Quand Pfizer démontre l’inefficacité du vaccin
Par Zola
Avec le temps et plusieurs vagues, nous avons maintenant suffisamment de recul. En regardant ce qui se passe à l’échelle mondiale, après 7 milliards de doses injectées à ce jour, nous pouvons comparer l’année 2020 sans vaccin avec l’année 2021 avec vaccin, comparer les pays très vaccinés et ceux qui le sont moins. Il est temps de se poser des questions. Le bilan à l’heure actuelle devient significatif, portant sur 20 mois et des milliards d’individus. Quel bilan pour la vaccination de masse ?
On peut tout faire dire aux chiffres, je ne m’en prive pas, d’autres non plus. Si on peut montrer tel ou tel pays, pour dire tout et son contraire, c’est plus difficile en prenant la totalité du monde, en laissant de côté chaque particularité. En effet chaque pays a des conditions différentes, trop de facteurs pouvant modifier les résultats. La comparaison est parfois difficile, manipulatrice si on omet certains facteurs, mais en prenant la totalité, il y a moins de biais.
Voici côte à côte les courbes de cas de covid et de vaccinations dans le monde. La courbe des cas est parfaitement linéaire, on n’a pas l’impression qu’il y a eu cassure ou ralentissement avec les vaccinations. On note même une pente plus faible en 2020, puis une accélération.
Ceci dit, s’il n’y a pas de nouveau variant, il y aura ralentissement de la courbe de cas, qui sera attribué à tort aux vaccins. Ce sera l’inverse si un nouveau variant significatif apparaît.
On nous a dit en décembre 2020 que le vaccin nous protégerait à 96%, cela n’a pas été le cas. On nous a dit qu’il fallait vacciner tout le monde pour obtenir une immunité collective pour casser les contagions, cela n’a pas été le cas. Maintenant on nous dit, sans rire, que la troisième dose nous protégera à 95,6%.
Pfizer confirme l’inefficacité des vaccins !
Surprise, cette présomption d’inefficacité est confirmée par les laboratoires qui commercialisent et vendent leurs vaccins.
Il y a différentes façons de lire les études et articles. Il y a la lecture scientifique et statistique qui va saluer la méthodologie et valider les conclusions, même si elles sont erronées, le plus important étant que ce soit fait « dans les règles ». Cela a été le cas pour le Remdesivir et la plupart des vaccins. Même l’éminent énarque Laurent Alexandre a reconnu a postériori dans une interview qu’il s’était trompé sur le Remdesivir (ce que tous les autres n’ont pas fait), cela ne l’empêche pas continuer à faire confiance les yeux fermés à la même méthodologie.
À côté de cette lecture bêtement scientifique, il y a la lecture des résultats avec un peu de bon sens et en s’intéressant plus aux patients qu’à la méthodologie. Avec cette lecture non scientifique, les résultats publiés par Pfizer laissent perplexe.
1. Étude Pfizer sur l’efficacité des deux doses
Rappelez-vous la première étude qui a conduit à l’autorisation du vaccin : 3 morts dans le groupe placebo, 2 morts dans le groupe des vaccinés. OK, petit avantage vaccin, mais sur une période beaucoup trop courte pour être crédible. Maintenant Pfizer a un peu plus de recul, et sur la même cohorte, il a publié une deuxième étude avec les résultats arrêtés à 6 mois, c’est à dire en juillet 2021 (étude complète ici).
Le résultat sur l’efficacité de leur vaccin est sans appel, et ce n’est pas moi mais Pfizer qui le dit : groupe placebo, 14 morts, groupe des vaccinés, 15 morts. Les scientifiques et politiques salueront la qualité de la publication, ceux qui ont un peu de bon sens regarderont le résultat : quel est-il ? Autant de morts d’un côté ou de l’autre, quel est le bénéfice ? Quel médicament serait autorisé à la vente avec de tels résultats à 6 mois ? Aucun. Les traitements précoces ont été rejetés pour moins que cela.
Certains sont allés plus loin en épluchant le détail des chiffres de Pfizer, pour découvrir qu’en fait il y a eu 20 morts dans le groupe vaccinés contre 14 morts dans le groupe placebo. En effet Pfizer avait proposé aux participants non-vaccinés du groupe placebo de recevoir le vaccin début 2021, et certains placebo-vaccinés sont décédés, ramenant à 20 le nombre de morts vaccinés dans l’étude Pfizer après 6 mois de plus. Je ne rentrerai pas dans cette polémique de chiffres pour ne retenir que ce qui est indiscutable : les chiffres de Pfizer ne montrent aucune supériorité du vaccin après 6 mois de plus.
