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La FDA confirme que l’oxyde de graphène est présent dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19 après avoir été contrainte de publier des documents confidentiels de Pfizer sur ordonnance de la Cour fédérale des États-Unis.
Les vaccins contre le Covid-19 sont au centre d’un débat houleux depuis leur introduction, avec de nombreuses questions et inquiétudes soulevées quant à leur sécurité et leur efficacité. Les spéculations vont également bon train selon lesquelles les injections contre la Covid-19 pourraient contenir des traces d’oxyde de graphène, une substance hautement toxique et conductrice. Les agence de réglementation des médicaments, avec le soutien des grands médias, ont nié ces affirmations à plusieurs reprises.
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Vaccins et nanoparticules
C'est la Quinta Columna (Dr Delgado et Dr Campra) avec son analyse micro Raman et le Dr Robert O. Young qui ont publié des observations concluantes de la présence d'oxyde de graphène. D'autres chercheurs mettent en doute cette présence (tout simplement parce qu'ils n'ont pas eu un échantillon en contenant, ou pas l'équipement pour le détecter) et ne croient pas en des structures qui s’auto-organisent une fois à la température du corps humain et capables d’émettre et de recevoir des informations par voie électromagnétique et d'interagir avec l'organisme humain, en particulier au niveau du cerveau.
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Les nanoparticules d’oxyde de graphène sont présentes dans les vaccins COVID ; un nouveau rapport affirme qu’elles sont sans danger pour l’homme… C’est un mensonge !
Personne ne devrait prendre ces vaccins génétiques. D'une manière générale, nous devons tous être vigilants et préoccupés par le fait que nous sommes inondés de nanoparticules et de nanotechnologies, avec des conséquences potentiellement graves, aujourd'hui et dans un avenir prévisible.
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EXCLUSIF : Natural News publie des résultats d’analyse ICP-MS élémentaire post-vaccinale de caillots, afin de comparer les caillots au sang humain … Les résultats révèlent que ces caillots ne sont PAS des caillots « sanguins ».
Nous publions maintenant les résultats des tests de laboratoire utilisant la technique de spectrométrie à ionisation à plasma induit (ICP-MS) qui comparent la composition élémentaire du sang humain à la composition élémentaire d’un échantillon de caillot prélevé sur le corps d’une personne qui a reçu un vaccin Covid et qui est décédée par la suite.
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Une étude a révélé la présence d’objets étrangers de type métallique dans 94 % du groupe de personnes symptomatiques ayant reçu des vaccins à ARNm.
Trois chirurgiens italiens ont mené une étude analysant le sang de 1 006 personnes ayant développé des symptômes après avoir reçu une injection de vaccin à ARNm Pfizer/BioNTech ou Moderna. Ils ont constaté que 94 % d'entre elles présentaient une "agrégation des érythrocytes et la présence de particules de formes et de tailles diverses dont l'origine n'est pas claire", un mois après l'inoculation.
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Selon le Dr Robert Young, la microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19.
Le but de cet article de recherche est d'identifier les ingrédients majeurs et mineurs spécifiques contenus dans le vaccin Pfizer, le vaccin Moderna, le vaccin Astrazeneca et le vaccin Janssen en utilisant divers tests scientifiques anatomiques, physiologiques et fonctionnels pour chaque vaccin SRAS-COV-2-19. En tant que droits de l'homme, régis en vertu du droit international par le Code de Nuremberg de 1947, l'information sur les ingrédients spécifiques du vaccin est essentielle, requise et nécessaire à connaître pour que tout être humain de n'importe quel pays au monde puisse prendre une décision éclairée quant à son consentement ou non à l'inoculation du SRAS-CoV-2-19.