Articles,  Santé publique,  Science

CTIAP Centre Hospitalier de Cholet : pharmacovigilance et vaccins contre la Covid-19 : les interrogations d’un coordonnateur régional de « France Assos Santé : la voix des usagers »

Vigilance Pandémie : La question posée au CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) par le réseau France Assos Santé : la voix des usagers est essentielle : pourquoi y a-t-il un tel décalage entre les informations de pharmacovigilance rapportées par le Dr Amine UMLIL, responsable du CTIAP et le narratif officiel relayé par les CRPV [centres régionaux de pharmacovigilance] ? Répondre à cette question cruciale permettrait d’avancer d’un pas assuré vers la sortie immédiate de la crise. Vigilance Pandémie soutient, avec un certain nombre de scientifiques (par exemple, le Dr Astrid Stuckelberger dans son rapport de 47 pages, ou encore le vice-président de Pfizer, Michael Yeadon) et de juristes (en particulier Maître Virginie de Araujo Recchia), que la raison en est tout simplement que la vérité est volontairement camouflée et distordue par les autorités et les médias en vue de créer et d’entretenir la peur par un mécanisme de contrôle sectaire de la pensée inspiré de méthodes d’ingénierie sociale mises en œuvre à grande échelle s’appuyant sur la désinformation de masse, la manipulation, les fraudes scientifiques, la propagande d’État, la censure en connivence avec les géants des réseaux sociaux, la corruption, la suppression de la liberté d’expression et du débat scientifique contradictoire, l’ostracisation, la stigmatisation et la discrimination des dissidents, l’intimidation psychologique et politique, et les menaces d’exclusion sociale, la police de la pensée, etc., tous procédés qui indiquent un basculement vers une société de surveillance totalitaire reposant sur la religion covidienne de la vaccination intégrale.

Par le Dr Amine UMLIL

Le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet a reçu de nombreuses questions émanant de professionnels de santé, de juristes, de citoyens, d’usagers, etc.

Parmi ces interrogations figurent celles transmises par un Coordonnateur régional de « France Assos Santé : la voix des usagers ». Cette association des usagers regrouperait « 84 associations de patients et d’usagers adhérents ».

Ne pouvant répondre à ces interrogations, le CTIAP souhaite donc les relayer auprès des agences régionales de santé (ARS) notamment ; et en particulier auprès de l’ARS des Pays-de-la Loire. Car, les questions posées s’adressent justement aux ARS.

Ces interrogations sont les suivantes :

« Bonjour,

Je travaille au sein du réseau France Assos Santé, Union des associations agréées du système de santé, (…) [Région (…)]. Dans ce cadre, j’assiste à de nombreuses réunions et comités régionaux en lien avec la crise Covid, interpellant les autorités sanitaires sur des sujets de préoccupations des membres de notre Union et relayant les informations reçues aux représentants associatifs en région.

L’ARS a mis en place fin 2020 un comité stratégique pour suivi de la campagne vaccinale contre la Covid en région. Les CRPV [centres régionaux de pharmacovigilance] sont présents dans ces réunions. Je m’étonne (un peu) des écarts d’informations que nous retrouvons sur votre site internet [celui du CTIAP] et que nous n’entendons pas dans ces réunions (bi-mensuelles, puis plus espacées depuis 2 mois). Les alertes que vous émettez me paraissent cruciales à relayer dans ce cadre puisque l’ensemble des professionnels, institutionnels et usagers y sont représentés. Nous pourrions dès lors être collectivement vigilants et force de proposition, donnant plus de poids aux démarches que le CTIAP semble mettre en œuvre isolément. A ce jour, ni les professionnels de santé ni les CRPV ne semblent questionner la réponse sanitaire mise en œuvre, en tout cas de manière officielle dans le cadre de ces comités. Sans information officiellement partagée, les associations d’usagers membres de notre Union ne s’avancent pas plus sur ce terrain.

Je serais curieux d’avoir votre avis sur les raisons d’un tel décalage entre les informations que vous diffusez en ligne et l’absence de réaction des CRPV lorsqu’il s’agit de faire des remontées ou requêtes en comité régional avec l’ARS.

En attendant de pouvoir en échanger plus, je vous souhaite – malgré la situation actuelle – un très bel (…).

Bien cordialement,

(…). »

L’échange souhaité par ce Coordonnateur régional a eu lieu. Mais, le CTIAP n’a pas les réponses aux questions posées. Le Présent article permet donc de relayer ces interrogations aux ARS notamment.

Toutefois, le CTIAP rappelle quelques faits, non exhaustifs, qui révèlent les obstacles aux alertes de pharmacovigilance et la volonté de ne pas informer le public de manière claire, loyale et appropriée comme cela est exigée pourtant par la loi (au sens large). Il y a lieu de citer quelques exemples.

