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Des documents confidentiels accablants montrent comment une politique vaccinale peut être définie au mépris de la vérité scientifique et de l’éthique la plus élémentaire.

Vigilance Pandémie : L’article ci-dessous, s’il date de 2013 et concerne les vaccins classiques et non les vaccins à ARNm, dans le contexte actuel de « crise sanitaire » Covid-19, jette une lumière vive et crue, particulièrement saisissante, sur les pratiques courantes de fraude, de mensonges, de dissimulation, de manipulation des gouvernements gagnés à l’idéologie vaccinaliste sauvage en connivence avec l’industrie pharmaceutique dont l’influence est tentaculaire. Peter Gøtzsche a consacré un ouvrage explosif complet sur ce phénomène de crime organisé – Remèdes mortels et crime organisé. Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé publié aux éditions Presses de l’université Laval (26 mars 2015) – phénomène qui est d’ailleurs régulièrement critiqué dans des articles publiés dans des revues scientifiques prestigieuses et des ouvrages universitaires, comme par exemple : Spinney, Laura (2020) Drugs, money and misleading evidence. Nature 583, 26-28 (2020). Cet article détruit donc le mythe des vaccins comme étant un progrès scientifique et met les choses en perspective en ce qui concerne les thérapies géniques actuelles et la folie de l’obligation vaccinale universelle.

Par Cyrinne Ben Mamou

Spécialisée dans l’étude des vaccins et de leurs effets secondaires, la chercheuse canadienne Lucija Tomljenovic a obtenu les transcriptions de réunions confidentielles du comité sur la vaccination et l’immunisation du ministère de la santé au Royaume-Uni. Ces documents accablants montrent comment une politique vaccinale peut être définie au mépris de la vérité scientifique et de l’éthique la plus élémentaire.

Cela ne fera pas les manchettes des grands média, mais c’est pourtant une information capitale : des documents secrets du Ministère de la Santé britannique, récemment déclassifiés, démontrent les pratiques systématiques de fraude, de mensonge, de dissimulation et d’incompétence scientifique du comité gouvernemental chargé de réglementer les pratiques vaccinales ces trente dernières années. Cette information est d’autant plus choquante que ce comité gouvernemental est censé veiller à la santé des citoyens. L’ensemble de ses pratiques est pourtant axé sur une propagande vaccinale, basées sur la peur de la maladie davantage que sur les preuves scientifiques, au mépris de la santé et de la sécurité des citoyens, adultes comme enfants.

Une scientifique de l’Université de Colombie Britannique au Canada, Lucija Tomljenovic, s’est spécialisée dans l’étude des vaccins, en particulier leurs effets neurotoxiques et immunotoxiques. Le présent article est basé sur ses travaux d’investigation. Tomljenovic a obtenu les transcriptions de réunions confidentielles grâce à la loi sur la liberté d’accès à l’information (Freedom of Information Act). Elle a passé au peigne fin les minutes des réunions du comité sur la vaccination et l’immunisation du ministère de la santé du Royaume-Uni (Joint Committee on Vaccination and Immunisation [JCVI]) de 1986 à 2010. Ses conclusions sont on ne peut plus claires (1) :

  • Au lieu de prendre des dispositions appropriées lorsque des problèmes de sécurité de certains vaccins étaient identifiés par ses propres enquêteurs, le comité s’abstenait d’agir ou éliminait des rapports publics les données défavorables aux vaccins. Par ailleurs, il déployait de gros efforts pour rassurer le public et les autorités sanitaires à propos des vaccins concernés ;
  • Le comité gouvernemental a significativement restreint les contre-indications vaccinales afin d’augmenter les taux de vaccination en dépit des failles dans la sécurité sanitaire ;
  • Il a même poussé le zèle jusqu’à demander aux fabricants des vaccins de modifier leurs notices lorsqu’elles contredisaient les recommandations du JCVI ;
  • Il s’est continuellement appuyé sur des études à la méthodologie douteuse, écartant les études indépendantes afin de promouvoir les politiques vaccinales ;
  • Il a systématiquement minimisé les problèmes de sécurité des vaccins et en a exagérément amplifié les bénéfices ;
  • Il a élaboré et promu des stratégies pour introduire des vaccins à l’efficacité douteuse dans les calendriers pédiatriques de routine, en supposant que les autorisations de mise sur le marché seraient accordées ultérieurement ;
  • Il a activement découragé les recherches sur la sécurité des vaccins ;
  • Il a délibérément profité de la confiance des parents et de l’ignorance en matière vaccinale pour promouvoir des programmes de vaccination sans fondement scientifique qui pouvaient exposer certains enfants à des troubles neurologiques sérieux et persistants.

