Actions,  Déclarations,  Théologie

La déclaration de Francfort sur les libertés chrétiennes et civiques

Vigilance Pandémie : Nous présentons ci-dessous une déclaration courageuse et claire provenant d’une coalition de responsables protestants (évangéliques) et signés par des pasteurs et théologiens de premier plan. Cette déclaration marque un contraste saisissant avec l’appel à se faire vacciner « pour l’amour de Dieu » de la Commission d’éthique protestante évangélique, ou, du côté catholique, avec le soutien sans discernement et agressif du pape à l’idéologie de la vaccination intégrale amenant même le Vatican à faire frapper des pièces de 20 € à la gloire de la vaccination des enfants. Ou encore avec le silence quasi total des églises, signe d’un nihilisme effrayant.

Mais si la déclaration de Bethléem émanant de responsables catholiques aborde de manière bienvenue et cruciale les aspects médicaux, éthiques et moraux des vaccins à ARNm, en faisant bien ressortir le lien entre les vaccins et l’avortement, la déclaration de Francfort s’en distingue avant tout par une motivation et une orientation fondamentalement théologiques. Elle commence, en effet, par affirmer sans équivoque la souveraineté absolue de Dieu en lequel les libertés civiles et le droit sont fondés, et elle se conclut par un appel à la repentance adressé aux autorités totalitaires et par l’annonce des jugements de Dieu si elles continuent dans cette voie. L’appel à la résistance chrétienne est remarquable. En ce sens, cette déclaration nous ramène aux sources historiques de la liberté et de la résistance politiques. En effet, des universitaires tels que Rodney William Stark (8 juillet 1934 – 21 juillet 2022), qui était un sociologue américain des religions, longtemps professeur de sociologie et de religion comparée à l’université de Washington, puis professeur émérite de sciences sociales à l’université Baylor, et codirecteur de l’Institute for Studies of Religion de cette université, ont largement fait valoir que la civilisation occidentale est redevable au christianisme pour ses libertés civiles, le concept de dignité humaine, les droits de l’homme, le savoir et la science. De son côté, le théologien réformé américain Douglas Kelly, dans La doctrine biblique de la création et le dessein intelligent expose la racine des totalitarismes modernes : « Il y a une différence abyssale entre les conceptions humaniste et biblique de l’homme ; pour les humanistes, l’homme est le fruit de l’évolution ; il n’y a pas de Dieu ; la Révélation biblique nous dit au contraire que l’homme a été créé à l’image de Dieu ! Le point de vue humaniste a permis aux régimes totalitaires marxistes de se débarrasser commodément de millions de personnes qui, n’ayant pas été créées à l’image de Dieu, n’ont aucune dignité, aucun droit à l’existence si ce n’est par la volonté discrétionnaire de l’État. Cette situation a été explorée en détail par le baron autrichien Eric Von Kuehnelt-Leddihn qui est sans doute l’un des plus grands spécialistes de notre siècle en matière de liberté et de totalitarisme. Son magistral Leftism Revisited: From de Sade and Marx to Hitler and Pol Pot montre que, sans la certitude d’une humanité à l’image du Dieu transcendant, le droit divin de l’être humain à la dignité et à la liberté disparaît. « Pour le vrai matérialiste, il n’y a pas de valeur fondamentale, il n’y a qu’une différence « évolutive », une différence de degré, entre un homme et une puce, ou un insecte nuisible ». »

Une telle analyse prend tout son sens au regard de la présente crise sanitaire actuelle qui a été instrumentalisée par les gouvernements pour imposer leur programme transhumaniste de Grande Réinitialisation, dont la composante religieuse, utopique, liberticide et totalitaire est manifeste. Il est dès lors rafraîchissant de lire une déclaration qui identifie la cause même de la déchéance de la civilisation occidentale : l’athéisme transcendantal endémique s’érigeant en Religion suprême. Nous sommes donc particulièrement enchantés de présenter la déclaration de Francfort, précédée d’un message de ses initiateurs.