2. Étude Pfizer sur l’efficacité de la troisième dose
Si on sait regarder du bon côté, Pfizer récidive avec son étude sur la troisième dose, ses chiffres confirmant l’inefficacité de la vaccination avec les deux premières doses. Plutôt que de regarder les chiffres que Pfizer veut vous montrer, regardons les autres :
Étude sur 10 000 patients à jour de leur vaccination deux doses : 5000 ont reçu le rappel, 5000 un placebo. Suivi médian de 2,5 mois, ce qui est très peu, et veut dire que certains ont à peine 1 mois de recul. Est-ce sérieux pour publier sur l’efficacité ? Les optimistes se gausseront des 5 cas de covid dans le groupe « boosté » à la troisième dose, c’est la moindre des choses après 3 doses et 2,5 mois de recul ! Moi, je regarde l’autre groupe, celui des vaccinés à deux doses avec un peu plus de recul : 106 cas de covid. C’est le chiffre le plus intéressant. Pourquoi ? Parce que c’est 106 cas en 2,5 mois sur 5000 vaccinés double dose ! C’est énorme, et cela montre l’inefficacité du vaccin après quelques mois.
Sur une période de 2,5 mois, avoir 106 cas de covid sur 5000 vaccinés deux doses, cela correspond à 1,45 cas par jour, soit 19 430 covids avérés par jour pour une population de 67 millions ! Sur 2,5 mois, cela ferait une vague à 1,47 million de contaminés. Sachez que notre dernière vague a vu 1 million de cas sur trois mois, du 1er août au 31 octobre. Conclusion : cela fait plus de cas chez les vaccinés double dose que dans la population globale, alors qu’on nous dit que 80% des cas sont dus à des non-vaccinés.
Précision : ce n’est pas moi qui raconte n’importe quoi, ce sont les chiffres de Pfizer. Un biais important, j’avoue, la série de Pfizer ne concerne que les plus de 16 ans. Il faut donc ramener ces chiffres à la population correspondante, ce qui fait non pas plus de cas, mais autant de cas. C’est confirmé d’ailleurs par le discours des complotistes devenu discours officiel, démontré dans de plus en plus d’études : le vaccin ne protège pas de l’infection, le vacciné est autant porteur et contaminant que le non vacciné, à égalité. Les chiffres de Pfizer ne font que le confirmer.
Quant aux 5 covids sur 5000 « booster », ils deviendront très probablement 106 dans les 6-8 mois qui viennent, tout le monde le sait mais fait comme si ce n’était pas le cas. Efficacité à 95,6% ? Ils ont berné les « spécialistes » une première fois avec le manque de recul, mais une publication parfaite. Ils vont les berner une seconde fois avec un recul de 2,5 mois pour prouver que cela marche. Ils se sont bien gardés d’attendre 6 mois afin de vendre cette troisième dose, et une fois digérée, passer à la quatrième, en préparation (déjà commandée dans beaucoup de pays).
Toutes les courbes, toutes les études, tous les discours officiels convergent vers ce constat : après une courte phase bénéfique, pas de bénéfice attribuable à la vaccination sur le moyen terme.
Si vous voulez d’autres études que celle de Pfizer, Paul Alexander et Harvey Rish m’ont transmis leur dernier travail : compilation des études montrant l’inefficacité des vaccins (27 études au 30 octobre 2021). J’attends avec impatience qu’on nous mette en face les mêmes études montrant l’efficacité des vaccins, ce que même Pfizer, premier intéressé, ne peut faire. Également tout neuf, cette étude du Lancet en Suède portant sur plus de 800 000 cas : vaccin devenu inefficace entre 121 et 211 jours, selon les vaccins (et troisième dose proposée pour repousser un problème qui sera toujours le même !)
Protection des formes graves
Si tout ceci remet en cause l’efficacité des vaccins et l’utilité du pass, il ne reste qu’un seul argument : le vaccin protège des formes graves.
Là il devient très difficile de ne pas dire de bêtises, tout dépend de la manière dont on fait les comptes, ce qui explique les disparités d’un pays à l’autre, alors qu’il s’agit du même virus et des mêmes hommes. Ainsi la France montre un résultat évident en ce qui concerne la gravité des dernières vagues, de moins en moins létales.