En agissant de la sorte pendant les 30 dernières années, les autorités sanitaires gouvernementales britanniques violent non seulement leur propre code d’éthique, mais contreviennent également aux directives internationales en éthique médicale, notamment la déclaration d’Helsinki.
La fonction des comités gouvernementaux chargés d’élaborer la réglementation en matière de santé est de s’assurer que les médicaments, traitements et vaccins ont été adéquatement évalués sur le plan scientifique. La communication en toute transparence des données objectives relatives à l’efficacité et aux risques potentiels des vaccins fait également partie du mandat des autorités sanitaires. Dans son enquête, Tomljenovic révèle que les efforts du comité sont concentrés sur la manipulation du public et des intervenants en santé dans le but d’obtenir une adhésion maximale au programme vaccinal.

Collusion et conflits d’intérêt

De nombreux membres du comité avaient des liens commerciaux avec les compagnies pharmaceutiques et le JCVI coopérait fréquemment avec les fabricants des vaccins pour élaborer des stratégies visant à dynamiser la consommation de vaccins. Une de ces stratégies était très simple : restreindre les contre-indications, réécrire le mémorandum et demander aux compagnies pharmaceutiques de modifier la notice du vaccin afin d’éviter les incohérences et les poursuites judiciaires.

Déni systématique des effets secondaires des vaccins

Le rapport de Tomljenovic montre que le JCVI a sciemment ignoré des études qui mentionnaient des effets secondaires graves, même s’il s’agissait de symptômes neurologiques chez de jeunes enfants. Par exemple, à la suite d’une discussion sur une proposition de surveillance de troubles neurologiques sévères en lien avec le vaccin de la coqueluche chez les jeunes enfants, le comité a considéré qu’il serait déraisonnable de demander aux pédiatres d’en faire état pour une période de six ans. Aussi, des cas de convulsions fébriles de plus de dix minutes, répétées sur une période de 24 h et pouvant entraîner de sérieux handicaps dans 10 % des cas, n’ont pas été considérés comme problématiques pour les membres du comité. Ils ont préféré retirer la mention « convulsion fébrile » de la liste des effets secondaires sous prétexte que le public n’en comprendrait pas la signification.

Pour des cas encore plus sérieux, tels que des morts subites de nourrissons à la suite de vaccinations, les rapports font état de causes de décès inexpliquées. Cependant, aucun examen pathologique sérieux n’a jamais été réalisé pour vérifier si la cause du décès pouvait être liée au vaccin. À cet égard, l’aveu de la Food and Drug Administration (FDA), l’organisme fédéral qui a le mandat d’autoriser la commercialisation des médicaments aux États-Unis, est éloquent :

« Historiquement, l’évaluation de la sécurité des vaccins préventifs n’a souvent pas inclus d’études de toxicité sur des modèles animaux, parce que le vaccin n’est pas considéré comme toxique en soi. »

Food and Drug Administration.

L’innocuité prétendue des vaccins est donc bien fondée sur une croyance et absolument pas sur des faits scientifiques. Le déni systématique de toute donnée objective qui pourrait entacher la réputation des vaccins est d’autant plus grave que le comité s’est engagé dans une propagande active visant à augmenter la consommation de vaccins, voire à la rendre obligatoire dans certains cas.

Objectif prioritaire : augmenter les taux de vaccination

En matière de politiques vaccinales, la logique du comité est on ne peut plus perverse. En voici un exemple. En 1974, le comité s’accordait à dire qu’une vaccination de routine contre les oreillons était inutile parce que les complications de cette maladie infantile étaient rares. Dans les années 1980, le JCVI était informé de la fragilité de l’immunité vaccinale comparée à l’immunité naturelle acquise par une infection aux oreillons. Ainsi, il notait que le risque de contracter les oreillons était multiplié par 10 à partir de trois ans après la seconde dose du vaccin Rougeole-Oreillons-Rubéole. Le comité savait également que la vaccination avait déplacé le pic d’incidence des oreillons vers des tranches d’âges plus avancés. De sérieuses complications en découlaient à cause de séquelles plus graves des oreillons chez les adolescents et les adultes, en particulier la stérilité masculine. Malgré tout, le comité concluait en 1990 que les avantages de la vaccination dépassaient ses inconvénients. Ainsi, selon les recommandations du comité gouvernemental, il est préférable de vacciner les jeunes enfants pour leur éviter une infection bénigne sans conséquences et de les exposer ainsi à de sérieux risques de stérilité à l’âge adulte !