Dès le 13 janvier 2021, le CTIAP alerte sur les fausses informations diffusées à l’intérieur et à l’extérieur du centre hospitalier de Cholet ; dont celles qui minimisent les effets indésirables de la vaccination contre la Covid-19 (cliquer ici).

Le 12 avril 2021, le CTIAP démontre que la recommandation, de cette vaccination contre la Covid-19 chez les personnes immunodéprimées, émise par la DGS (direction générale de la santé) ne respecte pas les « mises en garde spéciales et précautions d’emploi » qui figurent pourtant dans l’autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle (cliquer ici).

Le 16 avril 2021, le CTIAP s’interroge sur le silence des médias traditionnels (dominants) concernant les effets indésirables des vaccins des laboratoires BioNTech/Pfizer et Moderna pourtant mentionnés dans les rapports établis par l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) (cliquer ici).

Le 1er mai 2021, le CTIAP rectifie des affirmations inexactes, contraires à la loi, diffusées par le journal  Libération-CheckNews (cliquer ici).

Le 10 juillet 2021, le CTIAP alerte sur le message diffusé, le 9 juillet 2021, sur le réseau social Tweeter ; sur le compte du Ministre des solidarités et de la santé, Monsieur Olivier VÉRAN :« Vaccination. COVID19. Si vous avez des courbatures après le vaccin, pas d’inquiétude… c’est que vous avez trop pédalé ! Prenez rdv dès maintenant (…) ». Une telle affirmation pourrait être regardée comme étant la négation de tout effet indésirable, même le plus bénin (cliquer ici).

Le 28 juillet 2021, alors que le pharmacien responsable du CTIAP est en congés, le directeur du centre hospitalier de Cholet (Monsieur Pierre VOLLOT) supprime la page « Pharmacovigilance/CTIAP » du site internet de l’hôpital public de Cholet de façon unilatérale et sans information préalable. Le jour même, le journal FranceSoir publie un article intitulé « L’Hôpital de Cholet prive ses visiteurs d’accès au service de pharmacovigilance et CTIAP puis modifie ». Suite à cette suppression, Monsieur Pierre VOLLOT recevra de nombreux messages de la part de professionnels de santé et d’usagers (plusieurs dizaines de réclamations) qui lui expriment leur étonnement et leur mécontentement ; ils lui demandent de rétablir la page du CTIAP supprimée, en vain :

« Monsieur le directeur,

Nous venons de constater que sur le site internet du Centre Hospitalier de Cholet, nous ne pouvons plus accéder à la page du CTIAP et de la pharmacovigilance.

Nous apprécions ce site qui nous permet d’obtenir des données importantes et pertinentes concernant l’actualité, ce qui nous aide à mieux comprendre les enjeux.

Nous regrettons cette interruption en tant de Collectif de plus de 600 personnes intéressées par votre site indépendant (sans lien ni conflits d’intérêts).

Nous espérons pouvoir accéder de nouveau à cette source d’informations et analyses précieuses sur le rapport bénéfice/risque des médicaments dont les vaccins.

Recevez, Monsieur le directeur, nos sincères salutations.

(…). » 

(Le 28 juillet 2021)

« Bonjour,

(…) je regrette que la section CTIAP du centre hospitalier soit fermée. Je ne comprends d’ailleurs pas pourquoi puisque les informations présentes y sont extrêmement intéressantes et indépendantes et qu’en tant que centre hospitalier, il est dans votre rôle d’informer et de fournir des données libres d’accès.

Pouvez-vous me donner la raison de cette fermeture ?

Merci d’avance de bien vouloir revoir votre décision, de permettre à chacune et chacun d’avoir accès à la pharmacovigilance en toute transparence.

Recevez, Monsieur le Directeur, nos sincères salutations.

(…). »

(Le 31 juillet 2021)

« Monsieur le directeur,

(…) je m’interrogeais sur la disparition de la page CTIAP de votre site Internet ?

Pouvez-vous m’éclairer ?

Merci d’avance.

Bien cordialement,

(…). » 

(Le 1er août 2021)

« Etc. »

Par courrier du 15 septembre 2021, des questions précises sont transmises à Monsieur Pierre VOLLOT (directeur du centre hospitalier de Cholet) à sa demande. Parmi ces questions, on peut lire : 

«Pourriez-vous me transmettre la liste exhaustive des effets indésirables prévisibles fréquents d’une part, et graves, même exceptionnels d’autre part comme cela est consacré par la loi et la jurisprudence ? Pourriez-vous m’affirmer que les contre-indications de ces vaccins sont suffisamment connues ? Pourriez-vous me donner le nombre de déclarations effectuées en pharmacovigilance (en particulier française, européenne et américaine) signalant notamment des décès survenus après cette vaccination (et sans présumer de la certitude du lien de causalité) ?»

