Articles,  Nanoparticules et nanotechnologies,  Santé publique,  Science,  Vaccination

Vaccins et nanoparticules

Par Jean de Poncharra

AVANT-PROPOS

Ce texte est un document de travail proposant quelques déductions et pistes d’investigation concernant les produits géniques à ARN messager et leur composition. 

Toutes les informations sur ces produits géniques à prétention médicale n’étant pas divulguées par les fabricants, il est probable que les interprétations et conclusions à partir de données rendues publiques par des chercheurs indépendants ne fassent pas l’unanimité dans notre groupe de travail. Ces découvertes auraient dû agir comme signal d’alarme et déclencher une série d’analyses poussées de la composition réelle de ces produits par les laboratoires institutionnels de la planète, pour confirmer ou infirmer la présence de substances étranges. La réponse officielle est laconique : « pure invention de complotistes », « scientifiques en mal de notoriété », « adversaires du progrès ». Dans notre groupe de travail, ceci ne doit pas être un obstacle à des discussions ouvertes sur les différentes interprétations (choquantes pour certains), car chacun d’entre nous, de par sa formation, sa spécialité et son expérience peut avoir des intuitions ou opinions pertinentes qu’il essayera de confirmer et défendre par l’étude de publications, par des arguments logiques et par des expériences complémentaires. C’est cette atmosphère scientifique ouverte et sans préjugés qui devrait être la règle dans l’étude de sujets d’une telle complexité. 

Vous remarquerez que dans le milieu académique officiel, cette discussion ouverte est actuellement impossible, tant des intérêts étrangers à la science interfèrent pour mettre les scientifiques à leur service.

Nous sommes contraints de travailler avec peu de moyens tant en expérimentation qu’en divulgation de nos résultats, avec une féroce opposition des institutions officielles, mais avec la conviction que nous faisons un travail de salut public.

Les médecins me pardonneront mes opinions personnelles sur le principe vaccinal et son application de masse. Que ce ne soit pas une raison de ne pas réfléchir aux questions posées, en particulier devant l’explosion des maladies auto-immunes montrant un dérèglement généralisé du système nerveux central induisant des réponses immunitaires erratiques et une défaillance des processus de réparation de l’ADN.

Je vous souhaite un travail fructueux dans une ambiance amicale.

INTRODUCTION

Après une courte réflexion sur le concept de vaccin et ses variations ces dernières années, nous abordons le problème de la présence d’adjuvants de plus en plus nombreux tant dans les vaccins classiques que dans les thérapies géniques à ARN messager utilisées contre la maladie à coronavirus SARS-cov2.

Des pistes de réflexion et de recherche seront proposées dans ce problème complexe qui nécessite un travail sur un large spectre de disciplines.

MEDECINE MODERNE et VACCINS

Généralités

Suivant la tendance matérialiste et positiviste des sciences modernes, la médecine n’a pas échappé à une surspécialisation favorisée par les progrès extraordinaires des techniques d’analyse et de fabrication. Admettant que le vivant provient de l’inerte, l’être humain n’est pas ou peu appréhendé dans sa dimension spirituelle ni dans son environnement de vie. La maladie et ses remèdes sont étudiés et caractérisés de façon très précise donnant lieu à des manuels volumineux contenant des connaissances considérables, mais le malade n’est vu que d’un point de vue mécaniste et rationnel. 

Les maladies infectieuses sont supposées subvenir par agression d’agents pathogènes extérieurs et la notion de terrain du malade n’est pas évaluée à sa juste importance. Il n’y a pas des malades avec leurs caractéristiques propres, mais un malade standardisé, prié d’avoir les symptômes attendus et de réagir aux traitements médicamenteux dans le sens espéré par le médecin. Telle est la conception imposée pendant les études de médecine.

