Plainte pénale contre MM. les ministres Jean Castex, Olivier Véran et Michel Blanquer devant la Cour de Justice de la République
Les associations Bon Sens et AIMSIB, représentées par Me Virginie de Araujo Recchia se sont associées pour déposer une plainte auprès de la Cour de Justice de la République (CJR) contre MM. le Premier ministre Jean Castex, le Ministre de la santé et des solidarités Olivier Véran et le Ministre de l’Éducation Michel Blanquer, pour les chefs suivants :
- abus fraduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse (article 223-15-2 du Code pénal),
- extorsion et tentative d’extorsion (articles 312-1 et 312-9 du Code pénal),
- empoisonnement et tentative d’empoisonnement (article 221-5 du Code pénal),
- tromperie aggravée et tentative de tromperie aggravée commise en bande organisée (articles L441-1 et L454-1 du Code de la consommation et articles 132-71 du Code pénal),
- escroquerie et tentative d’escroquerie commise en bande organisée (articles 313-1 et 132-71 du Code pénal),
- génocide (article 211-1 du Code pénal).
Ce type de document a l’avantage de permettre une véritable synthèse des éléments constituant le crime de la vaccination de masse : pandémie de tests positifs et manipulation des taux d’incidence ; chiffres trompeurs de surmortalité Covid ; informations déloyales concernant la nature de l’épidémie et les traitements disponibles ; censure médiatique systématique (témoignages de victimes, lanceurs d’alertes, etc.) ; incitation des adolescents à participer à un essai clinique reposant sur la manipulation et la tromperie ; mensonge permanent (campagnes vaccinales…), etc.
Le document affirme très clairement et de manière tout à fait juste et clairvoyante :
En cette période de crise dite « sanitaire », qu’il serait plus juste de qualifier de crise mondiale financière sur fond d’idéologie mondialiste et néo-malthusienne, le gouvernement a donc fait usage de mesures coercitives sans précédent pour inciter les citoyens français à se faire injecter des produits pharmaceutiques innovants et expérimentaux, faussement appelés « vaccins ».
Depuis le 9 juin 2021, une autre mesure anti-démocratique a été adoptée, cette fois pour les besoins manifestes de contrôler la population : le « passe sanitaire ».
Il s’agit en réalité tout simplement d’une « vaccination obligatoire déguisée » étant donné les conditions d’obtention et les lieux pour lesquels il s’applique, que seul un pouvoir technocratique éloigné de la recherche du bien-être physique, mental et social de sa population pouvait inventer.En effet, le passe sanitaire consiste à présenter, au format numérique ou papier, une preuve parmi les trois suivantes :
• L’attestation de vaccination, à la condition que les personnes disposent d’un schéma vaccinal complet (…).• La preuve d’un test négatif RT-PCR, antigénique ou un autotest réalisé sous la supervision d’un professionnel de santé de moins de 72h maximum. Depuis le 15 octobre 2021, les tests RT-PCR et les tests antigéniques ne sont plus gratuits pour les personnes majeures non vaccinées sauf pour raison médicale.
• Le résultat d’un test RT-PCR ou antigénique positif attestant du rétablissement du Covid, datant d’au moins 11 jours et de moins de 6 mois.
• Un certificat médical attestant d’une contre-indication médicale à la vaccination peut être présenté à la place des 3 documents précités.En ce qui concerne précisément les injections de thérapie génique expérimentales appelées à tort
« vaccins », les pouvoirs publics et les médias subventionnés relaient depuis le début de l’anneée 2021 sans relâche les informations suivantes :• L’absence de traitement précoce avec un consensus scientifique.
• L’utilité du masque pour les adultes et les enfants.
• L’utilité du confinement.
• La toxicité des traitements précoces disponibles.
• L’efficacité des « vaccins », à 95 %.
• Les injections de thérapie génique seraient des « vaccins » au sens pasteurien du terme.
• Les 85 % des personnes hospitalisées seraient des personnes non vaccinées.
• Le « vaccin » protégerait des formes graves.
• Le « vaccin serait la seule solution » afin d’éradiquer le virus.
Me Virigine de Araujo Recchia. Plainte auprès de la Commission des requêtes de la Cour de Justice de la République. 25 novembre 2021, pp. 8-11.
Or, sur la base des données scientifiques, ces informations sont parfaitement fausses.
Le document aborde l’absence de consentement libre et éclairé remplacé par des éléments de désinformation propagée par le gouvernement :
En matière de santé, les citoyens français doivent pouvoir donner un consentement libre et éclairé avant tout acte médical.
De nombreux citoyens français et professionnels de santé se sont fiés aux informations délivrées par les membres du gouvernement relayées par les médias, ce qui a entraîné une asymétrie d’information causant un biais du consentement et une ignorance de la situation réelle et des données largement reconnues par la communauté scientifique internationale.
En matière de santé publique, la représentation nationale aurait dû pouvoir accéder à des informations loyales, transparentes, contradictoires, étayées par des faits et des analyses scientifiques, qui ne lui ont jamais été communiquées par le gouvernement.Des mesures que nous pourrions qualifier de « liberticides » ont été prises tout au long de la crise, sans que le débat n’ait pu avoir lieu au Parlement sur la base des données scientifiques réelles.
Plus grave encore, les membres du gouvernement mis en cause ont mis en place de vastes campagnes de publicité basées sur des mensonges afin d’inciter les citoyens français à faire partie d’un essai clinique avec des produits pharmaceutiques dont les effets secondaires et les risques de décès étaient connus dès le départ, avant même leur mise sur le marché.
