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L’Uttar Pradesh, en Inde, annonce que l’état est débarrassé du Covid-19, donnant ainsi la preuve de l’efficacité du « médicament vermifuge » ivermectine.

Par Jim Hoft

Le Gateway Pundit a précédemment signalé que les cas de Covid sont en chute libre en Inde grâce à de nouvelles règles qui font la promotion de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine auprès de sa population massive. Les 33 districts de l’Uttar Pradesh, en Inde, sont désormais libérés du COVID-19, a informé vendredi [n.d.t. : 10 septembre 2021] le gouvernement. Le taux de rétablissement a augmenté jusqu’à 98,7 %, prouvant l’efficacité de l’ivermectine dans le cadre du « modèle de contrôle du covid de l’Uttar Pradesh ».

Cet état a une population estimée à 241 millions de personnes en 2021 et a la population la plus élevée d’Inde. Cela représente près des deux tiers de la population des États-Unis en 2021 et pourtant c’est maintenant une nation exempte de Covid-19. Alors, qu’est-ce que les Etats-Unis pourraient bien faire d’erroné ? Demandons au Dr Fauci.

Le Hindustan Times a rapporté ce développement important :

Dans l’ensemble, l’état compte un total de 199 cas actifs, tandis que le taux de positivité est tombé à moins de 0,01 %. Le taux de rétablissement, quant à lui, s’est amélioré pour atteindre 98,7 %. Selon le bulletin de santé de l’état, l’Uttar Pradesh n’a signalé que 11 nouveaux cas de Covid-19 et zéro décès au cours des dernières 24 heures.

Hindustan Times.

L’India Today en a également parlé le 31 août dernier :

Le nombre de cas actifs dans l’Uttar Pradesh est tombé à 269, tandis que le pourcentage de cas actifs par rapport au total des cas confirmés est de 0 %. Le nombre de cas actifs, qui atteignait un pic de 3 10 783 en avril, a diminué de plus de 99 %. Les nouveaux cas de Covid-19 dans l’état sont restés inférieurs à 100 pendant 50 jours consécutifs.

Sur les 1 87 638 échantillons testés au cours des dernières 24 heures, 21 se sont révélés positifs. Au cours de la même période, 17 autres patients se sont rétablis de l’infection, s’ajoutant au rétablissement de plus de 16 86 182 personnes jusqu’à présent. (Ces chiffres sont en lakh, donc le placement des virgules est différent aux États-Unis. 1,87 638 lakh correspond à 187 638.)

India Today.

L’Uttar Pradesh est le premier état indien à utiliser l’ivermectine de manière aussi précoce et préventive dans tous les contacts familiaux. Et cet état est l’un des cinq où les cas de Covid sont les plus bas de tous les états de l’Inde malgré un faible taux de population entièrement vaccinée de 5,8 % par rapport aux États-Unis qui ont un taux de 54 %

Les États-Unis avaient 179 289 983 personnes complètement vaccinées au 14 septembre tandis que l’Uttar Pradesh en comptait 15 236 150 qui ont reçu leur deuxième dose. 

Voici un petit aperçu de l’utilisation de l’ivermectine dans l’état d’Uttar Pradesh, tel que le rapporte le journal Indian Express :

« L’Uttar Pradesh a été le premier état du pays à introduire l’utilisation prophylactique et thérapeutique à grande échelle de l’ivermectine. En mai-juin 2020, une équipe d’Agra, dirigée par le Dr Anshul Pareek, a administré de l’ivermectine à tous les membres de l’équipe RRT du district à titre expérimental. Il a été observé qu’aucun d’entre eux n’a développé le Covid-19 malgré ses contacts quotidiens avec des patients testés positifs pour le virus », a déclaré Vikssendu Agrawal, responsable de la surveillance de l’état de l’Uttar Pradesh.

Il a ajouté que sur la base des conclusions d’Agra, le gouvernement de l’état a autorisé l’utilisation de l’ivermectine à titre prophylactique pour tous les contacts des patients ayant le Covid et a ensuite autorisé l’administration de doses thérapeutiques pour le traitement de ces patients.

Affirmant que l’introduction opportune de l’ivermectine depuis la première vague a contribué à maintenir un taux de positivité relativement faible dans l’état malgré sa forte densité de population, il a déclaré : « Bien que nous soyons l’état le plus peuplé et que notre densité de population soit élevée, nous avons maintenu un taux de positivité et un nombre de cas par million d’habitants relativement faibles. »

Il a déclaré qu’en dehors de la recherche et de la surveillance agressives des contacts, les taux de positivité et de mortalité inférieurs peuvent être attribués à l’utilisation à grande échelle de l’ivermectine au sein de l’état, ajoutant que le médicament a récemment été introduit dans le protocole national pour le traitement et la gestion de la Covid. « Une fois la deuxième vague terminée, nous mènerions notre propre étude car il y a eu un corpus de preuves émergent pour justifier notre utilisation opportune de l’ivermectine à partir de la première vague elle-même », a déclaré Vikasendu au journal Indian Express.