À ce jour, toutes les questions posées dans cette lettre recommandée avec avis de réception sont restées sans réponses (cliquer ici).

Le 30 septembre 2021, le CTIAP révèle, de façon inédite, les raisons de la démission d’un membre du Comité scientifique permanent pharmacovigilance de l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament) (cliquer ici).

Le 2 novembre 2021, le CTIAP informe de la proposition de résolution du Parlement européen sur la création d’un fonds européen d’indemnisation de victimes suite à l’enregistrement d’environ 1 000 000 d’effets indésirables dont 5 000 décès dans le cadre de cette vaccination contre la Covid-19 (cliquer ici).

Le 6 novembre 2021, le CTIAP annonce le lancement d’une étude sur les effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 dans la Région des Pays-de-la Loire. Cette étude est demandée par notamment des professionnels de santé, des juristes, des citoyens (cliquer ici)… Mais, à peine annoncée, elle est déjà ʺtorpilléeʺ par un article publié, le 12 novembre 2021, par le journal Ouest-France. Dans cet article, on découvre les propos mis dans la bouche de Monsieur Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier de Cholet (cliquer ici).

Le 9 novembre 2021, le CTIAP invite à la responsabilisation de toute personne avant la survenue des effets indésirables de tel ou tel médicament ; et interroge donc le rôle des victimes qui ne semblent se poser des questions qu’après l’apparition de ces effets nocifs (cliquer ici).

Le 10 novembre 2021, le responsable du CTIAP reçoit une « CITATION DIRECTE DEVANT LE TRIBUNAL CORRECTIONNEL» suite à la publication d’un article rappelant les origines du consentement libre et éclairé de toute personne humaine. Monsieur Pierre VOLLOT (directeur du centre hospitalier de Cholet) et Monsieur Eric MOREAU (directeur adjoint exerçant sous l’autorité de Monsieur Pierre VOLLOT) ʺse sententʺ visés par l’évocation de ce qu’est le Code de Nuremberg  : ils demandent la suppression du passage évoquant ce Code de Nuremberg (cliquer ici)…

Le 18 novembre 2021, lors du Conseil scientifique indépendant (CSI), le lien entre l’information sur le rapport bénéfice/risque d’un médicament et le respect de la dignité de la personne humaine est expliqué à nouveau (cliquer ici).

Il y a lieu de rappeler également que ces obstacles ne sont pas nouveaux au centre hospitalier de Cholet. Par exemple, en mars 2019, l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) elle-même informait le responsable du service « Pharmacovigilance/Coordination des vigilances sanitaires/CTIAP » du centre hospitalier de Cholet de notamment ceci :

« (…) signalement, que vous aviez [le responsable de la Pharmacovigilance/Coordination des vigilances sanitaires/CTIAP au centre hospitalier de Cholet avait] par ailleurs déjà adressé à l’ARS [agence régionale de santé] et à la Ministre de la santé, a été réorienté vers la DGOS [direction générale de l’offre de soins] et va l’être à nouveau par nos soins à l’ARS. »

ANSM

L’ANSM ajoute :

« Nous allons par ailleurs néanmoins rappeler au directeur du CH [centre hospitalier] de Cholet [Monsieur Pierre VOLLOTses obligations en matière de signalement de signaux de vigilance. » (Cliquer ici.)

ANSM

Malgré ce rappel à l’ordre par le gendarme du médicament, rien n’a changé. La situation s’est même aggravée.

En toute impunité et dans l’indifférence quasi-générale.

Mais, le ʺréveilʺ de ce Coordonnateur régional de « France Assos Santé : la voix des usagers » pourrait s’avérer utile.

Il reste à attendre une éventuelle réponse des ARS notamment, et en particulier l’ARS de la région des Pays-de-la Loire.

Source : http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/12/pharmacovigilance-et-vaccins-contre-la.html?m=1

Article reproduit avec l’aimable permission de l’auteur.


A propos de l’auteur

Le Docteur Amine UMLIL est pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, juriste (droit de la santé), membre de l’AFDS (association française de droit de la santé), ancien assistant spécialiste, ancien interne des centres hospitaliers universitaires de Toulouse, ancien étudiant à la faculté de pharmacie d’Angers.

Responsabilités au centre hospitalier de Cholet

CTIAP :

  • Unité de pharmacovigilance
  • Coordination des vigilances sanitaires

Extrait du Curriculum vitae (C.V.)