Frères et sœurs bien-aimés, je voudrais vous signaler qu’en réponse aux politiques menées depuis bientôt deux ans et demi, nous avons publié la Déclaration de Francfort sur les libertés chrétiennes et civiles. Cette déclaration a été signée entre autres par John MacArthur, Voddie Baucham, James White, James Coates, Wolfgang Nestvogel, Benedikt Peters, Wolfgang Bühne, Lothar Gassmann et de nombreux autres frères des États-Unis, du Canada, d’Europe, d’Afrique et d’Australie. Vous trouverez le texte de la déclaration (allemand/anglais/espagnol) en annexe ainsi que sur le site Internet suivant : https://frankfurtdeclaration.com.

Si vous souhaitez soutenir la déclaration, vous pouvez la signer sur le site Internet et la transmettre à d’autres personnes intéressées. Merci beaucoup !

P.S. : La page d’accueil contenant la déclaration fait actuellement l’objet d’attaques massives de pirates informatiques, de sorte qu’il est possible qu’elle ne puisse pas être ouverte. Veuillez donc la diffuser par Telegram…


L A

D E C L A R A T I O N D E    F R A N C F O R T

S U R L E S   L I B E R T E S

C H R E T I E N N E S   E T   C I V I Q U E S

Au cours de l’histoire de l’humanité, il devient parfois nécessaire, pour les personnes de bonne foi, de s’élever contre les abus de pouvoir. Cela ne doit être fait qu’après une réflexion sérieuse accompagnée de prières, ainsi que dans une attitude d’humilité et de respect pour les autorités qui ont été établies par Dieu. Une telle protestation doit être exprimée dans l’espoir que les autorités civiles, dont on constate qu’elles érodent les droits et les libertés, puissent néanmoins s’acquitter de leur responsabilité de gardiennes de ces droits.

Quelques pasteurs soucieux, issus de différents continents, et préoccupés d’une part par l’émergence d’un totalitarisme de l’État sur tous les domaines de la société, en particulier sur l’Église, et d’autre part par le mépris des droits donnés par Dieu et garantis par les constitutions lors de la crise de Covid, ont fait cause commune pour rédiger une déclaration solennelle, qui cherche à répondre à ces menaces avec les vérités intemporelles de la Parole de Dieu. Les affirmations et les démentis suivants, dérivés des principes bibliques, sont soumis à la considération de tous les chrétiens et des autorités compétentes, dans l’espoir que ce document apportera lumière et force pour un témoignage fidèle à Jésus-Christ, à notre époque.

2 Samuel 12:1-14 ; Actes 4:24-29 ; Romains 13:1-7 ; 1 Pierre 2:13-14

Article 1 : Dieu Créateur, Souverain Législateur et Juge

Nous affirmons que le Dieu trinitaire – Père, Fils et Saint-Esprit – est le Créateur personnel de toutes choses visibles et invisibles, le bienheureux et unique Souverain, et le Législateur ultime de toute conduite humaine. Nous croyons qu’il a révélé, dans les Saintes Écritures et dans la conscience des hommes, une moralité immuable enracinée dans son propre caractère définissant la nature de la bonne et de la mauvaise conduites pour tous les hommes en tout temps. En tant que Législateur, Dieu a fixé un jour où il jugera le monde, dans la justice, par un homme, le Seigneur Jésus-Christ ressuscité. À lui l’honneur et la souveraineté éternelle. Amen.

Nous nions donc que la matière impersonnelle soit la réalité finale derrière toutes choses et la croyance selon laquelle la conduite humaine est simplement un phénomène biologique ou sociologique. Puisque Dieu est le Législateur et le Juge ultime, nous nions le droit de toute autorité terrestre à définir la moralité et à exiger l’obéissance inconditionnelle de leurs citoyens lorsqu’elles sont contraires à la loi de Dieu. Nous avons également de bonnes raisons de remettre en question les déclarations éthiques et la vision morale de l’État moderne, puisque son humanisme séculier et son éthique relativiste n’ont aucune base transcendante pour statuer sur le comportement humain ou la moralité.