Malades décédés avec le covid ou malades décédés du covid, cela peut faire une différence énorme. La France est également championne du tripatouillage des chiffres. Elle est championne des malades non-vaccinés en réanimation, et ses organismes statistiques n’ont pas peur d’oublier la moitié des morts comme on l’a vu récemment. La palme revient à notre ministre de la Santé qui affirme zéro mort du vaccin, alors que dans le monde on approche les 100 000 morts avoués. Pour arriver à ce chiffre, prenez ce qui est publié en Israël, en Grande Bretagne ou aux USA, divisez par le nombre de doses injectées dans le pays, et multipliez par le nombre de doses injectées dans le monde. Quand vous savez que, de plus, on nie au maximum ces décès, vous savez que le chiffre obtenu est la fourchette basse de la réalité.
Regardez la dernière vague en Israël, malgré les bi et tri vaccinés, vous avez 10% de décès en moins, en comparant avec la vague de fin 2020, sans vaccin. Même constatation en Angleterre : 10% de décès en moins, pas plus.
Si l’on accepte 10% de décès en moins fin 2021, avec vaccins, comparé à fin 2020 sans vaccin, quid de la responsabilité du variant dans ce résultat ? Depuis l’arrivée du delta, on sait qu’il est plus contagieux, mais aussi un peu moins virulent que l’anglais. Alors ce bénéfice de 10% : imputable aux vaccins ou lié à la nature du variant ? Il ne faut pas négliger non plus l’utilisation de plus en plus importante des traitements précoces, malgré les pressions pour ne pas les utiliser. Ivermectine 25 fois plus prescrite aux US, mêmes constatations dans beaucoup de pays, voire dans des pharmacies en France.
Pour se détourner des biais inhérents à chaque pays, le mieux est peut-être de revenir comme au début du billet, aux chiffres bruts mondiaux. Voici donc la courbe de mortalité monde :
Difficile, pour ne pas dire impossible, d’y déceler une baisse de la mortalité avec la vaccination. La croissance est toujours linéaire, avec une pente 2021 plus forte que la pente 2020. En France nous aurons au 31 décembre 2021 autant de décès qu’au 31 décembre 2020.
Alors moins de cas graves avec la vaccination ? Les chiffres permettent d’avoir des doutes, l’histoire jugera.
Après l’efficacité des vaccins, un petit mot concernant l’efficacité du pass. Il vous a été montré ici que la baisse du R effectif annonçait une fin de vague démarrée avant que le pass puisse avoir un quelconque effet. La reprise actuelle vous a également été annoncée avec ce R depuis 15 jours, malgré plus de vaccinés et le pass. CQFD. Vaccins et pass subissent le virus et ses variants, mais ne le contrôlent en rien.
Un peu d’espoir
On vous avait également signalé ici que depuis 9 siècles, les 15 plus grandes épidémies virales n’avaient duré que 2 à 3 ans (avec quelques réminiscences locales), et ce sans vaccin ou traitement. Il en sera de même ici, avec fin probable dans les 6 mois, peut-être un peu avant, peut-être un peu après.
Un grand « charlatan » expérimenté vous avait expliqué il y a 18 mois qu’il en serait ainsi, et qu’il ne croyait pas trop dans les vaccins contre les virus à ARN. Il prévoyait une sortie avec des variants de moins en moins nocifs.
Certaines courbes semblent le montrer, quand on voit l’évolution en France sur bientôt 2 ans :
Le discours poussant à la vaccination est faussé. Il est censé justifier des mesures politiques et non médicales, et encourager une mise sous tutelle. Si les vaccins étaient réellement sûrs et efficaces, ce discours ne serait pas nécessaire, et aucun d’entre nous ne serait ici à polémiquer, car tous vaccinés comme dans toutes les autres occasions. Les vaccinateurs actuels sont acculés, ils sont prêts à tout pour échapper au piège dans lequel leur propre rhétorique et leurs politiques inconsidérées les ont mis.
Quant à ceux qui accusent les non-vaccinés d’être responsables de la situation, les traitant d’irresponsables, de dangereux individus à bannir de la société, qu’ils se méfient. Ils n’ont aucune preuve, aucun chiffre, aucune étude permettant d’étayer leurs accusations, car elles s’accumulent dans l’autre sens. Un jour ils peuvent être poursuivis pour diffamation et pour incitation à la haine. La justice s’appuiera sur des faits, des preuves, pas sur des propos sans fondement. La balance de la justice penche plus d’un côté que de l’autre.
source : https://www.covid-factuel.fr