Omerta sur l’ivermectine en Inde : le secret révélé
Par Tyler Durden
Le 7 mai 2021, lors du pic de la vague Delta en Inde, l’Organisation mondiale de la Santé a rapporté ce qui suit :
« L’Uttar Pradesh (est) en train de parcourir le dernier kilomètre pour arrêter la Covid-19. »
L’OMS a noté que « les équipes gouvernementales se déplacent dans 97 941 villages dans 75 districts sur cinq jours dans le cadre de cette activité qui a commencé le 5 mai dans l’état le plus peuplé de l’Inde avec une population de 230 millions d’habitants ».
Dans le cadre de cette activité un programme agressif de test et de traitement porte-à-porte avec des trousses de médicaments était mis en œuvre.
L’OMS a donné l’explication suivante :
« Chaque équipe de surveillance comprend deux membres qui visitent les maisons dans les villages et les hameaux éloignés pour tester toute personne présentant des symptômes de Covid-19 à l’aide de kits de test antigénique rapide. Ceux qui sont testés positifs sont rapidement isolés et reçoivent un kit de médicaments ainsi que des conseils sur la gestion de la maladie. »
Les médicaments compris dans le kit n’ont pas été identifiés en raison du silence total des médias occidentaux sur ce sujet à l’époque. En conséquence, le contenu était aussi secret que la sauce chez McDonald’s.
L’OMS a ensuite poursuivi comme suit :
« Le jour de l’inauguration, les agents de terrain de l’OMS ont surveillé plus de 2 000 équipes gouvernementales et ont visité au moins 10 000 ménages. »
Cette nouvelle a été publiée sur le site Web officiel de l’OMS en Inde. Le site Web détaille le travail de l’OMS contre la Covid-19 en Inde, avec notamment une discussion sur leur « cours en ligne pour les équipes d’intervention rapide ».
Ces équipes sont les mêmes équipes gouvernementales dont il a été question ci-dessus et qui sont chargées de mener le programme de test et de traitement porte-à-porte dans l’Uttar Pradesh. En discutant du rôle de l’équipe de réponse rapide (RRT), le site de l’OMS rapporte ce qui suit :
« Les RRT sont un élément clé d’une stratégie d’intervention d’urgence plus large qui est essentielle pour une réponse efficace et efficace… L’OMS a produit et publié ce cours pour les RRT travaillant aux niveaux national, infranational, des districts et des sous-districts pour renforcer le réponse à la pandémie avec le soutien du National Center for Disease Control, du ministère de la santé et de l’assistance familiale, du gouvernement indien et des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis. »
Les équipes d’intervention rapide bénéficient du soutien des CDC des États-Unis sous l’égide de l’OMS. Ce fait valide davantage le programme de test et de traitement de l’Uttar Pradesh et le consolide en tant qu’effort conjoint de l’OMS et des CDC.
La partie la plus révélatrice de l’article de l’OMS était peut-être la dernière phrase :
Aucun n’a encore été publié.
À peine cinq semaines plus tard, le 14 juin 2021, les nouveaux cas avaient chuté de 97,1%, et le programme de l’Uttar Pradesh a été salué comme un succès retentissant.
Selon ZeeNews of India, « La stratégie de traçage, de test et traitement donne des résultats. »
« L’état dirigé par des yogis a également enregistré une forte baisse du nombre de cas de COVID actifs, le chiffre étant passé d’un pic de 310 783 en avril à 8 986 maintenant, une réduction remarquable de 97,10 %. »
Le 2 juillet 2021, trois semaines plus tard, le nombre de cas était en baisse de 99 %.
Le 6 août 2021, le silence médiatique total à propos de l’ivermectine en Inde a pris fin avec le reportage des HSH. Les médias occidentaux, y compris MSN, ont finalement reconnu ce que contenaient ces trousses de médicaments de l’Uttar Pradesh. Parmi les médicaments figuraient la doxycycline et l’ivermectine.
Le 25 août 2021, les médias indiens ont remarqué l’écart entre le succès massif de l’Uttar Pradesh et l’échec comparatif d’autres états, comme celui du Kerala. Bien que l’Uttar Pradesh n’ait été vacciné qu’à 5 % contre 20 % au Kerala, l’Uttar Pradesh n’a eu (seulement) que 22 nouveaux cas de COVID, tandis que le Kerala a été submergé par 31 445 cas en une seule journée. Il est donc devenu évident que tout ce qui était contenu dans ces kits de traitement devait être assez efficace.