Genèse 1:1 ; 2:15-17 ; Exode 1:17 ; 20:1-17 ; Josué 2:3-6 ; Psaume 9:8-9 ; Daniel 6:11 ; Michée 6:8 ; Matthieu 28:19 ; Actes 4:19 ; 5:29 ; 9:25 ; 12:17 ; 17:31 ; Romains 1:32 ; 2:14-16 ; 11:36 ; Colossiens 1:16 ; 1 Timothée 1:17 ; 6:15-16 ; 2 Timothée 3:16-17 ; Hébreux 11:3 ; Jacques 4:12 ; Apocalypse 4:11

Article 2 : Dieu comme source de la vérité et le rôle de la science

Nous affirmons que Dieu, le Créateur, est la Vérité et que, par conséquent, la vérité objective existe et peut découler de Sa révélation dans l’Écriture et dans la nature, ainsi que de tout fait qui peut être vérifié de manière fiable. Nous approuvons la science qui cherche à découvrir, par la méthode scientifique et le débat, les vérités que Dieu a intégrées dans le monde naturel. Mais nous affirmons également les limites de la science, notamment son incapacité à s’exprimer avec autorité sur des domaines qui ne relèvent pas de sa compétence, et sa propension à se tromper lorsque les données font défaut. Puisque l’homme est tombé dans le péché, nous affirmons en outre que toutes ses pensées, déductions et institutions contiennent des degrés de corruption, qui tendent à déformer, manipuler ou supprimer la vérité.

Nous nions donc que les gouvernements humains soient moralement et idéologiquement neutres, qu’ils sachent ou recherchent toujours ce qui est bon pour leurs citoyens, et que l’on doive faire confiance inconditionnellement à leur discours.  Nous rejetons toute tromperie, tout discours alarmiste, toute propagande et tout endoctrinement de la part de l’État et des médias, ainsi que tout compte rendu sur les problèmes mondiaux critiques qui est prématuré, sélectif ou manipulateur sur le plan idéologique. Nous rejetons également les affirmations de tout prétendu « consensus scientifique » qui abandonne la méthode scientifique et ignore, ou supprime, les inquiétudes des voix dissidentes. Nous rejetons également le scientisme, car même lorsque les résultats scientifiques décrivent correctement un phénomène particulier, ils ne peuvent pas aborder de manière adéquate et normative des réalités sociales complexes, ni prescrire des politiques qui ont des implications éthiques.

Genèse 6:5 ; Psaumes 19:2-9 ; 31:7 ; 119:160 ; Ecclésiaste 7:29 ; Jean 3:33 ; 14:6 ; 16:13 ; 17:17 ; Romains 1:18-20 ; 2 Corinthiens 4:2 ; Éphésiens 2:3 ; 1 Timothée 3:15 ; 2 Timothée 3:16-17 ; Jacques 2:9 ; Apocalypse 13:11-15

Article 3 : L’homme à l’image de Dieu

Nous affirmons que chaque être humain est créé à l’image et à la ressemblance de Dieu (imago Dei) et qu’il possède donc une dignité et une valeur intrinsèques, ainsi que certains droits et libertés inaliénables, nécessaires à une vie humaine correcte. Ces droits et libertés comprennent le droit de pratiquer un culte collectif, d’entretenir des relations personnelles et présentielles, d’exercer une profession, de participer aux événements importants de la vie humaine, comme le droit de réconforter les malades et les mourants (en particulier ceux de sa propre famille), d’assister à des funérailles, d’assister à la naissance de son enfant, de se marier lors d’une réunion publique, de se réunir pour manger avec d’autres personnes, et d’exercer un travail honorable. Nous affirmons également que les gouvernements devraient reconnaître que chaque individu est responsable de son propre bien-être corporel et devraient protéger le droit à l’autodétermination médicale personnelle.