Des experts se sont exprimés, des études scientifiques ont été publiées, pourtant à aucun moment les membres du gouvernement mis en cause n’ont alerté la population sur les risques encourus, sur le fait qu’il s’agit d’un essai clinique, sur les décès survenus dans d’autres pays et dans le nôtre.Bien au contraire, nous avons assisté à des mensonges répétés inlassablement dans les médias, sur les réseaux sociaux.
Nous avons par ailleurs constaté que les laboratoires pharmaceutiques ayant mis les thérapies géniques expérimentales sur le marché (condamnés à de multiples reprises pour corruption de chefs d’État, fausse publicité, atteinte au principe du consentement libre et éclairé, blessures et
homicides), les agences de conseil choisies par le gouvernement, les intervenants de plateaux faisant la propagande de ces produits, les médias grand public, les GAFAM, l’OMS, GAVI, des Fondations ont toutes des liens d’intérêt financiers.
Il s’agit de collusion et nous nous interrogeons concernant l’intervention des membres du gouvernement mis en cause, qui ont fait en sorte que les traitements précoces disponibles soient systématiquement disqualifiés au bénéfice de produits pharmaceutiques expérimentaux, au sujet desquels ils ne cessent de manipuler, tromper, discriminer, contraindre la population.
En effet, l’ensemble des actes commis depuis janvier 2020 tendent à démontrer entre autres, une réelle volonté d’atteinte à la vie, à l’intégrité physique et psychique d’un grand nombre de citoyens français et ce en exécution d’un plan concerté, sachant que les alertes multiples et
constantes d’experts mondiaux n’ont pas été entendues par les membres du gouvernement mis en cause.Me Virigine de Araujo Recchia. Plainte auprès de la Commission des requêtes de la Cour de Justice de la République. 25 novembre 2021, pp. 11-12.
Ce sont les faits pour lesquels l’Association BonSens.org et l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante (AIMSIB) ont l’honneur de demander à votre commission de bien vouloir engager des poursuites à l’égard de Monsieur Jean CASTEX, Monsieur Olivier VÉRAN, Monsieur Jean-Michel BLANQUER.
⚠️ Cette plainte au pénal des associations AIMSIB et Bon Sens, soulignant l’intention criminelle du gouvernement, va beaucoup plus loin que les plaintes administratives antérieures : sur un plan concret, il y a sans doute peu de chances d’aboutir devant la CJR, juridiction d’exception souvent critiquée pour son manque d’indépendance, mais le retentissement médiatique peut être important (a minima sur les réseaux sociaux) et l’attaque change ici de dimension juridique.
❌ Dénonçons chaque jour le crime d'Etat de la vaccination de masse. Relayons ce type d'action pour lui donner le retentissement médiatique qu'elle mérite.
La plainte de 135 pages, très étayée, est consultable en ligne et téléchargeable au format PDF sur la page suivante. Elle est également disponible ici.
A propos de Virginie de Araujo Recchia
Virginie DE ARAUJO RECCHIA, avocate et agent de l’industrie du spectacle français, a récemment participé à des productions cinématographiques, dont le court métrage « The Threat », objet d’une nomination par l’UNOFEX. Elle est devenue membre accrédité de l’UNOFEX pour l’industrie du spectacle et de l’art, selon nos normes d’excellence, en septembre 2020.
Passionnée par les arts, Virginie de Araujo-Recchia suit assidûment des cours d’histoire de l’art et de littérature. En parallèle, son goût pour les cultures étrangères et la justice l’a conduite à étudier le droit international.
Elle obtient une maîtrise en droit européen et international, puis un DESS de droit commercial international à l’Université Paris Descartes, ce qui l’amène à effectuer un stage en 2001 au Centre d’information des Nations Unies à Paris.
Virginie de Araujo-Recchia a ensuite rejoint le cabinet d’avocats international Clifford Chance en 2002, où elle a exercé en tant que juriste dans différents départements pour finalement intégrer le département fiscal.
Elle a également suivi des cours à l’Institut d’Etudes Judiciaires puis à l’Ecole de Formation Professionnelle des Barreaux de la Cour d’Appel de Paris, afin de préparer l’examen du Barreau de Paris.
Elle a obtenu son certificat d’aptitude à la profession d’avocat en 2005 et a prêté serment en 2006.
En 2006, elle a rejoint un autre cabinet d’avocats international, Ernst & Young (l’un des « Big Four »), pour exercer au sein de plusieurs départements spécialisés en droit fiscal.
A la recherche d’un cabinet d’avocats spécifiquement orienté vers le droit de l’art, elle a rejoint en 2009 un cabinet d’avocats parisien, le Cabinet P. B., spécialisé en droit fiscal et en droit de la propriété intellectuelle.
Elle s’occupe alors d’artistes, de galeries d’art et de sportifs.
En 2014, Virginie de Araujo-Recchia fonde son propre cabinet d’avocats spécialisé en droit fiscal et en droit de la propriété intellectuelle et devient membre de l’American Bar Association.
Sa clientèle est internationale et son activité est délibérément orientée vers le droit des arts et du spectacle.
Elle conseille des collectionneurs d’art, des artistes, des galeries, des auteurs, des scénaristes, des techniciens du cinéma, des producteurs, des distributeurs et autres structures dans le domaine des arts en général.
En 2019, Virginie de Araujo-Recchia est également devenue agent, afin de promouvoir les artistes et les auteurs et elle a rejoint l’Institut Français Art & Droit en tant que membre.
En tant qu’avocate spécialisée dans le domaine des arts et du spectacle, Virginie de Araujo-Recchia est devenue membre de l’Union of Excellence (New York – Monaco – Paris) en 2020.
Source : Virginie De Araujo Recchia | UNOFEX Member | Union Of Excellence.