Evolution du concept vaccinal

C’est dans ce contexte que la vaccination de masse pour prévenir les maladies infectieuses graves puis bégnines prit son essor. Il s’agissait de forcer les défenses de l’organisme à fabriquer des anticorps contre une forme vivante, puis atténuée ou inhibée d’un agent infectieux, anticorps capables de s’opposer à une infection ultérieure. Ces anticorps étant spécifiques à l’agent infectieux (c’est important à noter pour la question des adjuvants que nous abordons dans la suite) « boostant » la réponse immunitaire.

L’enthousiasme vaccinal fut d’autant plus grand que l’on vit décroître l’incidence des maladies infectieuses. Mais on s’aperçut que la décroissance était surtout due aux améliorations dans l’hygiène, l’alimentation et le niveau de vie des populations. Les pays améliorant les conditions de vie et ne vaccinant pas bénéficiaient de la même décroissance. Sans cette amélioration, la vaccination n’empêchait pas les épidémies. Seule l’isolation des malades avait des effets positifs.

La méconnaissance de la complexité du système immunitaire permit d’imposer une multitude de vaccinations à de très jeunes enfants aux défenses immatures qui se développent depuis la protection par les anticorps de la mère allaitante jusqu’à l’apprentissage imposé par l’environnement (rôle du système lymphatique,  de la peau, des muqueuses, amygdales, végétations, appendice, etc.) et les maladies de la petite enfance. Toute interférence dans cet apprentissage affaiblit le système immunitaire et induit son dysfonctionnement (allergies respiratoires, alimentaires, maladies auto-immunes). Grande découverte, le système immunitaire était activé non seulement par des microbes, mais par toute substance considérée comme étrangère à l’organisme. Imaginez la complexité : détection des substances étrangères, activation du processus inflammatoire, production des anticorps, intervention des globules blancs etc. Cette machinerie performante explique la guérison spontanée des maladies à virus. Or nous constatons de graves anomalies dans le fonctionnement de la réponse immunitaire et dans la réparation de l’ADN endommagé.

De l’inoculation à un sujet sain au système immunitaire supposé performant on est passé à la vaccination quel que soit l’état immunitaire du patient, en se basant sur le préjugé simpliste que chacun produira les anticorps attendus. Puis à la vaccination prioritaire et obligatoire des personnes à risque (soignants), ou recommandée instamment aux patients âgés et/ou souffrant de maladies graves. 

Les difficultés surgirent avec les virus mutants, en particulier de la grippe, les fabricants étant obligés de produire des cocktails de différents variants d’années antérieures ou dans un autre hémisphère selon les recommandations de l’OMS. L’avantage pour les fabricants : une vaccination annuelle imposée par une propagande officielle invasive, auprès des populations à risque.

Les adjuvants

Examinons la question des adjuvants dans presque tous les vaccins utilisés actuellement. A l’origine, il s’agissait de produits destinés à affaiblir l’agent pathogène pour qu’il induise une forme « atténuée » de la maladie et dans le cas de vaccins à virus des antibactériens pour éviter les contaminations indésirables.

Mais on s’est vite aperçu que dans la plupart des cas, la réponse immunitaire des sujets sains était très faible et le dosage d’anticorps attendus déclaré insuffisant. L’invention « géniale » fut d’ajouter au vaccin des produits toxiques déclenchant une forte réaction immunitaire, comme par exemple l’aluminium et autres métaux, poly-éthylène glycol, cholestérol, ADN animal et/ou humain, etc.

Le dosage d’anticorps devenait ainsi très satisfaisant en oubliant que les anticorps sont strictement générés pour une agression donnée et spécifiques aux germes ou particules considérés comme exogènes. On n’a jamais prétendu que le vaccin de la variole allait vous prémunir contre la coqueluche. Le postulat étant que « boosté » par le poison, le système immunitaire allait se réveiller et produire des anticorps contre le virus atténué présent dans le vaccin.