Nous refusons donc les actions déshumanisantes d’une autorité gouvernementale, ou de toute autre institution, visant à soumettre toute personne à une manipulation psychologique et à une intimidation. Cela inclut le fait d’encourager la suspicion envers les autres, en les présentant comme des menaces potentielles pour le bien commun et individuel. De même, nous nous opposons à ce que l’État prenne des décisions médicales pour ses citoyens, ainsi qu’à la criminalisation, la ségrégation forcée, le licenciement professionnel obligatoire et toute autre privation des droits des personnes qui choisissent de ne pas se conformer aux politiques médicales de leur gouvernement. Nous rejetons donc toute forme de coercition médicale et toute restriction des libertés individuelles des personnes qui ne sont pas infectées par une maladie contagieuse et potentiellement mortelle ; cela inclut la mise en place de pass vaccinal, la distanciation sociale ou le port d’un masque comme condition générale d’accès aux lieux publics, de participation au travail ou à la vie sociale. Nous nous opposons également aux tendances mondiales en faveur du transhumanisme, de la surveillance et du contrôle technologiques des êtres humains, car elles sapent la capacité d’agir de l’être humain, qui est si fondamentale pour notre vocation divine à vivre en tant que porteurs de l’image de Dieu.

Genèse 1:26-28 ; 2:24 ; 9:6 ; Exode 20:9 ; Daniel 3:1-30 ; Matthieu 25:31-40 ; 1 Corinthiens 6:12-20 ; 1 Thessaloniciens 4:11-12 ; Jacques 3:9 ; 5:14-15 ; Apocalypse 13:16-17

Article 4 : Les mandats donnés par Dieu et les limites de l’autorité

Nous affirmons que toutes les autorités terrestres tirent leur autorité (« le droit d’être obéi ») de Dieu, qui est au-dessus de tout et à qui tous doivent rendre des comptes. Nous croyons qu’Il a établi leurs différentes sphères de responsabilité (c’est-à-dire leurs mandats) et, ce faisant, a fixé les limites de leur autorité. Dieu a délégué l’autorité aux gouvernements civils dans le but de récompenser le bien et de punir le mal, et de protéger les droits et libertés accordés par Dieu à tous les peuples. Il a également délégué son autorité à l’Église dans ses diverses expressions, en particulier pour faire des disciples de toutes les nations en prêchant la Parole de Dieu, et pour établir et administrer des communautés d’individus rachetés par la foi, vivant sous l’autorité du Christ. En outre, il a délégué l’autorité à la famille en tant qu’unité de base de la société, dans le but de favoriser la cohésion sociale et la fidélité sexuelle, et de protéger, de pourvoir aux besoins des enfants, de les élever et de les éduquer dans la voie du Seigneur. Nous affirmons notre droit, en tant que citoyens, parents et chrétiens, de déterminer librement nos croyances et nos comportements sur la base de ces vérités.

Nous refusons donc les idéologies totalitaires des gouvernements qui ne reconnaissent pas les limites de leur autorité et usurpent l’autorité déléguée par Dieu à l’Église ou à la famille. En particulier, nous rejetons la tendance des gouvernements à centraliser les croyances et les comportements de leurs citoyens, en créant une société autoritaire dans laquelle l’État est absolu.  Un tel totalitarisme et étatisme est construit sur des croyances qui ont fondamentalement redéfini le bien et le mal et la nature des êtres humains et sont contraires à l’ordre divin des choses. Ces croyances ont pour effet d’asservir les libertés individuelles et religieuses, et d’engendrer une intolérance idéologique qui cherche à réduire au silence, à annuler et à rééduquer ceux qui ne sont pas d’accord. Nous nous opposons également à l’idée que les enfants sont la propriété de l’État, et donc des sujets à endoctriner, ainsi qu’à tout encouragement ou toute manipulation des enfants visant à ce qu’ils subissent des procédures médicales sans le consentement de leurs parents.

Deutéronome 6:6-7 ; Matthieu 22:20-21 ; 28:18-19 ; Jean 17:14 ; Romains 12:1-2 ; 13:1-7 ; Éphésiens 5:21 – 6:4 ; Philippiens 2:14-16 ; Colossiens 3:18-20 ; 1 Timothée 2:1-2 ; Hébreux 13:17 ; 1 Pierre 2:13-14 ; 4:15 ; Apocalypse 13:7-8

