre du paradigme médical allopathique, le raisonnement circulaire est souvent évident dans une certaine mesure. Toutefois, la définition de cas de l’OMS a porté cette entourloupe de la pensée logique à un tout autre niveau.
Bailey, Samantha et Bailey, Mark (2025). Ne croyez plus aux pandémies ! Le concept de germe contagieux mortel est révolu. Marco Pietteur. 192 pages. Disponible sur Amazon.
Biographie des auteurs

Le Dr Samantha Bailey a suivi sa formation médicale à l’université d’Otago, où elle a obtenu une licence en médecine et une licence en chirurgie (MB ChB). En tant que médecin résident, elle a travaillé dans tous les domaines de la médecine, avec une spécialisation en médecine d’urgence et en cardiologie. Elle a ensuite exercé en médecine générale et en santé sexuelle avant de devenir médecin chercheur en essais cliniques. Au cours de cette décennie, elle a travaillé comme médecin superviseur dans des essais cliniques de phase I à IV.
En 2017, le Dr Samantha Bailey a fondé SwiftMed, une société médicale primée qui propose le premier service national de consultation médicale en ligne en Nouvelle-Zélande. Ce service a connu un succès immédiat, avec une note de 5 étoiles presque exclusive. SwiftMed a reçu le prix « Emerging Business » lors des Westpac Champion Business Awards 2018, la cérémonie de remise de prix régionale la plus importante et la plus prestigieuse de Nouvelle-Zélande. Veuillez noter que le Dr Samantha Bailey a fermé la plateforme SwiftMed en décembre 2019.
Elle est ensuite devenue présentatrice de « The CheckUp », une émission de télévision néo-zélandaise diffusée à l’échelle nationale qui démystifie les idées reçues en matière de santé. Cela a inspiré le Dr Samantha Bailey à lancer sa propre chaîne YouTube fin 2019, où elle remet en question les preuves scientifiques des discours dominants sur la santé et répond aux questions de ses spectateurs.
Au début de l’année 2020, avec l’arrivée de la Covid-19, le Dr Samantha Bailey a commencé à rechercher les preuves scientifiques justifiant les mesures de confinement, la distanciation sociale et les tests PCR. Après avoir publié une vidéo YouTube en septembre 2020, dans laquelle elle déclarait qu’elle ne se ferait pas vacciner contre le coronavirus, elle a été licenciée au milieu du tournage de la deuxième saison de « The CheckUp ». Par la suite, elle a perdu une partie de son emploi de médecin et est engagée dans une bataille juridique avec les autorités médicales néo-zélandaises qui tentent de la réduire au silence sur la Covid-19.
Le Dr Samantha Bailey est co-auteure du best-seller n° 1 dans la catégorie « Microbiologie » sur Amazon : Virus Mania, qui examine comment l’industrie médicale invente continuellement des épidémies pour réaliser des profits de plusieurs milliards de dollars à nos dépens.
Le deuxième livre de Sam, Terrain Therapy, fait revivre les écrits importants du Dr Ulric Williams. Il s’agit d’un guide complet sur le bien-être physique, psychologique et spirituel.
Son dernier livre, The Final Pandemic, annonce la fin du concept de « germes » contagieux et mortels. Espérons que cela aidera les gens à comprendre qu’il n’est pas nécessaire de participer à ces « crises » artificielles à l’avenir.

Mark est le mari du Dr Samantha Bailey. Ils ont commencé à travailler ensemble lorsqu’ils se sont rencontrés en 2007 et forment depuis lors une équipe très soudée. Mark et Samantha Bailey vivent en Nouvelle-Zélande et ont trois enfants.
Depuis début 2020, il est le chercheur en chef du duo, spécialisé dans la microbiologie, l’existence des virus, ainsi que les questions historiques et épistémologiques dans le domaine des sciences médicales.
Le Dr Mark Bailey a obtenu une bourse d’études de premier cycle à l’université de Canterbury en 1994, puis a terminé sa formation médicale à l’université d’Otago en 1999.
Il a travaillé dans de nombreuses spécialités en tant que médecin résident et a également été médecin chercheur dans le domaine des essais cliniques pendant plusieurs années. En 2016, il a quitté la pratique clinique en raison de son insatisfaction à l’égard du système médical allopathique.
Le Dr Mark Bailey est l’auteur de l’article « A Farewell To Virology (Expert Edition) », co-auteur de l’article « The COVID-19 Fraud & War on Humanity » et co-auteur du livre The Final Pandemic.
Dans sa jeunesse, le Dr Mark Bailey a été sept fois champion de Nouvelle-Zélande de duathlon, trois fois champion de cyclisme Le Race 100K et figurait parmi les 10 meilleurs duathlètes mondiaux dans la catégorie des 20-29 ans. Il est toujours en pleine forme et a même remporté un titre néo-zélandais de cross-country en tant que vétéran.