En réalité, et ceci est une conclusion qui m’est personnelle, le système immunitaire des populations occidentales est tellement affaibli par toutes sortes d’agressions alimentaires, médicamenteuses, vaccinales, environnementales qu’il réagit de moins en moins aux agents supposés infectieux et le recours à des adjuvants est un subterfuge des fabricants de vaccins pour induire la fabrication d’anticorps et faire croire ainsi à l’efficacité de leurs produits par dosage des anticorps intercellulaires et intracellulaires.

Les adjuvants sous forme de nanoparticules

Les nanoparticules (taille inférieure à quelques centaines de nanomètres) se retrouvent dans quantité de produits dans les domaines agro-alimentaire, cosmétique, pharmaceutique et de la fabrication industrielle, etc. Leur rapport très élevé surface/volume les rend très réactives. Elles ont très rapidement été introduites comme adjuvants dans quantité de produits, y compris dans des médicaments et vaccins, malgré des études sur leur potentielle cytotoxicité.

L’objectif majeur était d’utiliser leurs propriétés principalement pour perméabiliser la barrière hémato-encéphalique (BHE) (en anglais Blood-Brain Barrier (BBB)) et permettre le passage de médicaments anticancéreux contre les tumeurs cérébrales ou les traitements des maladies neurodégénératives.

Mais la présence de ces nanoparticules, en particulier le graphène et ses dérivés, dans des produits présentés comme des vaccins qui ne sont pas des anticancéreux doit éveiller notre vigilance.

La première justification officielle est celle de l’induction d’une réponse immunitaire (humorale et cellulaire) artificielle plus violente que celle des germes viraux. En effet, le graphène ou sa forme oxydée et/ou réduite provoque une réaction des polynucléaires neutrophiles avec émission des « filaments » d’ADN (Neutrophil Extracellular Traps : NETs) semblable à celle induite par des bactéries ou débris géniques. Une grande quantité de nanoparticules pourrait donner une émission incontrôlée de NETs provoquant des thromboses dans les capillaires sanguins et une invasion des poumons par des muqueuses très visqueuses (analogue à la mucoviscidose). Ce problème, mal compris, donne lieu à la recherche d’inhibiteurs de NETs qui seraient utilisés sans comprendre la cause de ce dérèglement immunitaire, au risque d’aggraver la situation. 

Et plus grave, sachant que beaucoup d’échanges cellulaires se font par voie ionique, la possibilité de charger en + ou en – les nanoparticules d’oxyde de graphène les transformerait en perturbateurs ioniques. Mobiles et sensibles aux champs électromagnétiques, ces nanoparticules pourraient être dirigées à distance vers certaines parties du corps, par des portiques ou des émetteurs de téléphonie. Les ondes électromagnétiques à certaines fréquences peuvent aussi provoquer l’échauffement de la nanoparticule.

Des agglutinations anormales de globules rouges autour d’agglomérats de nanoparticules entraînant leur altération expliquerait la détresse respiratoire par défaut de transport de l’oxygène. Cet effet pourrait s’ajouter aux NETs.

La seconde justification officielle est justement d’obtenir une ouverture réversible de la BHE pour servir de véhicule à des médicaments destinés au système nerveux central. Mais s’il y a ouverture, tout produit, y compris toxique, pourra être introduit dans ce système nerveux central.

Propositions d’axes de recherche

La plus grande difficulté dans l’analyse de la composition des « vaccins » Covid-19 signalée par des chercheurs indépendants consiste à se procurer des échantillons. La délivrance des doses est très surveillée (pour des motifs louables de sécurité) et les modes de conservation à très basse température et d’utilisation assez complexes à mettre en œuvre. Les fabricants pourront contester toute découverte anormale par une contamination ou le non-respect des procédures (mauvaise décongélation, précipités cristallins dans le soluté).

Malgré les alertes de ces chercheurs indépendants, aucun laboratoire officiel n’a repris ces analyses. Les risques pour eux sont considérables.

Et il faut noter que les lots, surtout chez Pfizer, ont des compositions différentes, ce qui complique notre travail.

Il est certain que la composition réelle connue des seuls fabricants n’est pas déclarée aux organismes de contrôle (qui sont eux, contrôlés par l’industrie pharmaceutique via les conflits d’intérêts massifs).