La même « logique » est appliquée pour la rubéole. Cette infection est sans incidence sur la santé des jeunes enfants, mais si elle est contractée par une femme enceinte, la rubéole peut entraîner des malformations congénitales du bébé. Pourtant, la vaccination des enfants figure au calendrier vaccinal. En autorisant et en recommandant ces vaccinations, les instances sanitaires gouvernementales sont responsables d’une absence d’immunité chez les adultes qui risquent de sérieuses complications en contractant trop tard une infection qu’ils auraient dû attraper pendant l’enfance et qui les aurait protégés à vie.

Violation du droit de consentement éclairé des personnes vaccinées

La loi prévoit que l’administration d’un vaccin ne doit se faire qu’avec le consentement éclairé du receveur. Cela suppose que ce dernier reçoive un exposé objectif, neutre, clair et complet des avantages et des risques liés au vaccin concerné, ainsi que des alternatives existantes. Le JCVI déplorait régulièrement que certains professionnels de la santé soient trop observants vis-à-vis des contre-indications des vaccins et découragent certains parents de vacciner leur enfant. Le comité a donc décidé d’améliorer la propagande vaccinale dans les cliniques et de former les intervenants en santé à un mode de communication qui vise à maximiser les taux de vaccination. De gros efforts ont été déployés pour déterminer le meilleur moment d’informer les parents des risques des vaccins, sans les dissuader de vacciner leurs enfants. Le comité a jugé qu’il serait plus sage d’informer les parents immédiatement avant la vaccination, afin qu’ils aient le sentiment d’avoir été prévenus à l’avance, sans toutefois qu’ils aient trop de temps pour y penser. Il fut recommandé de procéder rapidement, de ne pas s’attarder sur le contenu pour ne pas susciter d’inquiétude. L’excès ou l’absence de pression exercée sur les parents d’enfants à vacciner pouvant faire renoncer au vaccin, les professionnels de la santé furent encouragés à ajuster leur stratégie de communication en fonction de l’attitude des parents. Par ailleurs, le JCVI a jugé préférable de ne pas communiquer des statistiques sur les risques attribuables aux vaccins, car le fait de donner un facteur de risque, quel qu’il soit, serait un aveu de l’existence d’un risque prouvé scientifiquement. Le comité a donc décidé de ne communiquer des données chiffrées au public que pour insister sur les bénéfices de la vaccination et pas sur les effets indésirables. Au fil des années, les autorités sanitaires ont affiné leur propagande. Insuffler la peur de la maladie, exagérer les avantages des vaccins et minimiser les risques d’effets indésirables : trois ingrédients dont le savant dosage permet d’influencer le patient à accepter la vaccination. Nous sommes bien loin du consentement libre et éclairé !

Plus le mensonge est gros, plus les gens y croient.

Une étude sur l’état d’esprit du personnel médical et des parents révèle que la majorité ont une grande confiance dans les autorités médicales gouvernementales. Loin de soupçonner les conflits d’intérêt, la collusion, le déni systématique des accidents vaccinaux et de leur dangerosité à long terme, les personnes interrogées sont convaincues pour la plupart que les politiques vaccinales reposent sur des études scientifiques solides et indépendantes d’intérêts commerciaux ou politiques. La croyance qui revient souvent est « qu’ils ne vont pas injecter à des enfants quelque chose qui n’est pas bon pour eux ».

À quand la fin de la propagande vaccinale mondiale ?