News18 a donné le compte rendu suivant :
« Regardons l’image contrastée. Le Kerala, avec ses 3,5 millions d’habitants – ou 35 millions, a signalé le 25 août 31 445 nouveaux cas, soit la majeure partie du nombre total de cas signalés dans le pays. L’Uttar Pradesh, le plus grand état avec une population de près de 24 crore – ou 240 millions – n’a signalé que 22 cas au cours de la même période.
Il y a deux jours, seulement sept nouveaux cas positifs ont été signalés dans l’Uttar Pradesh. Le Kerala a signalé 215 décès le 25 août, tandis que l’Uttar Pradesh n’a signalé que deux décès. En fait, aucun décès n’a été signalé dans l’Uttar Pradesh ces derniers jours. Il n’y a actuellement que 345 cas actifs dans l’Uttar Pradesh alors que le chiffre du Kerala est de 1,7 lakh, soit 170 000. »
« Le Kerala a fait un bien meilleur travail en matière de couverture vaccinale avec 56 % de sa population vaccinée avec une seule dose et 20 % de la population entièrement vaccinée avec un total de 2,66 crore – ou 26,6 millions – de doses administrées.
L’Uttar Pradesh avait administré plus de 6,5 crore – ou 65 millions – de doses, le maximum du pays, mais seulement 25 % des personnes ont reçu leur première dose tandis que moins de 5 % des personnes sont complètement vaccinées. Compte tenu des chiffres COVID actuels, l’Uttar Pradesh semble prendre le pas sur le Kerala pour l’étiquette du modèle le plus efficace contre la COVID. »
Cet auteur a examiné les raisons de l’échec du modèle de traitement du Kerala dans deux articles, « La leçon du Kerala » et « La poussée vaccinée du Kerala ».
Au 12 septembre 2021, Livemint a signalé que 34 districts étaient déclarés exempts de COVID ou n’avaient aucun cas actif. Seuls 14 nouveaux cas ont été enregistrés dans tout l’état de l’Uttar Pradesh.
Le 22 septembre 2021, YouTube a hébergé une vidéo du blogueur de vulgarisation scientifique, le Dr John Campbell, détaillant l’histoire à succès de l’Uttar Pradesh. Il a donné une ventilation des ingrédients et des dosages du kit de médecine magique pour traitement à domicile, responsable de l’éradication de la COVID dans l’Uttar Pradesh. Le même kit a également été utilisé dans l’état de Goa.
Le Dr John Campbell a ouvert une large brèche dans l’omerta autour de l’Ivermectine en Inde sur YouTube en révélant la formule de la sauce secrète, à la grande consternation de Big Pharma, de l’OMS et des CDC. Les lecteurs voudront regarder cette vidéo avant qu’elle ne soit retirée. Voir à l’instant 2:22.
Chaque kit maison contenait les éléments suivants : comprimés de paracétamol [tylenol], vitamine C, multivitamines, zinc, vitamine D3, ivermectine 12 mg [quantité #10 comprimés], doxycycline 100 mg [quantité #10 comprimés]. Les autres composants non médicamenteux comprenaient des masques faciaux, un désinfectant, des gants et des lingettes imbibées d’alcool, un thermomètre numérique et un oxymètre de pouls. Voir à l’instant 2:33.
Campbell rapporte que les éléments stimulants du kit qui ont attiré son attention étaient : le zinc, la vitamine D3, l’ivermectine et un traitement antibiotique secondaire. « Intéressant, c’est ce que le gouvernement a décidé de donner. » Voir à l’instant 3:40.
John Campbell a déjà examiné les médicaments réutilisés pour la COVID . Il a interviewé le Dr Tess Lawrie et le Dr Pierre Kory. Les médicaments réutilisés peuvent potentiellement être bénéfiques pour de nombreuses affections, dont les virus et les cancers ne sont pas les moindres.