En août dernier, le gouvernement de l’Uttar Pradesh a publié une notification à destination de sa population pour qu’elle ait des comprimés d’ivermectine (12 mg). Le Dialogue rapporte :

« La notification du gouvernement se lit comme suit : « Les médecins conseillent de prendre de l’ivermectine 12 mg pour limiter l’impact de la pandémie. Ce médicament est assez efficace pour se protéger du Covid-19. Par conséquent, nous appelons chaque citoyen à avoir ce comprimé. »

La notification poursuit ensuite en expliquant la posologie : Pour les patients positifs isolés à domicile (un comprimé par jour pendant trois jours et pour les contacts primaires et secondaires (un comprimé chacun le premier et le 7e jours).

L’Uttar Pradesh et Delhi ont tous deux connu une baisse incroyable des cas de Covid-19 car ils utilisent l’ivermectine de manière précoce et préventive. Alors que le Kerala, un petit état situé dans le Sud de l’Inde qui est trop dépendant des vaccins et moins dépendant de l’ivermectine, a signalé une augmentation significative des cas de Covid-19. Gardez à l’esprit que l’Uttar Pradesh a une population huit fois plus importante que le Kerala.

Plus d’informations sur les cas Covid-19 du Kerala sont données dans le The Desert Review :

« Alors que l’état du Kerala a inclus l’ivermectine dans ses directives en avril, il a limité son utilisation aux seuls cas de classe B – les cas graves ou ceux avec une maladie associée, ce qui rend son utilisation beaucoup moins importante que si les cas bénins étaient autorisés. Cela signifiait qu’il était réservé comme traitement tardif s’il était utilisé.

Enfin, le Kerala a complètement abandonné l’utilisation de l’ivermectine le 5 août 2021.

Juan Chamie, l’analyste de données basé à Cambridge qui a fourni des informations graphiques et publié sur le Covid, a fourni sa réponse aux raisons pour lesquelles les cas de Covid du Kerala sont devenus incontrôlables.

« Ma principale explication actuelle est l’absence de traitement précoce. Le protocole Covid du Kerala d’avril 2021 incluait l’ivermectine, mais pas comme traitement précoce. En conséquence, seul un petit groupe s’est qualifié pour les tests, ceux des patients de catégorie B ayant des facteurs de risque élevés. Le nouveau protocole du 5 août est encore pire. Ils ont supprimé l’ivermectine (complètement). »

Malgré une tentative généralisée des médias et de l’OMS de convaincre le monde que l’Inde a abandonné l’ivermectine en citant la DGHS1, l’ICMR2 et l’AIIMS3 n’ont pas changé leur position, et l’ivermectine reste dans le protocole national indien.

Bien sûr, l’OMS, les sociétés pharmaceutiques, les médias qui diffusent de fausses informations et le Dr Fauci ne sont pas satisfaits de ce développement important. Le New York Times va s’effondrer avec cette nouvelle.

Source : https://archive.md/WVRhs#selection-1054.1-1058.0.

Article original en anglais publié 15 septembre 2021.

Notes

  1. DGHS (Directorate General of Health Services) : la Direction générale des services de santé (DGHS) est une organisation rattachée au ministère de la santé et de la protection de la famille indien. La DGHS est dirigée par le directeur général des services de santé (DGHS), un officier des services de santé centraux, qui fournit des conseils techniques sur toutes les questions médicales et de santé publique au ministère de la santé et de la famille. La direction coordonne avec les directions de la santé de tous les états la mise en œuvre de divers programmes nationaux de santé par le biais de ses bureaux régionaux de la santé et du bien-être familial. La DGHS supervise le fonctionnement des hôpitaux du gouvernement central et leur gestion. Elle répond également aux préoccupations de la population en matière de santé par le biais de ses bureaux/instituts subordonnés répartis dans tout le pays.
  2. ICMR (Indian Council of Medical Research) : l’ICMR à New Delhi, en Inde, est l’organe suprême en Inde pour la formulation, la coordination et la promotion de la recherche biomédicale, est l’un des plus anciens organismes de recherche médicale au monde. L’ICMR a toujours tenté de répondre à la demande croissante d’avancées scientifiques dans la recherche biomédicale, d’une part, et à la nécessité de trouver des solutions pratiques aux problèmes de santé du pays, d’autre part.
  3. AIIMS (All India Institute Of Medical Sciences) : l’AIIMS a été créé en 1956, en tant qu’institution autonome, par une loi du Parlement indien, afin de servir de centre favorisant l’excellence dans tous les aspects des soins de santé. L’institution revêt une importance nationale par une loi du Parlement lui permettant de développer des modèles d’enseignement dans le domaine de l’éducation médicale de premier cycle et de troisième cycle dans toutes ses branches afin de démontrer un haut niveau d’éducation médicale en Inde ; de rassembler en un seul lieu des établissements éducatifs de la plus haute qualité pour la formation du personnel dans toutes les branches importantes des activités de santé ; et d’atteindre l’autosuffisance dans l’éducation médicale de troisième cycle.

Fournir une information scientifique objective et éclairée sur la crise sanitaire actuelle, sensibiliser aux enjeux sociétaux et politiques majeurs qui se profilent à l’horizon, alerter le public, rassembler les bonnes volontés et préparer l’avenir.