Article 5 : Le Christ comme chef de l’Église

Nous affirmons que l’Église du Seigneur Jésus-Christ lui appartient au prix de sa vie et qu’elle est responsable devant lui seul pour tout ce qui concerne la foi et sa pratique. Nous croyons que le commandement de Christ, de donner à César (c’est-à-dire à l’autorité civile) ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu, établit l’indépendance fonctionnelle de l’Église par rapport à l’État. Nous croyons que le Christ, qui est le Seigneur au-dessus de tous, appelle tous les hommes, sans distinction d’aucune sorte, à se rassembler librement et régulièrement en son nom, dans des assemblées locales, pour le chercher et le servir dans la vérité et l’amour. Nous affirmons en outre que les activités de l’église locale, dans la mesure où elles constituent des actes essentiels du culte, doivent être régies par Christ seul.

Nous nions donc qu’une autre autorité ait compétence sur l’Église pour réglementer ses affaires en matière de foi et de pratique, ou pour reléguer ses activités à un statut non essentiel.  Nous répudions donc toutes les actions de l’État qui imposent des mesures coercitives sur l’Église et qui criminalisent, inhibent ou réglementent ses activités entreprises comme des actes de service envers son Seigneur. Enfin, nous résistons à la tendance des plates-formes numériques dans le culte et le ministère chrétiens à devenir des substituts du ministère en présentiel qui est essentiel à notre foi.

Matthieu 18:20 ; 22:21 ; Actes 5:28-29 ; 10:36 ; 20:28 ; Romains 13:6-7 ; 1 Corinthiens 12:12-13 ; 2 Corinthiens 4:5 ; 5:10 ; Éphésiens 1:20b-23 ; 3:20 ; 4:15-16 ; Colossiens 1:27 ; 1 Timothée 6:3-5 ; Hébreux 10:24-25 ; Apocalypse 5:9

Un appel au respect, à la repentance et à la résistance

Nous félicitons et exprimons notre gratitude aux autorités civiles, qui respectent la nature essentielle de ces croyances et pratiques chrétiennes et qui ont une haute considération pour les libertés individuelles et religieuses. Aux autorités civiles qui n’ont pas respecté ces libertés, nous vous demandons de vous repentir, et de redevenir les protecteurs de la liberté et des droits que Dieu a donnés à tous les hommes, de peur qu’en abusant de l’autorité que Dieu vous a donnée, vous ne deveniez passibles de la colère de Dieu. À ceux qui veulent nous obliger à obéir à l’État séculier plutôt qu’à Dieu, nous disons respectueusement, mais fermement (comme les trois Hébreux qui refusèrent d’adorer la statue d’or de Nabuchodonosor) :

Daniel 3:16-18.

A nos frères et sœurs en Christ dans le monde entier, nous disons :

Josué 1:9.

Il semble que le monde pourrait bien entrer dans une période d’épreuve, non seulement pour l’Église, mais pour tous ceux qui croient en la liberté et qui s’opposent à la tyrannie. Soyons solidaires de ceux qui sont durement éprouvés, arrêtés, ou isolés de force, pour avoir choisi de faire ce qui est juste. Soyons solidaires de ceux dont les églises sont fermées de force ou qui sont exilés de leurs assemblées. Aidons et soutenons concrètement ceux qui sont condamnés à une amende, ou qui doivent renoncer à leur emploi pour l’amour de Christ. Et nous demandons à nos frères et sœurs, qui ont vécu toute leur vie sous la persécution, de prier pour nous, afin que Dieu nous donne la grâce de bénir ceux qui nous persécutent et de prier pour eux ; que Dieu nous donne le courage de rester fermes dans notre foi en tant que Ses témoins ; et que Lui, qui est le Seigneur au-dessus de tout, nous donne la force de rester fidèles et de persévérer jusqu’à la fin.  Amen.

2 Samuel 12:1-14 ; Daniel 5:22-23 ; Matthieu 24:12-13 ; 1 Corinthiens 16:13-14 ; Éphésiens 5:10-13

* * *

Fournir une information scientifique objective et éclairée sur la crise sanitaire actuelle, sensibiliser aux enjeux sociétaux et politiques majeurs qui se profilent à l’horizon, alerter le public, rassembler les bonnes volontés et préparer l’avenir.