Pour Lucija Tomljenovic, le Ministère de la Santé Britannique et le comité gouvernemental sur la vaccination et l’immunisation ont failli à leur devoir de transparence et d’intégrité en matière de sécurité sanitaire, mettant en danger la santé des citoyens, y compris des enfants. Dans son rapport de 45 pages, elle présente une analyse détaillée des décisions des autorités sanitaires qui permet de comprendre la position officielle du gouvernement du Royaume-Uni à l’égard des vaccins, qui est un déni systématique des dégâts vaccinaux. L’ensemble des recherches de Tomljenovic démontrent que cette attitude n’est pas confinée au Royaume-Uni. En effet, la scientifique canadienne, en collaboration avec Christopher Shaw, également chercheur et professeur au programme de Médecine Expérimentale et de Neurosciences à l’Université Canadienne de Colombie Britannique, a démontré que les autorités sanitaires européennes, canadiennes, états-uniennes et australiennes emploient les mêmes procédés en faveur de la propagande vaccinale. Ceci n’est évidemment pas un scoop en soi étant donné que de nombreux médecins et journalistes indépendants dénoncent les ravages de la vaccination depuis des décennies. Ce qui est nouveau, c’est qu’un nombre croissant d’études est publié, preuves à l’appui, dans des revues scientifiques à comités de lecture indépendants.

Gardasil et Cervarix, les vaccins les plus chers et les plus dangereux de l’histoire

Tomljenovic et Shaw ont mené des recherches indépendantes sur le Gardasil et le Cervarix, deux vaccins dirigés contre certaines souches de virus du papillome humain (VPH), commercialisés respectivement par Merck et par GSK. Le coût d’une vaccination complète (trois doses) varie de 320 à 450 euros. Ce sont les vaccins les plus chers de toute l’histoire de la vaccination. La qualité et l’efficacité plus que douteuses de ces vaccins ont suscité dès leur lancement beaucoup de réticences, même chez les vaccinalistes convaincus. Les fabricants de ces vaccins prétendent qu’ils protègent du cancer du col de l’utérus. C’est ce que prétendent également les agences de santé gouvernementales, alors que les études cliniques n’ont démontré aucun effet préventif du cancer. Ces vaccins ont fait l’objet de campagnes de publicité mensongères d’une agressivité sans précédent. Cependant, le pire réside dans le taux incroyablement élevé d’effets secondaires graves, voire mortels. Rien qu’aux États-Unis, 78 décès ont été comptabilisés entre 2006 et 2012 dans le registre officiel d’effets secondaires (2). Il y a de quoi s’inquiéter lorsqu’on sait que seuls 1 à 10 % des effets secondaires sont répertoriés (4). Comparés à tous les autres vaccins confondus, le Gardasil et le Cervarix sont responsables à eux seuls de plus de 60 % des effets secondaires graves, de 63 % des décès et de 82 % des handicaps permanents chez les jeunes femmes âgées de 16 à 29 ans aux États-Unis (voire graphique). Le taux d’effets secondaires pour les vaccins du VPH devrait à lui seul faire retirer le vaccin du marché. Comment se fait-il que les autorités sanitaires ne réagissent pas ?
Il faut savoir que plus d’une centaine de souches de VPH ont été identifiées à ce jour. Ce sont des virus très répandus et inoffensifs. Il n’existe actuellement aucune preuve que le VPH cause le cancer du col de l’utérus. De même qu’il n’existe aucune preuve que le vaccin anti-VPH prévienne le cancer. Par contre, d’après les études que Merck a communiquées à la FDA, le Gardasil augmente les risques et la gravité du cancer du col de l’utérus chez les jeunes filles déjà infectées par certaines souches de VPH (4). Le fabricant du vaccin communique des données démontrant que le vaccin exacerbe des lésions cancéreuses qu’il est supposé prévenir. À nouveau, comment se fait-il que la FDA ne retire pas le Gardasil du marché ? Ou encore, faut-il se demander, comme le font Tomljenovic et Shaw, « À qui profite le crime ? (5) »

Quand les compagnies pharmaceutiques se payent des lois d’obligation vaccinale.

En 2005, avant même que l’autorisation de mise sur le marché ne soit accordée par la FDA, Merck déployait 1500 représentants pour faire la promotion du Gardasil aux États-Unis. La compagnie, ne regardant pas à la dépense, a financé des campagnes électorales et des groupes aux intérêts liés à la santé des femmes. Grâce à un lobbying sans précédent, la compagnie Merck est parvenue en quelques mois à obtenir dans 23 états une promesse de législation rendant le Gardasil obligatoire chez les jeunes filles (7). Stimulé par un lobbying efficace et un « soutien financier » de la part de Merck, le gouverneur du Texas Rick Perry, circonvenant la législature, a signé un ordre exécutif qui rendait le vaccin du HPV obligatoire pour les filles de 11-12 ans en février 2007. Le scandale ayant finalement éclaté, l’ordre a été invalidé et Merck a déclaré renoncer au lobbying auprès des états pour une vaccination obligatoire. Reste à souhaiter que les compagnies pharmaceutiques n’auront pas recours à des tactiques encore plus sournoises à l’avenir.