Le Dr Campbell a noté qu’il n’y avait eu aucun cas récent de Covid-19 dans 59 districts de l’Uttar Pradesh. De plus, sur 191 446 tests effectués au cours des 24 heures précédentes, seuls 33 échantillons étaient positifs pour un taux de positivité des tests de seulement 0,01 %. Le Dr Campbell a qualifié ce faible nombre de « stupéfiant » . Voir à l’instant 5:05.
En septembre, le nombre de cas avait considérablement diminué. Sur l’ensemble de l’état de plus de 200 millions d’habitants, il ne restait que 187 cas actifs par rapport au pic d’avril de 310 783 cas. Voir à l’instant 5:41.
Le Dr Campbell attribue leur succès à de nombreux facteurs, notamment la détection précoce et le traitement précoce avec des kits ne coûtant que 2,65 $ par personne. Voir à l’instant 6:20.
Notez que le Dr Campbell ne mentionne pas une seule personne qui ait manifesté une réaction indésirable due à la toxicité provenant de ces dix pilules de 12 mg d’ivermectine – dans l’ensemble de l’état qui compte plus de 200 millions d’habitants. Aucune intoxication n’a été signalée. Aucun article de contrôle antipoison ni aucun appel téléphonique n’ont été signalés en Inde. Sur des millions de kits de médicaments distribués, contenant chacun 120 mg d’ivermectine, aucune personne de l’Uttar Pradesh n’aurait eu de problème avec le médicament.
Notez que le Dr Campbell ne critique à aucun moment la trousse de médicaments comme étant « marginale » ou inefficace. Après tout, il serait inapproprié d’accuser un programme parrainé par l’OMS tel que le test et le traitement de l’Uttar Pradesh – coordonné par l’OMS – d’être « marginal ».
Contrairement au peu que nous recevons – à grands frais – du gouvernement des États-Unis, ces kits sont efficaces et contiennent des gants, un thermomètre et un oxymètre. La dernière fois que j’ai acheté un oxymètre il y a une dizaine d’années, il coûtait environ 200 $. Ce kit complet – y compris l’oxymètre – ne coûte que 2,65 $.
Et notez qu’un gouvernement peut acheter plus d’un millier de kits de traitement à domicile contenant de l’ivermectine pour le prix d’une injection de Remdesivir. Le Remdesivir coûte 3 100 $ et c’est un médicament peu pratique car il doit être administré tard durant la maladie lors de l’hospitalisation. De plus, c’est un médicament qui ne sauve pas des vies.
D’autre part, les kits d’ivermectine sont fortement corrélés à l’élimination de la COVID-19 dans l’Uttar Pradesh. En effet avec moins de 11 % de leur population entièrement vaccinée, le modèle de test et de traitement de l’Uttar Pradesh est supérieur non seulement au Kerala, avec un pourcentage de vaccinés bien plus élevé. L’Uttar Pradesh bat le Royaume-Uni, les États-Unis et presque tous les pays partout ailleurs dans le monde en termes de nombre de cas de Covid actifs le plus bas.
Plutôt que de fermer les yeux sur l’Uttar Pradesh, il est peut-être temps d’analyser son succès. Il est temps que tous se rendent compte que loin d’être dangereuse, l’ivermectine est plus sûre que le désinfectant pour les mains ou le Tylenol ordinaire, à en juger par le nombre d’appels requérant une surveillance antipoison aux États-Unis.
C’est précisément le moment de souligner que le Dr George Fareed, le Dr Peter McCullough et le Dr Harvey Risch avaient raison dans leur témoignage apporté au Sénat américain le 19 novembre 2020. Ils ont indiqué qu’un traitement ambulatoire précoce était essentiel et permettrait de sauver des centaines de personnes, des milliers de vies américaines s’il était adopté. Mais aucun traitement ambulatoire n’a été adopté.
C’est maintenant le bon moment pour remarquer la flambée d’articles américains mettant en relief les risques d’empoisonnement par l’ivermectine et tentant de salir cette dernière, un médicament prouvé sûr et efficace dans le programme de test et de traitement de l’Uttar Pradesh administré sous les auspices de l’OMS et des CDC.
Il convient de rappeler au lecteur que l’OMS et les CDC possèdent une connaissance directe et récente de l’utilisation de l’ivermectine pour traiter la Covid-19 en Inde. De plus, ils connaissent mieux que quiconque l’efficacité colossale et la sécurité écrasante de l’ivermectine utilisée dans ces millions de kits de test et de traitement de l’Uttar Pradesh.