C’est la Quinta Columna (Dr Delgado et Dr Campra) avec son analyse micro Raman et le Dr Robert O. Young qui ont publié des observations concluantes de la présence d’oxyde de graphène. D’autres chercheurs mettent en doute cette présence (tout simplement parce qu’ils n’ont pas eu un échantillon en contenant, ou pas l’équipement pour le détecter) et ne croient pas en des structures qui s’auto-organisent une fois à la température du corps humain et capables d’émettre et de recevoir des informations par voie électromagnétique et d’interagir avec l’organisme humain, en particulier au niveau du cerveau.

Les points importants à creuser 

Par des équipes pluridisciplinaires formées par les pharmaciens, biochimistes, physiciens, microscopistes, nanotechnologues, biologistes, généticiens, médecins et scientifiques de toutes spécialités concernées :

  1. Confirmer la présence et l’identification de nanoparticules (quelles qu’elles soient, métalliques, organiques, minérales, etc.) et leur auto-organisation une fois introduites dans la circulation sanguine et/ou lymphatique.
  2. Confirmer l’altération observée des globules rouges, en présence de graphène et autres nanoparticules, si possible par observation du sang avant et après inoculation.
  3. Etudier le déclenchement de la réaction immunitaire à neutrophiles NETs en présence de graphène (et autres « boosters » plus classiques de la réaction immunitaire par les adjuvants toxiques (aluminium, glycols, titane, mercure, brome, etc.)
  4. A plus longue échéance, analyser la possibilité de nanorobots, nanocircuits alimentés et pilotables par ondes électromagnétiques.

Conclusion

Il est évident que des applications militaires sont en cours de recherche dans les laboratoires du monde entier et que la fausse pandémie a permis d’imposer à la population mondiale l’injection de produits expérimentaux dispersés dans les différents lots de « vaccins » aux compositions (y compris le sérum physiologique) non divulguées par les fabricants. Le retour des effets secondaires dans le monde entier de ces lots parfaitement tracés constitue le plus gigantesque essai clinique sur des cobayes humains non informés et sans consentement éclairé.

La diffusion délibérée de nanoparticules sous forme d’aérosols ou incorporées à l’eau, aux aliments, aux tissus n’est pas à exclure.

Il faut garder à l’esprit cette hypothèse émise par plusieurs chercheurs selon laquelle les nanoparticules et autres adjuvants introduits dans les vaccins causent les effets attribués aux virus qui servent de leurre pour cacher les buts réels. Elle semble invraisemblable, mais elle expliquerait la volonté hystérique des autorités sanitaires et des gouvernements d’inoculer ces substances à la population mondiale dès la naissance. Elle ne doit pas être écartée a priori.

Une source d’inquiétude vient de l’explosion des cancers, des atteintes vasculaires cérébrales, des détresses respiratoires, des maladies auto-immunes et neurodégénératives, de la dégradation de la réparation de l’ADN, de l’emballement de cytokines, des NETs, etc.

Mais la grande source d’inquiétude reste le contrôle extérieur du comportement neurologique et l’action à distance sur le système nerveux central des individus, en complément du contrôle psychologique, selon le modèle chinois étalé au grand jour.

Article rédigé 19 novembre 2022 pour un séminaire scientifique.


A propos de l’auteur

Jean de Poncharra est docteur en physique et a été chercheur en microélectronique et nanotechnologies entre 1972 et 2010 au Laboratoire d’Electronique et de Technologie de l’Information au Commissariat à l’Energie Atomique (CEA-LETI) où il a été également chef d’un groupe de recherche. Il est à la retraite depuis 2010.

Articles recommandés

Fournir une information scientifique objective et éclairée sur la crise sanitaire actuelle, sensibiliser aux enjeux sociétaux et politiques majeurs qui se profilent à l’horizon, alerter le public, rassembler les bonnes volontés et préparer l’avenir.