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Une sanction « sévère, expéditive et arbitraire »: l’AMDDDM étrille la décision de révocation du Dr Amine UMLIL.
Dans un communiqué de presse en date du 6 février, l'Association médicale de défense de la déontologie et des droits des malades (AMDDDM) a souhaité apporter son soutien au Dr Amine Umlil, révoqué de ses fonctions sur décision du Centre national de gestion (CNG). "Comment est-il possible qu’un praticien hospitalier, convoqué par le Sénat du fait de son expertise reconnue en pharmacovigilance et en droit de la santé, dans le cadre d’une enquête menée par l’OPESCT (…) puisse subir un quelconque préjudice pour avoir accepté de répondre, sous serment, aux questions qui lui étaient posées par les parlementaires ?",
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Pétition : Je soutiens le Dr Umlil pour la liberté d’expression, la vérité et la protection de notre santé.
Par le Collectif Santé Mauges Le 4 février 2023, le Centre National de Gestion des praticiens hospitaliers – sous la tutelle du ministère de la Santé – a révoqué le Dr Amine Umlil, pharmacien à l’hôpital de Cholet. Le Dr Umlil était chargé de la pharmacovigilance au sein du Centre hospitalier et avait créé le Centre Territorial d’Information indépendante et d’Avis Pharmaceutique (CTIAP) dans le but d’apporter une qualité d’information sur le médicament tant pour les professionnels de santé que pour les patients afin de favoriser leur consentement libre et éclairé. Le motif de cette révocation est un manquement au droit de réserve et de neutralité alors que la justice a déjà souligné que le…
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Ma révocation par le CNG – Ministère de la santé : un chef-d’œuvre de la haute administration française – Par le Dr Amine UMLIL
Par arrêté de la directrice générale par intérim du CNG (centre national de gestion) – ministère de la santé –, je suis révoqué, sans préavis, à compter du 4 février 2023. Des records sont enregistrés lors de cette procédure disciplinaire. Dans ce qui suit, je vous cite certains de ces records. Je devrais être la seule personne révoquée parmi toutes celles qui ont été auditionnées par l’office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) dans le cadre de l’enquête portant sur les « Effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 et système de pharmacovigilance français ». Une enquête demandée par la commission des affaires sociales du Sénat suite à une pétition citoyenne.
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DROIT DE RÉPONSE. Décision du tribunal administratif de Nantes : brèves observations – par le Dr Amine UMLIL
Suite à la décision du tribunal administratif de Nantes en date du 14 avril 2023, des articles de presse sont publiés par notamment le groupe Courrier de l’Ouest/Ouest-France et par Le Parisien. Ces articles diffusent des informations inexactes. Cela révèle l’esprit de cette ordonnance rendue par le tribunal : alors que j’étais poursuivi pour avoir diffusé des informations qui vont « à l’encontre » de la « communication institutionnelle » des « autorités sanitaires et politiques », le juge des référés transforme cela en un conflit local interne au centre hospitalier de Cholet. Il ne se prononce donc pas sur la légalité de cet arrêté pris par le CNG. Il se fonde sur des éléments extérieurs au litige.
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Révoqué. Ce n’est, peut-être, qu’un au revoir – par le Dr Amine UMLIL
Je suis révoqué. Révoqué parce que je suis resté pharmacien hospitalier lors de la plus inédite des affaires que j’ai eu à connaître dans l’Histoire médicamenteuse. Mes responsabilités de la pharmacovigilance, de la coordination des neuf vigilances sanitaires, du centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques (CTIAP), activités que j’ai mises en place (respectivement en 2002, 2007, 2010) s’arrêtent.
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Selon le Dr Amine Umlil, malgré les obstacles, « le droit est du côté des soignants ».
Nouveau debriefing avec le Dr Amine Umlil sur la procédure en référé au tribunal administratif qu’il a déposée la semaine dernière contre l’obligation vaccinale pour les professionnels de santé salariés. À sa surprise, cette procédure n’a pas été audiencée, au motif qu’il n’y a pas urgence - malgré le fait que l’obligation de vaccination sous peine de suspension d’exercice et de rémunération commence demain 15 septembre.