Peut-être est-il également temps de se demander pourquoi exactement la méta-analyse évaluée par des pairs du Dr Tess Lawrie a reçu un score altimétrique de 26 697, ce qui en fait le huitième des quelque 18 millions de publications.
Ce classement est bien meilleur que le top 1 %, et l’article n’aurait besoin que d’un score de 18 000 pour se classer dans le top 1 %. Se classer dans le top 0,001 % signifierait un score #180. Par conséquent, au numéro huit, c’est 8/180 du top 0,001 % ou à peu près le top 4,4 % du top 0,001 %. Cet article se classe dans le top 5 % du top 0,001 % !
En d’autres termes, seuls sept articles dans le monde sur ces 18 millions sont mieux classés.
Cet article évalué par des pairs est l’une des références médicales les plus citées de tous les temps. Cela devrait alerter tout lecteur – immédiatement – sur sa signification historique. Le Dr Tess Lawrie est une experte chevronnée en synthèse de données probantes de l’OMS depuis 30 ans. Sa conclusion est tout aussi significative que le rang de l’article. Voici ses paroles :
Il est peut-être temps de se demander pourquoi l’examen narratif de l’ivermectine évalué par des pairs du Dr Pierre Kory se classe au 38e rang sur les mêmes 18 millions de publications.
Il conclut :
Si l’article du Dr Lawrie est classé dans le top 5 % des meilleurs 0,001 % de tous les articles médicaux publiés de tous les temps, alors celui du Dr Kory n’est pas loin derrière. Le sien est classé 38/180e du top 0,001 % ou le top 21 % du top 0,001 %.
Ainsi, les deux articles se classeraient dans l’atmosphère raréfiée de près d’un sur un million d’articles.
Par conséquent, le lecteur doit maintenant se demander pourquoi deux magnifiques revues indépendantes de deux continents différents, venant à la même conclusion, sont toutes deux ignorées par les chefs de file médicaux de notre monde ?
L’Uttar Pradesh est l’une de ces populations qui a connu une baisse considérable de la morbidité et de la mortalité liées à la Covid-19 des mois APRÈS la publication de l’article du Dr Kory le 22 avril 2021. Par conséquent, il faut se demander, si l’ivermectine éradique de manière si prévisible et sûre la Covid-19, pourquoi alors elle n’est pas systématiquement utilisée dans le monde entier, comme le suggèrent le Dr Kory et le Dr Lawrie ?
Peut-être que chaque lecteur doit se poser cette question : pourquoi les articles présentant des analyses expertes et suprêmement bien classés du Dr Lawrie et du Dr Kory, publiés dans la littérature médicale sur PubMed, la National Library of Medicine, sont-ils BANNIS de Wikipédia ?
Bien que la victoire de l’ivermectine en Inde sur la Covid-19 ait peut-être été perdue pour Big Pharma et Big Regulators, déterminés à vacciner tout le monde, le message semble avoir été transmis à l’homme de la rue. Si Google Trends est un indicateur, l’intérêt pour l’ivermectine explose, et pour cause. Nous sommes tous systématiquement trompés par des organisations influentes au nom du profit.
Un assaut quotidien de la propagande médiatique nous bombarde de messages tentant de nous éloigner des traitements les plus sûrs et les plus efficaces.
L’intérêt pour l’ivermectine et l’Inde ne fait qu’augmenter et a maintenant atteint un niveau record.
La conquête indienne de la Covid-19 n’est plus cachée. Le secret est dévoilé.
Et peut-être, enfin, que le très attendu rapport final de l’OMS détaillant la campagne de pandémie la plus réussie de n’importe quel endroit sur terre sera publié.
* * *
Justus R. Hope, MD est l’auteur du livre « Ivermectin for the World « , publié comme un appel à l’action pour l’utilisation de l’ivermectine pour mettre fin à la crise humanitaire en Inde avec la pandémie de Covid-19.
Source : https://www.zerohedge.com/covid-19/indias-ivermectin-blackout-secret-revealed.
Article original en anglais publié le samedi 2 octobre 2021.
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