Diplômes :

  • Master 2 Droit de la santé
  • Licence de droit
  • Diplôme d’études spécialisées de pharmacie industrielle et biomédicale
  • Diplôme d’Etat de docteur en pharmacie
  • Diplôme universitaire de gestion des entreprises
  • Diplôme universitaire de pathologie médico-chirurgicale
  • Diplôme universitaire de pharmacocinétique [science étudiant le devenir du médicament dans l’organisme]
  • Diplôme interuniversitaire d’antibiologie et autres traitements anti-infectieux
  • Diplôme interuniversitaire de statistique appliquée à la médecine, option biologie
  • Maîtrise de sciences biologiques et médicales
  • Certificat Informatique et Internet « C2i » niveau 1

Autres expériences :

  • Pharmacies de ville (officine)
  • Enseignant dans des instituts de formation en soins infirmiers (IFSI) 
  • Cours aux externes en pharmacie (étudiants 5ème année) 
  • Cours aux préparateurs en pharmacie
  • Directeur de thèse « Développement de l’information sur les traitements auprès des patients ambulatoires de l’hôpital de Cholet : prise en compte de leur avis dans la conception de fiches conseils »

Publications dans des revues avec comité de lecture :

  • Liver sinusoidal obstruction syndrome associated with trastuzumab emtansine treatment for breast cancer (Therapie 2019)
  • Contrat de bon usage des médicaments : proposition d’une méthodologie pour réaliser l’état des lieux du circuit du médicament dans un Centre Hospitalier Général (revue Le Pharmacien Hospitalier 2006 ; 41(165) : 85-98)
  • La pharmacovigilance dans un Centre Hospitalier Général : modalités pratiques de mise en place, résultats et actions d’améliorations (revue Le Pharmacien Hospitalier 2006 ; 41(165) : 73-83)
  • L’hôpital public est-il soluble dans le marketing ? – Editorial (revue Le Pharmacien Hospitalier 2006 ; 41(166) : 132-133)
  • Un blister agressif (revue Prescrire 2005 ; 25 (262) : 475)
  • Rétrocession et fiches conseils : que veulent les patients ? (Congrès national des pharmaciens des hôpitaux, La Rochelle, 10, 11 et 12 mai 2005)
  • Ribavirine : une discordance dans la posologie ? (revue Prescrire 2004 ; 24 (252) : 556)
  • Population pharmacokinetics of oxaliplatin (Cancer Chemotherapy and Pharmacology, 2003, 51 : 127-131)
  • Incidents de matériovigilance : bilan 2001 dans un centre hospitalier de 462 lits (52èmes journées de l’APHO, Saint-Malo, 18 et 19 avril 2002) [APHO : association de pharmacie hospitalière de l’ouest]
  • Inter- and Intra-Patient Variability of Oxaliplatin Pharmacokinetics (American Society of Clinical Oncology, San Francisco, 2001)
  • Suivi des livraisons des dispositifs médicaux : expérience toulousaine (revue de l’ADPHSO, tome 23, n° 4, 1998 – pp. 1-11) [ADPHSO : Association pour le Développement de la Pharmacie Hospitalière du Sud-Ouest]
  • Suivi des non conformités sur la qualité des dispositifs médicaux à la CAMSP de Toulouse (8èmes journées Euro Pharmat, Paris, 13 et 14 octobre 1998) [CAMSP : Centrale d’Approvisionnement en Matériel Stérile et Pansements]
  • Le suivi des « réclamations clients » à la CAMSP de Toulouse : mise en œuvre, résultats et actions correctives (8èmes journées Euro Pharmat, Paris, 13 et 14 octobre 1998)
  • Expérience pratique de validation et contrôle de routine d’un stérilisateur à l’oxyde d’éthylène (20èmes journées nationales d’études sur la stérilisation dans les établissements de soins, Strasbourg, 22 et 23 avril 1998)
  • Mémoire du Master 2 Droit de la Santé : « Le circuit du médicament dans les établissements de santé français face aux articles 223-1 et 223-2 du code pénal. « Des risques causés à autrui » » (septembre 2019)
  • Livres sur le médicament « Médicament : recadrage. Sans ton pharmacien, t’es mort ! » (Collection sciences et savoirs. Éditions Les 2 Encres. Septembre 2013)
  • « Ce que devient le médicament dans le corps humain » (Collection Connaître le médicament. Tome 1. Éditions BoD. Juin 2016)
  • « L’équation hospitalière : de Robert Boulin à Marisol Touraine » (Éditions BoD. Octobre 2016)
  • « 20 000 ; Plaise au Président de la République Française » (Collection Connaître le médicament. Tome 2. Éditions BoD. Septembre 2017)
  • « Obstacles à la pharmacovigilance : Délinquance en col blanc ; Inertie des pouvoirs publics » (Collection Connaître le médicament. Tome 3. Éditions BoD. Décembre 2018).

Fournir une information scientifique objective et éclairée sur la crise sanitaire actuelle, sensibiliser aux enjeux sociétaux et politiques majeurs qui se profilent à l’horizon, alerter le public, rassembler les bonnes volontés et préparer l’avenir.