Peut-on espérer que la vérité sur les vaccins soit bientôt publiquement reconnue ? Étant donné l’énormité des enjeux politiques et commerciaux, rien n’est moins sûr. Cependant, nous pouvons espérer que l’obligation vaccinale soit abandonnée.

Références

(1) The vaccination policy and the Code of Practice of the Joint Committee on Vaccination and Immunisation (JCVI) : are they at odds? British Society for Ecological Medicine. The Health Hazards of Disease Prevention (2011).
(2) Too fast or not too fast: the FDA’s approval of Merck’s HPV vaccine Gardasil. Journal of law, medicine & ethics (2012).
(3) Human Papillomavirus (HPV) Vaccines as an Option for Preventing Cervical Malignancies: (How) Effective and Safe? Current Pharmaceutical Design (2013).
(4) Human papillomavirus (HPV) vaccine policy and evidence-based medicine: Are they at odds? Annals of Medicine (2011).
(5) Who profits from uncritical acceptance of biased estimates of vaccine efficacy and safety? American journal of public health (2012).
(6) No autoimmune safety signal after vaccination with quadrivalent HPV vaccine Gardasil? Journal of Internal Medicine (2012).
(7) Flogging Gardasil. Nature Biotechnology (2007).

Référence : Revue néosanté, n° 21, 1er mars 2013, article n° 45.

Source : https://www.neosante.eu/vaccins-fraude-mensonges-et-dissimulation/


Notes

L’on peut consulter le document original en optant pour l’un de ces trois liens :


A propos de l’auteur

Biologiste et docteur en sciences neurologiques de la Faculté de Médecine de l’Université de Montréal (2008) installée au Québec, Cyrinne Ben Mamou a pratiqué la recherche pendant 12 ans dans des laboratoires universitaires. Elle est également titulaire des diplômes suivants :

  • Maîtrise en Neurosciences, Faculté de Médecine, Université de Montréal, 2003 ;
  • Diplôme d’études approfondies en Écologie, Faculté des Sciences, Université de Tunis, 1998 ;
  • Maîtrise en Sciences Naturelles, Faculté des Sciences, Université de Tunis, 1996 ;
  • DUES en Sciences Naturelles, Faculté des Sciences, Université de Tunis, 1994.

Elle a contribué au DVD de Jean-Jacques Crèvecoeur sur « Le système immunitaire et les microbes ».

Elle est née en Tunisie en 1974, d’une mère française et d’un père tunisien. Animée depuis son plus jeune âge par la passion de comprendre la vie, elle a choisi dès l’école secondaire une branche scientifique. Décidée à poursuivre une carrière en recherche, elle a d’abord étudié les sciences biologiques et géologiques au premier cycle universitaire. Puis elle s’est spécialisée, au second cycle, dans le domaine de la recherche en écologie, en éthologie et en biologie des populations. La question centrale qui motivait ses recherches était de comprendre les processus physiologiques d’adaptation aux contraintes de l’environnement.

Arrivée au Québec fin 1998, c’est vers les neurosciences qu’elle s’est orientée. Elle a d’abord étudié les mécanismes neurobiologiques d’adaptation et de plasticité du système nerveux à l’Université de Montréal. Ensuite, au département de psychologie de l’Université McGill, elle a exploré les mémoires émotionnelles et traumatiques, sujet de recherche de son doctorat en neurosciences. Identifier les liens entre les comportements observables de l’organisme et les modifications biochimiques du cerveau satisfaisait son besoin de comprendre comment la plasticité du système nerveux accompagne le changement et l’adaptation aux événements et à l’environnement.

Son parcours détaillé peut être consulté ici.

Fournir une information scientifique objective et éclairée sur la crise sanitaire actuelle, sensibiliser aux enjeux sociétaux et politiques majeurs qui se profilent à l’horizon, alerter le public, rassembler les bonnes volontés et préparer l’avenir.